Pyramide des besoins Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pyramide des besoins Théorie de Maslow[modifier | modifier le code] Présentation générale[modifier | modifier le code] Représentation dynamique de la hiérarchie des besoins. Besoins physiologiques Besoins de sécurité Besoins d'appartenance et d'amour Besoins d'estime Besoin d'accomplissement de soi C'est en 1970, dans la deuxième édition de son ouvrage Motivation and Personality, qu'apparaît l'exposé le plus complet de sa théorie de la motivation : la hiérarchie des besoins. Maslow découvrit par la suite que les besoins s'inscrivaient dans le cadre d'une hiérarchie. Remarque : Lorsqu'un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. Relativité et progressivité[modifier | modifier le code] La représentation de la hiérarchie des besoins sous la forme d'une pyramide a généré bon nombre de malentendus et, par là même, des critiques infondées. L'émergence soudaine des besoins ;La satisfaction absolue des besoins.
Compétences relationnelles (3): savoir dire non Sylvaine Pascual – Publié dans: Compétences relationnelles / Mieux communiquer Qui n’a jamais accédé à une demande, une requête, accepté une invitation, un projet tout en mourant secrètement d’envie d’envoyer son interlocuteur balader ou se faire cuire un œuf, selon la nature de la demande? Savoir dire non s’apprend, comme à faire du vélo, malgré le risque de s’écorcher un genou de temps en temps… voici comment. Nous avons tout un tas d’excellentes raisons pour céder aux demandes des autres malgré nous: besoin de faire plaisir, d’être aimé, peur d’être jugé, peur de blesser, de décevoir, peur du conflit etc.Toutes ces raisons sont liées à notre besoin d’appartenance ou d’intégration sociale et à son corollaire, la peur d’être rejeté. C’est vrai que potentiellement, agir en accord avec ce que nous voulons, ce qui est bon pour nous, ce serait méchant, égoïste, ça ferait de la peine à Maman. Pourtant, combien de fois est-ce qu’on nous dit “non”, à nous? Voir aussi:
Le tour du monde des pratiques collaboratives Appréhender la complexité du nouveau monde Le nouveau monde est complexe, rapide, multiple, paradoxal, imprévisible… Saviez-vous que la vitesse moyenne d'une automobile dans Paris est de 17 km/h ? Une vitesse moyenne inchangée depuis le 19ème siècle, dans un monde où l’on peut pourtant discuter sans contraintes spatiales. Le monde change aujourd’hui plus vite que notre capacité à apprendre individuellement. Comment les pratiques collaboratives changent le monde ? "je donne et je reçois naturellement" La collaboration passe d’abord par le don. Connaissez-vous la Smile Cards ? Ce concept n’est pas nouveau, et rappelle la coutume du café suspendu, cher aux Napolitains. "JE PARTAGE et tout m’est accessible" On reçoit un don et on a ensuite envie de partager ses connaissances. A l’avenir, "notre statut social dépendra désormais davantage de l’accès que de la propriété" pour le penseur Jeremy Rifkin. "JE M’OUVRE à de nouvelles façon de penser"
surtout ne pas etre différent ou ne surtout pas le montrer ... Le bouc émissaire : pour l’avoir certes rarement mais tout de même parfois été ! Petits conseils à mes enfants ... Différent des autresQuoi qu’il se passe dans une école, tous les enfants trouvent que "c’est la faute de Untel" : un manteau est déchiré, on perd le match de football, il y a du bruit dans la classe, c'est toujours Untel qui est désigné coupable. Pourtant, Untel n'abîme pas les manteaux, joue très bien au football, et ne fait pas de bruit en classe. Pourquoi un individu précis devient-il le "bouc émissaire" ? Le "bouc émissaire "est donc celui qu’un groupe accuse de toutes les fautes et de tous les malheurs. Origine du nom "bouc émissaire" Dans la religion juive, un prêtre posait les mains sur la tête d’un bouc avant de l’envoyer dans le désert. On n’emploie parfois aussi l’expression "tête de Turc" pour désigner la personne dont tout le monde se moque. Quelques exemples Les boucs émissaires ont toujours existé. Un coupable… pour cacher les vraies causes
Faire quelque chose pour soi: parce que nous le valons tous! Comme il est difficile de faire quelque chose pour soi et rien que pour soi! Non parce que quand même, il ne faudrait pas être un gigantesque égoïste nourri à l’individualisme comme d’autres sont nourris aux cornflakes et se gonfler tellement de son auto-importance qu’on pourrait finir comme une certaine grenouille dans une certaine fable! Allez, ré-apprenons à faire parfois quelque chose pour nous-mêmes, parce que c’est bon pour tous;) L’autre jour, ma cliente Philomène m’explique en long en large et en travers qu’elle aurait besoin de dégager du temps pour elle, parce qu’elle ne supporte plus ses douleurs chroniques dans le dos et qu’elle a besoin de rééducation et de natation pour entretenir une posture et une musculature qui l’aideraient considérablement. Nous rechignons à faire quelque chose pour nous-même à cause du regard potentiellement désapprobateur des Autres. – Une bonne humeur bienfaisante. Voir aussi Aller plus loin
Priorité à l’intelligence collective pour accélérer l’innovation C’est par l’alliance entre la maîtrise technologique et l’observation des besoins clients qu’émerge l’innovation. Les sociétés qui innovent le plus sont celles qui se recentrent sur l’usager. En découlent de nouvelles façons de penser, comme le design thinking, une approche pluridisciplinaire centrée sur l’humain, définie il y a bien longtemps, mais qui mériterait d’être généralisée aujourd’hui. Accélérateur d’innovation et co-construction L’intelligence collective doit être priorisée. L’idée est de provoquer des synergies en dehors de l’entreprise en créant, par exemple, une entité menant des collaborations actives entre grands groupes, PME et start-ups, entre entreprises, monde académique et collectivités locales, entre secteurs de l’industrie et du service… Le but est de décloisonner l’entreprise, de susciter des rencontres et des échanges, de faire interagir ces différents acteurs. Intrapreneuriat et intelligence collective Patricia Ardillier et Robin Sappe
46: Procrastination : comment la vaincre 1. Procrastination “Good resolutions are useless attempts to interfere with scientific laws. Their origin is pure vanity. Their result is absolutely nil.“Oscar Wilde, The Picture of Dorian Gray1 La procrastination, c’est la difficulté à commencer quelque chose, la tendance à reporter à plus tard ce qui devrait être fait tout de suite. Elle est plus que répandue : “Les estimations indiquent que 80% à 95% des étudiants de 1er cycle s’engagent dans la procrastination (Ellis & Knaus, 1977; O’Brien, 2002), environ 75% d’entre eux se considèrent eux-mêmes comme procrastinateurs (Potts, 1987) et presque 50% procrastinent régulièrement et problématiquement (Day, Mensink, & O’Sullivan, 2000; Haycock, 1993; Micek, 1982; Onwuegbuzie, 2000a; Solomon & Rothblum, 1984). Ses effets ont été démontrés désastreux. Pathologie La procrastination n’est pas une maladie mentale et ne relève pas de la psychiatrie. Les aspects positifs Pourquoi alors la procrastination serait-elle négative ? L’Effet Zeigarnik Notes 2.
Technique d'apprentissage PNL : la carte mentale Technique d'apprentissage dans les écoles en Finlande Une technique à modéliser dans nos écoles partout dans le monde. C'est d'une simplicité, les enseignants démontrent aux étudiants à construire une carte mentale pour mieux apprendre et surtout ils axent sur l'individualité de chacun dans la compréhension. Un respect et une reconnaissance de l'être est préconisé dans cette approche. BRAVO chers Finlandais! La carte mentale permet de faire immerger le génie en nous, inventé par un psychologue anglais Tony Buzan. Un logiciel vous est offert gratuitement: Méthode d'apprentissage Finlandaise : la carte mentale ...envoyé par le-comite-invisible. - Les derniers test hi-tech en vidéo.
LES 12 SIGNES: L'INTELLIGENCE COLLECTIVE DES CHAMPIONS DU MONDE Quelques extraits vidéo du plus grand coach sportif de tous les temps, tous sports confondus : Claude Onesta, double champion olympique, multiple champion du monde et d’Europe de Handball. Est- ce le coach qui forme l’équipe ou est-ce l’équipe qui forme le coach ? Quel processus suivent-ils ? 10 changements qui se produiront quand vous appréciez d'être seul Certaines personnes pensent que le fait d’être «seul» est une mauvaise chose. Cela signifie soit que vous êtes antisociale, ou non désiré, et dans tous les cas, ça ne fait pas bonne figure. En réalité, être solitaire n’est pas nécessairement une mauvaise chose, car il y a de nombreux bénéfices provenant de la solitude quand vous apprenez à l’accueillir à bras ouverts. Cela ne sous-entend pas d’adopter le style de Tom Hanks dans le film « Seul au monde », parce que personne ne peut discuter des avantages et de la joie provenant de l’accomplissement des relations avec les autres personnes. Mais cependant, lorsque vous apprenez à apprécier d’être seul, vous grandissez en tant que personne. Voici dix changements étonnants qui se produiront dans votre vie lorsque vous apprenez à apprécier d’être isolé. 1. Souvent quand nous sommes entourés d’autres personnes, nous dépensons beaucoup d’énergie. 2. Les événements dans votre vie sont toujours en mouvement et passent à une vitesse folle. 3. 4. 5.
This is how our bodies betray us in a lie Let me start with a question: How do you know if a person is lying? If you’re like most people, your first response will be something like “Liars don’t make eye contact.” In a survey of 2,520 adults in sixty-three countries, 70 percent of respondents gave that answer. People also tend to list other allegedly telltale signs of lying, such as fidgeting, nervousness and rambling. When we are being inauthentic — projecting a false emotion or covering a real one — our nonverbal and verbal behaviors begin to misalign. This idea is not exactly new. Simply put, lying — or being inauthentic — is hard work. When people lie, they are juggling multiple narratives: what they know to be true, what they want to be true, what they are presenting as true, and all the emotions that go along with each — fear, anger, guilt, hope. Simply put, lying — or being inauthentic — is hard work. Lying and leaking go hand in hand. All participants watched a videotape of ten strangers speaking.
La conduite du changement : une nécessité pour créer un réseau social d’entreprise Les limites des approches actuelles d’implémentation des RSE Depuis quelques années déjà un sujet préoccupe de nombreuses organisations et médias, il s’agit de la mise en œuvre des réseaux sociaux d’entreprise. De fait, des récentes enquêtes ont montré que de nombreuses organisations avaient initialisé des projets d’implémentation même si elles avaient démarré par une expérimentation sur un périmètre limité. Cependant comme l’ont signalé les cabinets d’analyse, les résultats n’ont pas toujours été à la hauteur des espérances et de nombreuses opérations n’ont pas eu le déploiement prévu. C’est-à-dire de manière concrète que les collaborateurs ne se sont pas ou faiblement impliqués dans l’utilisation de ce nouvel outil logiciel. Comme toujours, la réussite de la mise en œuvre d’un nouveau dispositif dans une organisation dépend de nombreux paramètres.