Vocabulaire: numérique et livres numériques [Vous retrouverez tous les billets concernant les liseuses sur le tag "livre électronique" une terminologie qui me semble plus adaptée à ces appareils, en droite ligne de l'e-reader anglo-saxon] Livre numérique, Ouvrage édité et diffusé sous forme numérique, destiné à être lu sur un écran. 1. Voir Journal officiel, avril 2012, site LégiFrance Liseuse, nom féminin Sens 1 : Coupe papier utilisé comme signet.Sens 2: Couvre-livre.Sens 3: Vêtement féminin recouvrant le buste et les bras, utilisé pour lire au lit [couture]. Dans son édition du 4 avril 2012, le Journal Officiel, au travers de la commission générale de terminologie et de néologie, préconise l'emploi du terme "liseuse" en remplacement des anglicismes "reader, e-reader, ou e-book reader". A titre personnel, j'ajouterais que le livre électronique est bien un "appareil électronique, un objet qui peut effectuer une ou des tâches en traitant des informations codées sous la forme de signaux électriques.
Ebook en bibliothèque : unifier l'offre pour séduire le grand public Nota bene : la confrontation animée par Alain Patez n'aura rien d'un pugilat. Face à Pascal Leray, bibliothécaire et directeur du réseau de collectivités territoriales CAREL, l'éditeur Patrick Gambache (La Martinière-Points), qui vient de la commission Numérique et Nouvelles Technos du SNE, n'a rien contre le prêt des livres numériques en bibliothèque. Patrick Gambache (SNE, La Martinière-Points), Pascal Leray (Réseau CAREL), Alain Patez Bien au contraire : la discussion s'articule autour d'une offre concrète, qui permettra bientôt l'acheminement des titres numériques vers les établissements de prêt, le hub PNB (pour Prêt Numérique en Bibliothèque) mis en place par Dilicom. Mais bien plus : « Pour les libraires, ce hub permettra l'interopérabilité, avec une seule entrée pour éviter un compartimentage de l'offre. » Ensuite, ces mêmes libraires pourront proposer une offre aux bibliothèques, dans une configuration similaire à celle éprouvée depuis un moment pour les livres papier.
Comment enseigner Google* ? Présentation rapide : Travailler sur la notion de moteur de recherche à travers l’exemple de Google et de son fonctionnement dès les premières années du collège apparaît assez clairement indispensable. C’est l’outil de recherche majoritairement utilisé par nos élèves, leurs parents et nous-mêmes, c’est parfois la seule porte utilisée pour l’accès à l’information. Or cet accès même pose problème : pourquoi Google choisit-il de classer tel ou tel résultat parmi les premiers ? Explication développée : Objectif de l’apprentissage : Comprendre l’objet Google pour comprendre l’action que l’on peut avoir sur cet objet (cf André Tricot dans Comment concevoir un enseignement de Tricot, Musial et Pradère) "L’objet" d’étude Google est si étendu et complexe qu’il est sans doute pertinent avent de construire sa séquence de faire la liste des apprentissages précis que l’on souhaite développer à partir de quels types d’activités. Liens : Une année avec Google, article de Frédéric Rabat
P’tit guide pour les tablettes Ce p’tit guide résulte d’une mini-formation sur les tablettes faite aux collègues de la Médiathèque intercommunale de Tarn & Dadou. Il reprend les éléments de base qui permettent de verrouiller ou pas les tablettes, de rajouter une application, de faire un peu de ménage… Je vous le partage tel qu’il a été diffusé sur le réseau. Gérer les restrictions Les restrictions permettent de bloquer certaines fonctionnalités ou applications. Pensez à verrouiller à nouveau la fonctionnalité après utilisation, notamment pour l’ajout d’applications !! App Store Le « magasin » d’applications vous permet d’installer de nouvelles applications. Les mises à jour Il existe deux sortes de mises à jour, elles doivent être réalisées !! Nettoyage Cette opération est sans risques, elle ne supprime pas les applications mais juste une « trace » de ces applis. Effacer Historique/Cookies et compagnie… Paramètres La page Paramètres correspond à la page Réglages de l’Ipad.
Qui achète des livres numériques ? L’équipement de tablettes et de liseuses augmente, les catalogues de livres numériques s’étoffent et la concurrence entre tous les acteurs du secteur est particulièrement incertaine. C’est pourquoi le moment est crucial pour observer les tendances majeures de la lecture et de l’achat de livres numériques. Le MOTif s’est associé au médialab de Sciences Po pour réaliser une analyse comparative des fonctionnalités de 20 plates-formes de vente d’ebooks et examiner la population actuelle des usagers de livres numériques. Sans surprise, les personnes interrogées présentent majoritairement un profil de "grand lecteur" ; la moitié, en moyenne, des livres qu’ils lisent sont au format numérique. Les difficultés se concentrent autour de quatre points : - la recherche d’information et de livres sur les plates-formes, - les difficultés de transfert et de téléchargement, - les difficultés liées à la mise en forme du texte, - la compatibilité des fichiers téléchargés sur les terminaux dédiés.
Pour en finir avec le prêt de livres numériques dans les bibliothèques, quels modèles d'accès J'ai écrit ce blog entre 2005 et 2018, de nombreux billets peuvent vous intéresser. Désormais je m'occupe de Design des politiques publiques. Retrouvez-moi sur mon nouveau blog ! Symbioses Citoyennes Il y a quand même des paradoxes dans le paysage numérique de ce début 2013. L’offre est très pauvre pour des bibliothèques perçues comme des centres sociaux pour ceux-qui-n’ont-pas-d’argent-pour-se-payer-un-ipad., dixit M. Pour beaucoup de professionnels, tout ça est complexe (et ça l’est sans conteste). En droit, le contrat de prêt est une convention, définie par le droit civil, par lequel une personne (le prêteur) livre un service à une autre personne (l’emprunteur), afin qu’il en use, mais à charge de la restituer, après un temps déterminé. On le voit : la notion implique une durée de prêt. Ensuite vient le mot numérique. L’équivalence est tentante pour ceux qui s’adressent à des bibliothécaires habitués à prêter des objets. Pourquoi donc vouloir contrôler le durée d’usage d’un fichier ?
Inventer de nouveaux usages : l’ebook en bibliothèque « Le blog de Bouquineo Parmi les grand chantiers en cours, dans cette entrée timide mais progressive de la lecture numérique dans les mœurs, celui du prêt de livres numériques a fait parler de lui ces derniers temps. Voici un petit état des lieux en ce printemps 2012. Comment prête t-on un livre numérique à l’heure actuelle ? Via des bibliothèques ou des plateformes spécifiques de prêt de livres numériques Pour faire simple, les bibliothèques achètent l’accès à un catalogue d’ouvrages qu’elles mettent à disposition de leurs utilisateurs. Du point de vue de l’utilisateur, en général, le prêt de livres est géré par DRM et/ou par chronodégradation : le livre est prêté pour une durée déterminée, pendant laquelle il n’est pas accessible aux autres utilisateurs, et passée laquelle le fichier se rend inutilisable pour l’emprunteur. Entre utilisateurs Le principal système de prêt d’ebooks entre utilisateurs à l’heure actuelle est celui proposé par Amazon. Avec quel modèle économique ? Les prestataires Les éditeurs
Apprendre et enseigner avec les réseaux sociaux : engluage sur la t... Bibliobox La bibliobox a été inventée par Jason Griffey. Elle est une déclinaison de la Piratebox imaginée par David Darts. Présentation[modifier] Il s'agit d'un dispositif nomade permettant d'accéder à des ressources numériques ne nécessitant pas de connexion internet. La Bibliobox peut s'utiliser dans différents contextes notamment en bibliothèque. La Bibliobox peut accueillir des oeuvres créées ou réalisées -sous licences ouvertes - par les bibliothèques, tout comme elle a vocation à diffuser des documents à caractère professionnel pendant des journées d'étude et des stages. De manière plus interactive, elle peut également servir de lieu d'échange entre lecteurs et fréquenteurs d'une bibliothèque, au cours d'opérations de médiations numériques. [modifier] Présentation de la piratebox d'Aulnay-sous-Bois (23min) La Bibliobox fonctionne grâce à un routeur TP-link MR-3020 et une clé USB. Nouvelle version[modifier] Jason Griffey a publié en mars 2014 la nouvelle version de la BiblioBox.
Édition numérique professionnelle Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Édition numérique professionnelle désigne un segment de marché spécialisé dans l'édition numérique destinée aux organisations. Modèle économique[modifier | modifier le code] Publicité[modifier | modifier le code] Le chiffre d'affaires de l'entreprise est principalement réalisé par la facturation des encarts publicitaires ou la vente de ses fichiers d'abonnés à des annonceurs ; l'entreprise diffuse gratuitement ou pour un coût modique ses publications. Abonnements[modifier | modifier le code] Le chiffre d'affaires de l'entreprise est principalement réalisé par les revenus tirés des abonnements à ses publications[1]. Spécialités[modifier | modifier le code] Voici une liste des acteurs principaux de l'édition numérique professionnelle par secteur dans le monde [réf. nécessaire]: Information juridique et fiscale[modifier | modifier le code] Information financière[modifier | modifier le code] Information marketing[modifier | modifier le code]
Une liseuse, des lecteurs Livre Numerique par Elliot Lepers (publié sur FlickR sous licence Creative Commons Paternité, Pas d’utilisation commerciale). C’était il y a un an : Amazon sortait en France sa liseuse Kindle 4ème génération, adaptée à notre marché. Simultanément, de nombreux modèles concurrents étaient commercialisés (la PRS-T1 de Sony, la Kobo de la FNAC, la Cybook Odyssey et la Cybook Orizon de Bookeen pour citer les principaux). L’arrivée de ses nouveaux supports électroniques était attendue mais aussi redoutée par les différents acteurs de la chaîne du livre, car en dissociant le support du contenu, la lecture numérique ouvrait la voie à de nombreux bouleversements qui semblaient ne vouloir épargner personne : les auteurs (seraient-ils piratés ?) En voici les grandes lignes. De multiples choix à faire Le service de prêt a été encadré par une charte signée par les utilisateurs, et la durée de l’emprunt a été alignée sur celle des documents « physiques », qui était de trois semaines. Imprimer ce billet