background preloader

Film intégral NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES (septembre 2013, durée 89mn) de Yannis Youlountas

Film intégral NE VIVONS PLUS COMME DES ESCLAVES (septembre 2013, durée 89mn) de Yannis Youlountas
This video is currently unavailable. Sorry, this video is not available on this device. by $author Share this playlist Cancel Play

http://www.youtube.com/watch?v=rpqk24qvoR4

Related:  berglacevidéosVidéos / DocumentairesComprendre le monde

Christian Bobin : "La mort est peut-être la carte la plus belle" On ne lit pas Christian Bobin, l'un des plus grands poètes de sa génération, sans se laisser emporter, pénétrer, par la transparence cristalline de son verbe. On découvre, on savoure ses mots avec précaution, tant il nous offre la vérité bouleversante de son être et de ses expériences, de manière tranchante, forte, unique, authentique. Dans son dernier livre, L'homme-joie (éditions de L'Iconoclaste), il nous parle de sa manière d'être présent à ce qu'il ressent ; des moments qui le frôlent légèrement ; des rencontres qui s'insèrent intensément en lui ; et de son amour perdu, qui n'empêche en rien, dit-il, que la vie soit "bien plus belle que ce que nous l'imaginons".

[ Reportage ] La possibilité d’être humain [ Reportage ] La possibilité d’être humain Les producteurs de « Sous les pavés, la Terre » retournent sur le terrain à la rencontre d’acteurs du changement, objecteurs de conscience et penseurs contre la mondialisation écrasante. Militants, activistes, sociologues, philosophes, artistes ont la parole pour témoigner de leur conception de cette société postmoderne. Comment créer un nouveau monde à la hauteur des valeurs d’égalité et de fraternité qui nous sont chères ? A cette question, le reportage nous invite à tourner les yeux vers l’objection de Croissance et cette course frénétique à l’enrichissement productif. de la servitude moderne - le livre « Mon optimisme est basé sur la certitude que cette civilisation va s’effondrer. Mon pessimisme sur tout ce qu’elle fait pour nous entraîner dans sa chute. » La servitude moderne est une servitude volontaire, consentie par la foule des esclaves qui rampent à la surface de la Terre. Ils achètent eux-mêmes toutes les marchandises qui les asservissent toujours un peu plus. Ils courent eux-mêmes derrière un travail toujours plus aliénant, que l’on consent généreusement à leur donner, s’ils sont suffisamment sages.

Les racines de l’État islamique Loulouwa Al Rachid est post-doctorante au sein du European Research Council Wafaw (When Authoritarianism Fails in the Arab World) et docteure associée au Centre de recherches internationales de SciencesPo Paris. Ses recherches portent sur l’Irak et l’autoritarisme baasiste. Elle a soutenu en 2010 une thèse de science politique intitulée : L’Irak de l’embargo à l’occupation : dépérissement d’un ordre politique (1990-2003). En parallèle, elle effectue des missions de conseil pour des think tanks et a notamment été l’analyste référent sur l’Irak au sein de l’International Crisis Group (2001-2006 et 2009-2011). Matthieu Rey est maître de conférences au Collège de France (Chaire d’histoire contemporaine du monde arabe), agrégé d’histoire, arabisant et chercheur au sein du European Research Council Wafaw (When Authoritarianism Fails in the Arab World).

Quelques préjugés sur le polyamour. « J’ai fait cette image pour rigoler bien sûr, mais j’en profite aussi pour dégommer quelques préjugés sur le polyamour. Pour introduction, je rappelle que le polyamour est une relation sentimentale assumée et honnête avec plusieurs personnes simultanément. — Non, les polyamoureux ne passent pas leur vie à faire des partouzes. Alors je ne vais pas vous raconter des craques, il est vrai que, EN MOYENNE, les polys ont des pratiques sexuelles plus libérées (« je t’aime, Bonobo, dit le Bonobo… ») Mais ce n’est qu’une conséquence d’un état d’esprit et d’un travail sur soi-même pour se libérer des normes sociales. En réalité, pour les polyamoureux, le sexe n’est qu’une manière, parmi beaucoup d’autres, de profiter de la vie avec les personnes qu’ils aiment.

Quatre bons films que vous avez (probablement) ratés en 2014 Comme toutes les années, 2014 a été riche en sorties ciné. Certains films sont passés carrément inaperçus, alors qu’ils gagneraient à être connus ! Parmi les films que je vais vous présenter, certains ne sont pas sortis en France, d’autres ont dû affronter de sérieux concurrents au box-office, ou n’ont pas de grands noms au casting… mais tous valent le coup d’œil ! Science-fiction, suspense ou « tranche de vie » toute mignonne, il y en aura pour (presque) tous les goûts (c’est-à-dire que bon par exemple y a pas film de danse dans la liste) (désolée) (ni de film animalier) (BREF). No Good Deed, un bon vieux thriller des familles

«Une taxe sur les transactions financières pourrait remplacer tous les impôts actuels» Dans son dernier ouvrage*, Marc Chesney dresse un parallèle entre la Première Guerre mondiale et la crise financière de 2008. Pour le professeur de finance de l’Université de Zurich, une société civilisée vacille dans les deux cas. Aujourd’hui, une aristocratie financière a pris le pouvoir au détriment du reste de la population, dénonce-t-il, tout en proposant des solutions. Entretien. Le Temps: Vous comparez la crise financière et la Première Guerre mondiale, n’est-ce pas exagéré? Marc Chesney: Il s’agit uniquement de comparer l’Europe de 1914 à celle d’aujourd’hui.

Pourquoi et comment j'ai viré anti-abolitionnisme _ Les commentaires de ce blog sont toujours fermés. Blogger ne permet pas de les fermer, mais seulement de restreindre leur accès à une seule personne (soit moi même en fait), c'est donc pourquoi si vous essayez de poster, un message vous indiquera que "seuls les membres autorisés peuvent poster". Si vous souhaitez réagir à cet article, vous pouvez le faire via Twitter,Facebook, par mail... _ Cet article n'a pas vocation à présenter une critique GLOBALE des différents courants idéologiques relatifs à la prostitution, il se centre sur l'abolitionnisme.

Vivre en ce jardin Serge Steyer- le mois du film documentaire Partager Un film réalisé par Serge Steyer Yves et Annick ont bâti un monde en cohérence avec leurs idées : l'idée qu'on ne peut pas vivre dans la soumission à l'argent, qu'en vivant avec moins on peut vivre mieux, que respecter la nature c'est se respecter soi-même, l'idée enfin qu'il est toujours possible d'inventer sa vie. En 1970, à Saint-Nazaire, ils ont perdu tout espoir de vivre dignement dans l'environnement prolétarien qui est le leur. Un choix radical s'impose alors : un jardin, en bordure du marais de Brière. Un jardin comme lieu de vie et de rencontre, un jardin comme création.

#VivreAvec : Comment vivre avec la menace terroriste ? Une journée spéciale sur Le Monde.fr LE MONDE | • Mis à jour le | Par Camille Bordenet Vivre avec la menace terroriste est une réalité qui s’impose peu à peu à nous, à mesure que la liste des villes frappées par des attentats s’allonge : Paris, Tunis, Bamako, Ouagadougou, Ankara, Grand Bassam, Bruxelles, Lahore... Sans avoir eu le temps d’en prendre conscience, nous l’avons tous ressenti : quelque chose, en nous, a bougé. Nous sommes entrés dans une période nouvelle où notre société se sent menacée – le gouvernement parle même de « guerre » –, ce que les générations nées après la guerre d’Algérie (44 millions d’habitants sur les 66 millions de Français) n’avaient jamais connu. Mais comment composer avec ça ?

Mon corps m’appartient Je suis très en colère. Mais alors vraiment vraiment très en colère. Je vous explique pourquoi, oui, deux secondes, c’est le but de l’article en fait.

En Greque sous titré français. Mais interessant retrospectivement by larticultheure Mar 29

Documentaire qui donne la parole aux acteurs et actrices d'alternatives concrètes au capitalisme, aujourd'hui en Grèce by regard_noir Aug 26

Related: