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Garry Winogrand

Garry Winogrand
Voir le portrait filmé de l'exposition : Le Jeu de Paume présente la première rétrospective, depuis vingt-cinq ans, du grand photographe américain Garry Winogrand (1928-1984). Chroniqueur célèbre de l’Amérique de l’après-guerre, Winogrand est encore mal connu, tant il a laissé de travail à accomplir — au moment de sa mort prématurée — dans l’archivage, le développement et le tirage de ses photographies. Il est cependant sans conteste l’un des maîtres de la photographie de rue américaine, au même titre qu’Evans, Frank, Friedlander ou Klein. Célèbre pour ses photographies de New York et de la vie aux États-Unis depuis les années 1950 jusqu’au début de la décennie 1980, Winogrand cherche à savoir « à quoi ressemblent les choses quand elles sont photographiées ». Winogrand a beau être considéré, par beaucoup, comme l’un des plus grands photographes du XXe siècle, l’examen de son corpus pictural et de son influence sur la discipline demeurent incomplets. Related:  Gary Winogrand

Que faire à Paris Magnum Photo ◆ L'agence et les photographes Mis à jour le 08/12/2014 Magnum Photos est fondée en 1947, soit deux ans après la Seconde Guerre mondiale. Elle doit son existence à quatre photographes : Henri Cartier-Bresson, Robert Capa, George Rodger et David « Chim » Seymour. Magnum, initialement installée à Paris et à New York, (aujourd’hui à Londres et à Tokyo), s’écarte de façon radicale de pratiques conventionnelles de la presse de l’époque : d’une part par sa structure, celle d’une coopérative d’actionnaires-photographes, d’autre part par la revendication de droits d’auteur comme propriété exclusive des photographes. Avec Magnum Photos, les photographes se donnent les moyens de l’indépendance, corollaire indispensable de leur engagement. Le recrutement des nouveaux membres, fidèle aux statuts de l’agence, est un parcours de l’exigence. Il devra donner la preuve de sa singularité, tant par son écriture photographique que par la rigueur, la persistance de son travail de documentation et d’information. Ils ont rejoint Magnum en :

Cours sur la photo numérique Photographe américain né en 1928 New York City et mort en 1984 au Mexique. Il appartient à la famille des "street photographers", déambulant en rue, l’appareil toujours chargé et en main. Il donne au genre quelques images fameuses, d’une netteté implacable, aux contrastes forts, exercices sans cesse renouvelés de faire image avec l’accident constant de la foule et de la rencontre. Winogrand étudie la peinture à la fin des années 40’, puis commence le journalisme à la "New School for Social Research" avec Alexey Brodovitch. Il découvre le travail de Walker Evans en 1952, celui de Robert Frank quelques années plus tard. C’est en 1959, après des années de galère, que son travail est montré pour la première fois. L’influence de Walker Evans est grande sur son travail. “je fais des photographies pour savoir de quoi auront l’air les choses une fois photographiées." - Winogrand Les tirages sont nets et contrastés, donnant aux images un aspect graphique et une grande présence à l’image.

Saul Leiter “To say that he flourishes at the top in the Mount Olympus of New York photography is saying a great deal. He is right up there with the amazing heights of photographic history itself. He’s more abstract than many, he’s more constructive than several but he’s also more soulful than a great many.” Max Kozloff (Art Historian) Saul Leiter’s ground-breaking work in photography and painting is only now receiving the international recognition it deserves. Leiter’s earliest black and white photographs show an extraordinary affinity for the medium, and by 1948 he began to experiment in color. Leiter has made an enormous and unique contribution to street photography. Martin Harrison, editor and author of Saul Leiter Early Color, writes, “Leiter’s sensibility…placed him outside the visceral confrontations with urban anxiety associated with photographers such as Robert Frank or William Klein.

Robert Frank Robert Frank, figure importante de la Street Photography, est l’un des photographes les plus influents du XXe siècle depuis la parution des Américains en 1958. Les images de ce livre, dont on vient de fêter le cinquantième anniversaire, ont profondément marqué des générations de photographes. Le Jeu de Paume commémore à son tour l’événement, en présentant, avec cette série mythique, les photographies prises à Paris par Robert Frank entre 1949 et 1952, ainsi que deux de ses films, Pull My Daisy (1959) et True Story (2004). Robert Frank développe une forme de récit photographique, suivant un fil conducteur qui pourrait être, pour Paris, la présence récurrente de fleurs et, pour Les Américains, les signes représentatifs d’un monde en pleine mutation. Avec les photographies de Paris apparaissent les prémices de son style subjectif et de son regard étranger qui s’affirment pleinement, moins de dix ans plus tard, dans Les Américains, renouvelant profondément la photographie documentaire.

Nadar Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Nadar, pseudonyme de Gaspard-Félix Tournachon, est un caricaturiste, aéronaute et photographe français, né le 6 avril 1820 à Paris et mort le 21 mars 1910 dans la même ville. Il publie à partir de 1850 une série de portraits photographiques d'artistes contemporains, parmi lesquels Franz Liszt, Richard Wagner, Charles Baudelaire, Michel Bakounine, Victor Hugo, Jules Verne, Hector Berlioz, Gioachino Rossini, Daniel François Esprit Auber, Sarah Bernhardt, Jacques Offenbach, George Sand, Gérard de Nerval, Théodore de Banville, Jules Favre, Guy de Maupassant, Édouard Manet, Gustave Doré, Gustave Courbet, Jean-Baptiste Corot, Loïe Fuller, Zadoc Kahn, Charles Le Roux, Hector de Sastres, les frères Élisée Reclus et Élie Reclus. Le pseudonyme Nadar a également été utilisé par son frère Adrien Tournachon sous les formes Nadar jeune et Nadar jne, provoquant parfois la confusion. Biographie[modifier | modifier le code] Jules Verne le décrit ainsi :

L’homme qui aimait (regarder) les femmes (Garry Winogrand) – Amateur d'art En espagnol Je laisse à d’autres le soin de débattre à propos des tirages posthumes de Garry Winogrand au Jeu de Paume (jusqu’au 8 février) : quand un photographe néglige de tirer ses photographies, voire même de développer ses pellicules, remettant cela à plus tard, et qu’une mort soudaine le ravit, avons-nous ou non le droit de montrer ces photographies orphelines ? C’est le cas d’environ 40% des photographies montrées ici, des « images demandant à être vues ». Beau débat éthico-artistique, certes, mais que je ne vais pas aborder ici : qu’est-ce que l’œuvre ? Je note simplement que, dans l’exposition, dans le catalogue (excellent !) Cette exposition a une grande ambition, mais le visiteur (moi en tout cas) va à son encontre. Thème essentiel certes, mais pas thème unique. Toutes ses photos de femmes ou presque sont tragiques. « Toutes les fois que j’ai vu une jolie femme, j’ai tout fait pour la photographier. Mais on trouve aussi chez Winogrand des femmes joyeuses, sereines, solaires.

Henri Cartier-Bresson iN-PUBLiC Les grands photographes de jazz (3/5) : Francis Wolff de l'émission Open jazz Depuis ses débuts, le jazz, surtout in situ, a captivé l’attention des grands photographes. Des rais de lumière dans la pénombre des clubs enfumés, des reflets de transpiration sur les visages à la recherche du tempo perdu, mais aussi des instants de grâce entre deux concerts au soleil de Juan-les-Pins, des silhouettes fantomatiques au petit matin sur un trottoir de New York, des portraits en contre-plongée composés comme un standard en lignes obliques et nuances de gris… Le lieu d’exposition des photos de jazz ? Les pochettes de 30cm, les pages de magazine, beaucoup de beaux livres et aujourd’hui les galeries et les plus grands musées d’art contemporain. En compagnie de Philippe Lévy-Stab et de la rigueur de son œil au format 6x6, Alex Dutilh parcours la bande son en noir et blanc de cinq photographes majeurs du siècle du jazz : Ni clic, ni clac, ceux-là sont du genre à se fondre silencieusement dans les coulisses.

Garry Winogrand Garry Winogrand was born in New York City and became interested in photography while serving in the military as a weather forecaster. He studied painting at City College (1947-48) and at Columbia University (1948-51), where he learned how to develop and print. In 1951 he studied photography with Alexey Brodovitch at the New School for Social Research. Afterward he worked commercially for photography agencies, freelanced for magazines, and also did personal work. Handy et al. Edouard de Blaÿ - Paris

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