Vers l’État plateforme L’annonce par le gouvernement, en octobre 2017, du programme « Action publique 2022 » visant la « transformation numérique des services publics » par la dématérialisation de 100% des actes administratifs, a fixé l’horizon d’un mouvement de modernisation technique engagé par la majorité des administrations et organismes publics (État, organismes de sécurité sociale, collectivités), dont deux rapports du Défenseur des droits viennent de dénoncer le déploiement « à marche forcée » et ses effets de mise à distance voire d’exclusion de certains de ses usagers. Malgré une stratégie nationale pour un numérique inclusif, les pouvoirs publics semblent peiner à prendre la mesure de ce qu’implique la « transition numérique » de l’État dans sa relation aux usagers. Entre rationalisation budgétaire et perspective d’un État plateforme, se joue pourtant une transformation profonde de la relation à l’offre publique. La dématérialisation des services publics et ses implicites Une obligation incapacitante
Du «hard news» à l’affirmation d’opinions, la grande mutation des chaînes d’info Internet des objets Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'Internet des objets (IdO ou IoT pour Internet of Things en anglais) représente l'extension d'Internet à des choses et à des lieux du monde physique. Alors qu'Internet ne se prolonge habituellement pas au-delà du monde électronique, l'internet des objets connectés représente les échanges d'informations et de données provenant de dispositifs présents dans le monde réel vers le réseau Internet. L'internet des objets est considéré comme la troisième évolution de l'Internet, baptisée Web 3.0 (parfois perçu comme la généralisation du Web des objets mais aussi comme celle du Web sémantique) qui fait suite à l'ère du Web social. L'internet des objets revêt un caractère universel pour désigner des objets connectés aux usages variés, dans le domaine de la e-santé, de la domotique ou du Quantified Self. Histoire et définition de l'internet des objets[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Radio-étiquettes
La place de la gouvernance de l’information dans le secteur public | Serda Conseil Serda Archimag publie comme chaque année le Rapport de la Gouvernance sur l’information numérique. Ce 8ème rapport confirme des tendances émergentes depuis 2 ou 3 ans et la progression lente mais assurée de la mise en œuvre des programmes de Gouvernance de l’Information numérique dans les organisations en France. 3 résultats sont à noter : La réelle progression du secteur public. Je ne résiste pas à vous remonter quelques autres enseignements issus de l’enquête de cette année, et qui privilégie des choix de solutions (domination de la GED/ECM, progression de la signature électronique, progression de la GED collaborative, apparition de nouvelles tendances GED et Intelligence artificielle, RPA et workflow,..) et met en évidence la dynamique du secteur public. Pour télécharger le rapport en intégralité, rendez-vous sur cette page. Caroline Buscal Responsable Serda Conseil
Club de Rome Le Club de Rome est un groupe de réflexion réunissant des scientifiques, des économistes, des fonctionnaires nationaux et internationaux, ainsi que des industriels de 52 pays, préoccupés des problèmes complexes auxquels doivent faire face toutes les sociétés, tant industrialisées qu'en développement. Réunie pour la première fois en avril 1968, l'organisation acquiert une notoriété mondiale à l'occasion de la publication de Les Limites à la croissance en 1972, aussi connue sous le nom de rapport Meadows, qui constitue la première étude importante mettant en exergue les dangers, pour l’environnement et donc l'humanité, de la croissance économique et démographique que connaît alors le monde. Historique[modifier | modifier le code] L'organisation découle des discussions ayant lieu au sein de l'Organisation de coopération et de développement économiques à propos des « problèmes de la société moderne » et d'une « crise planétaire » naissante. Organisation[modifier | modifier le code]
Culture numérique au CDI Dans mon collège, cette année, j’ai proposé la mise en place d’une expérimentation en classe de 5ème. Avec l’accord de ma principale adjointe, tous les élèves ont eu dans l’emploi du temps une heure de "Culture numérique" en demi-classe tous les quinze jours, heure que j’ai assurée en tant que professeure documentaliste. Nous avons intitulé ce module "Culture numérique" bien que l’appellation ne fasse pas du tout consensus et qu’on ne sache pas forcément bien ce qu’elle recoupe. J’ai d’ailleurs hésité entre cette appellation et celle d’Éducation aux médias et à l’Information (EMI). Mais l’intitulé "Culture numérique" paraissait parlant pour que les élèves et les collègues perçoivent le déplacement entre l’ancienne IRD, centrée sur le CDI et les méthodes de recherche documentaire, et l’intention ici de comprendre - critiquer - participer à et dans l’environnement numérique. Je souhaitais voir si je pouvais atteindre mes objectifs plus facilement en 5ème. Déroulement de l’année
Le web de données, planche de salut des bibliothèques sur le web Comment les bibliothèques peuvent-elles exister sur le web ? À cette question, Laurence Engel, la présidente de la Bibliothèque nationale de France, apporte un début de réponse : « La BNF mène une bataille pour le référencement », nous déclarait-elle l’an dernier ; « c’est un enjeu majeur. Il faut capter l’attention de l’internaute. Pour accroître cette visibilité, la BNF peut compter sur Data.bnf.fr. Lancé en 2011, Data.bnf.fr regorge donc de données qualifiées. « Ces données permettent notamment de décrire et identifier les documents conservés à la BNF. Décloisonner l’information Pour y parvenir, Data.bnf.fr embarque une technologie : « Le web de données permet de décloisonner l’information sur le web en créant du lien entre des données qui sont similaires ou qui sont en relation à l’intérieur de bases de données stockées sur différents serveurs », explique Emmanuelle Bermès, adjoint....
Biorégion Une biorégion correspond à un territoire dont les limites ne sont pas définies par des frontières politiques, mais par des limites géographiques qui prennent en compte tant les communautés humaines que les écosystèmes[1]. Le modèle biorégional combine une série d’éléments spatiaux, en s’appuyant sur le principe de l’écologie du paysage et de la biogéographie insulaire (island biogeography), mais avec la volonté d’intégrer les conceptions sociétales provenant du concept de territoire[2]. Le biorégionalisme est à la fois une philosophie et un engagement social qui met l’accent sur de petites échelles, la décentralisation [3]. Comme l’avance Peter Berg, le concept de biorégion est un concept plus culturel que scientifique[4]. Les biorégionalistes mettent en avant le fait que la protection de l'environnement devrait être fondée sur des caractéristiques locales, à savoir les biorégions. Les origines de la biorégion[modifier | modifier le code] Critiques du concept[modifier | modifier le code]
Plus de 50 MOOC créatifs d’étudiants sur la culture numérique (Université Lille 3) La culture numérique, cela existe-t-il ? Laurence Allard, maîtresse de conférences en Sciences de la Communication (IRCAV-Paris 3-Lille 3) a initié un impressionnant travail sur cette thématique avec des étudiants qui rassemblent, extraient et cherchent à formaliser des connaissances de 3 ans d’études en Culture et Médias (présentement en cursus L3 Culture et Médias à l’Université Lille 3 – Charles de Gaulle). Ils s’appuient également sur leurs propres pratiques numériques et recherches via des travaux inventifs, : Le Mooc des Etudiant-e-s : savoirs situés, classe renversée et créativité digitale – voir les réalisations à cette adresse : le réseau du MOOC des étudiants. Des savoirs numériques situés D’un savoir « institué », les étudiants se saisissent d’un savoir « situé ». Le travail a été réalisé sur un semestre, de janvier à mai 2014 sans budget spécifique et avec les ressources propres des étudiants. MOOC créatifs Plus de 50 MOOC d’étudiants sur la culture numérique
Les tendances technologiques en bibliothèques - Biblio Numericus Il y a quelques jours au cours d’une conférence, Bill Gates a listé les dix innovations technologiques à venir qui vont transformer le monde. De l’énergie nucléaire à la santé en passant par l’alimentation, ces technologies sont supposées transformer nos vies et notre quotidien. Mais si on regarde du côté des bibliothèques, on voit qu’une autre ligne se dessine et des technologies sont en train de faire leur place et transforment non pas le monde mais l’image des bibliothèques et la pratique des professionnels. L’American Libraries Magazine a interrogé des spécialistes « tech » dans le monde des bibliothèques pour faire le tour des tendances actuelles en matière d’applis, d’appareils, de logiciels et la façon dont certaines bibliothèques s’en sont emparées et les ont intégrés dans leur offre de services. Les technologies immersives Au-delà du jeu, Valenza cite l’exemple de nouvelles formes de narrations conçues spécifiquement pour la réalité virtuelle. Développer la culture numérique
Jean-Baptiste Doumeng Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Jean-Baptiste Doumeng en 1961 à Noé, lors de l'élection de "la Belle Gaillarde" (concours de miss). Responsable de l'approvisionnement, il est homologué lieutenant des Forces françaises de l’intérieur (FFI)[4]. Parallèlement à son engagement dans la résistance, il reste proche du monde paysan et devient l’un des principaux animateurs de la section toulousaine des Comités de défense et d’action paysans (CDAP) clandestins, destinés à préparer l’émancipation du monde agricole[3]. Jean-Baptiste Doumeng se lance dans les affaires à partir de 1946 en créant l’Union des coopératives agricoles du Sud-Ouest (UCASO), des coopératives d’approvisionnement départementales, qui procurent les produits au prix coûtant[3]. Jean-Baptiste Doumeng à Noé (juillet 1974). Il a dirigé l'entreprise Jacques Esterel. À sa mort, en 1987, son groupe pèse 30 milliards de francs, soit 4,5 milliards d'euros[2].
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