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Neur-one

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Neuranat Morphologie Ce chapitre aborde les bases de l'anatomie descriptive du crâne, des méninges et du système nerveux central. Atlas Ce chapitre propose des atlas anatomiques interactifs dans les trois plans, un atlas neuroradiologique avec curseur 3D synchronisé dans les trois plans de l'espace et un atlas du tronc cérébral de l'espace neuroradiologiques, montrant un point choisi au niveau du cerveau simultanément dans les 3 plans de l'espace et sur une reconstruction 3D ainsi qu'un atlas du tronc cérébral. Vidéos Le chapitre Vidéos constitue un véritable atelier de dissection du cerveau grâce à des documents richmédia associant simultanément vidéo, images et textes. Animations Retrouvez des animations concernant la fissure choroïdienne, le fornix et le quatrième ventricule et un "serious game", Dyn@slice, permettant de s'exercer à remettre dans l'ordre des coupes de cerveau. © UPMC.

Introduction à la neuroéducation I. Qu’est-ce que la neuroéducation ? Les neurosciences désignent l’étude scientifique du système nerveux et du fonctionnement du cerveau, depuis le niveau moléculaire jusqu’au niveau comportemental. Elles ont désormais un statut interdisciplinaire, et voient leurs découvertes ou avancées exploser depuis 15 ans, grâce notamment aux progrès technologiques d’imagerie cérébrale (dont l’IRM fonctionnel, pour le plus connu). La neuroéducation est le mariage entre les neurosciences et les sciences de l’éducation. Cette discipline est reconnue officiellement ; encouragée par un rapport de l’OCDE (publié en 2007 et intitulé : "comprendre le cerveau : naissance d’une science de l’apprentissage") ; enseignée dans des universités prestigieuses comme Harvard ou Cambridge ; se trouve déjà développée dans des pays pionniers en éducation, comme la Finlande ou le Québec. La neuroéducation a une utilité bien au delà du seul système scolaire puisque l’on réfléchit avec le même cerveau hors de l’école ! II. 1.

NOTION DE RÉFLEXE - Introduction C'est au cours des XVIIe et XVIIIe siècles que le terme réflexe, emprunté au langage des physiciens et au latin reflexus (du verbe reflectere = ramener en arrière), s'est peu à peu imposé en physiologie nerveuse pour décrire les mouvements animaux initiés par des stimulations sensorielles. Il faudra toutefois attendre les travaux du neurophysiologiste anglais Sir Charles Scott Sherrington (1857-1952), prix Nobel de physiologie et de médecine en 1932 avec son compatriote Edgar Adrian (1899-1977) pour l'ensemble de leurs travaux sur la physiologie du système nerveux, pour que les principaux mécanismes qui régissent le réflexe soient élucidés, que le rôle de chaque élément soit précisé et qu'on en arrive à la notion d'arc réflexe pouvant être schématisé de la manière suivante. Comme on le voit, le réflexe présente cinq composantes anatomiques qui sont indispensables à son accomplissement :

Physiopathologie des déficiences motrices Michel Delcey, Association des paralysés de France Ce chapitre présente de façon schématique et sommaire les bases de ce qu'il est nécessaire de connaître pour comprendre le fonctionnement de la motricité et les conséquences des atteintes qui peuvent la perturber. Il ne s'agit évidemment pas d'un précis d'anatomie ou de physiologie, mais d'un article dont le but est avant tout pédagogique ; on se reportera utilement aux ouvrages cités en fin d'article pour approfondir les connaissances abordées ci-dessous. Les aspects spécifiques des mécanismes à l'origine de certaines déficiences associées aux déficiences motrices seront abordés dans les articles consacrés à ces troubles, en particulier : troubles sphinctériens, troubles neuropsychologiques. Une approche des causes de déficience motrice (mode de survenue, classement) est proposée. Introduction : notion de déficience motrice déplacement (locomotion, transferts, etc.) La motricité est schématiquement permise par : Figure 1 L'encéphale Les os

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