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Compétences relationnelles (3): savoir dire non

Compétences relationnelles (3): savoir dire non
Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles / Mieux communiquer Qui n’a jamais accédé à une demande, une requête, accepté une invitation, un projet tout en mourant secrètement d’envie d’envoyer son interlocuteur balader ou se faire cuire un œuf, selon la nature de la demande? Savoir dire non s’apprend, comme à faire du vélo, malgré le risque de s’écorcher un genou de temps en temps… voici comment. Nous avons tout un tas d’excellentes raisons pour céder aux demandes des autres malgré nous: besoin de faire plaisir, d’être aimé, peur d’être jugé, peur de blesser, de décevoir, peur du conflit etc.Toutes ces raisons sont liées à notre besoin d’appartenance ou d’intégration sociale et à son corollaire, la peur d’être rejeté. C’est vrai que potentiellement, agir en accord avec ce que nous voulons, ce qui est bon pour nous, ce serait méchant, égoïste, ça ferait de la peine à Maman. Pourtant, combien de fois est-ce qu’on nous dit “non”, à nous? Voir aussi:

http://www.ithaquecoaching.com/articles/competences-relationnelles-3-savoir-dire-non-827.html

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Oser dire non - [DOSSIER "Trop tirer sur la corde peut la faire craquer"] Le blog des Rapports Humains Nous voici de retour avec le billet sur cette fameuse corde sur laquelle nous avons parfois tendance à trop tirer, qui s’use et risque de se rompre à un moment donné. L’année dernière (et oui…) nous avions vu la première hypothèse pouvant conduire à cette fâcheuse issue : les méconnaissances. Continuons aujourd’hui avec un autre facteur susceptible d’user la corde : ne pas oser dire non. Qui n’a jamais répondu un grand OUI à une invitation avec le sourire et l’enthousiasme qui va avec, alors qu’au fond de lui c’était plutôt du genre “Ah non, j’ai pas trop envie d’y aller à cette soirée. Demain j’ai une grosse journée qui m’attend, etc.” ? La suite (psycho)logique de cette scène vous entraînera soit sur le chemin d’un scénario digne des plus grands thrillers pour annuler l’invitation, soit sur celui de l’autoflagellation en vous reprochant justement votre difficulté à oser dire non.

Casino prescrit le management bienveillant, Gérer et Motiver son équipe La bienveillance est à la mode. Les blogs et les livres se multiplient sur le sujet, et, au lendemain des attentats, les managers sont appelés à entourer avec « bon sens et bienveillance » les salariés. Faut-il en déduire que le management était jusqu'ici malveillant ? « Plus la crise s'aggrave, plus forte est la tendance à un management désincarné et mécaniste prétendument imposé par la nécessité de tenir la bride », constate Yves Desjacques, DRH de Casino. « Alors que la recherche de sens n'a jamais été forte compte tenu de l'effondrement des convictions politiques, morales ou religieuses, il ne faut pas que l'entreprise considère que les questions d'épanouissement et de bonheur au travail ne sont pas de son ressort, réduisant le lien social au contrat de travail », s'insurge le DRH qui sonne le tocsin dans la préface du « Bonheur dans ordonnance », signé par l'ex-urgentiste Philippe Rodet. Objectif : encadrer sans stresser Le stress du timing

Guide de survie aux abrutis: le bocal à con Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles La plupart du temps, les solutions élaborées par les clients sont trop personnelles pour pouvoir être utiles à d’autres. Cependant, parfois, leurs caractéristiques métaphoriques peuvent les rendre transformables en véritables outils exploitables par bon nombre de personnes. Reconversion professionnelle: les 3 super pouvoirs de ceux qui n’ont pas de passion Selon de nombreuses publications, changer de métier passe par une première étape cruciale : trouver sa passion, sa vocation, le métier pour lequel on est fait. Vous le savez déjà, je ne suis pas du tout adepte de cette vision limitatrice version conte de fées décérébré. Et voici pourquoi, résumé dans cette vidéo : certains n’ont pas de vocation et tant mieux, ils ont des super pouvoirs à la place !

Dix conseils pour être gentil tout en s'affirmant - L'Express Styles Longtemps moquée, la gentillesse est peu à peu réhabilitée. Elle bénéficie même désormais d'une journée dédiée, c'est dire. Mais malgré tout, au mot "gentil" est encore régulièrement accolé l'adverbe "trop". La bienveillance au travail, un vecteur de bien-êtreJ'aime le lundi ! Mieux vivre le travail… La bienveillance au travail, un vecteur de bien-être Pour se sentir bien dans son travail, heureux et épanoui dans l’accomplissement de ses tâches, il est important de sentir la confiance et le soutien de ses collaborateurs mais surtout celle de son manager. Celui-ci a, en quelque sorte, la responsabilité et l’initiative de mettre en place toutes les conditions nécessaires au confort physique et mental de ses collaborateurs pour qu’ils puissent s’épanouir et travailler dans les meilleures conditions possibles. Il doit également veiller à ce que la compétition, inhérente à certaines activités ne l’emporte pas sur le reste et privilégier des méthodes de management humaines et attentives pour éviter les écueils d’un management trop autoritaire et mécanique (burn-out, mais aussi stress, présentéisme etc..) et développer avant toute chose, les relations humaines entre ses collaborateurs. Le maintien de liens relationnels forts dans l’entreprise

Faire quelque chose pour soi: parce que nous le valons tous! Comme il est difficile de faire quelque chose pour soi et rien que pour soi! Non parce que quand même, il ne faudrait pas être un gigantesque égoïste nourri à l’individualisme comme d’autres sont nourris aux cornflakes et se gonfler tellement de son auto-importance qu’on pourrait finir comme une certaine grenouille dans une certaine fable! Allez, ré-apprenons à faire parfois quelque chose pour nous-mêmes, parce que c’est bon pour tous;) L’autre jour, ma cliente Philomène m’explique en long en large et en travers qu’elle aurait besoin de dégager du temps pour elle, parce qu’elle ne supporte plus ses douleurs chroniques dans le dos et qu’elle a besoin de rééducation et de natation pour entretenir une posture et une musculature qui l’aideraient considérablement.

8 étapes pour gérer les périodes de doute La vie professionnelle, qu’on soit en poste, en recherche d’emploi, en reconversion, ou en création d’entreprise, nous réserve suffisamment de hauts et de bas pour que, de temps à autres, le doute insidieux s’immisce par les plus petites fissures de la confiance en soi. Et il se peut même qu’alors on se décourage, qu’on ait plus envie de rester sous la couette en mode hibernation que de prendre la moindre décision ou de poser la moindre action. Voici comment sortir du marécage en 8 étapes. Parce que le futur n’est jamais sûr, toujours en mouvement comme on dit chez les grands sages intergalactiques, aussi il est parfois moins facile de lui (de nous) faire confiance que de se mettre quelquefois à nous interroger sur le bien-fondé de ce que nous entreprenons. Et lorsque le doute s’installe, c’est toute la machine qui ralentit: on en vient à questionner chaque décision, chaque stratégie, à ressasser en boucle nos appréhensions. 1- Admettre que les tripes ont toujours raison…

Relations au travail: et la gentillesse bordel?! C’est aujourd’hui la journée de la gentillesse, à l’initiative de Psychologies Magazine. L’occasion de revaloriser une faculté souvent considérée – à tort – comme une faiblesse, un danger, un comportement de bisounours naïf et irréaliste. Alors qu’elle est le pilier d’une élégance et d’un panache relationnels qui sont autant de preuves de courage et de force de caractère que générateurs de comportements positifs. De l’or en barre. Au jury Mines-Ponts, nous avons notre jargon de correcteurs d’anglais, et dans celui-ci il y a les YAM, les “y’en a marre”, les ras-le-bol de l’erreur grammaticale ou syntaxique tellement de base que le taupin moyen l’a étudié a minima 9 fois dans sa scolarité. Dans les discours managériaux, le YAM suprême à mes yeux est bien une définition de la gentillesse qui la transforme en comportement bébête de paillasson à collègues qui vous envoie direct dans le groupe des corniauds et cruchots du boulot.

5 raisons d'oser confier des responsabilités aux jeunes dans votre entreprise Inexpérimentés, démotivés, zappeurs, réfractaires à l'autorité, individualistes... Les idées reçues sur les jeunes en entreprise ont la vie dure. Ces stéréotypes, Anjuli Pandit les combat à sa manière, en multipliant les conférences. Son meilleur argument ? Confiance en soi: la raison et les tripes Nous apprenons à privilégier la raison sur les ressentis et à nous raisonner pour minimiser des émotions comme la peur ou la colère. A tort, car nos tripes sont porteuses de messages à ne surtout pas négliger pour développer la confiance en soi. Platitude N°24ter du Grand livre des évidences: nous sommes des êtres de raison. Et cette raison est formidable: elle nous permet de réfléchir, de concevoir de grandes choses, de construire et de réaliser des projets complexes et remarquables, de faire des progrès technologiques extraordinaires, et parfois même de ne pas dire d’âneries quand nous prenons la parole dans un dîner en ville.

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