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Innovations pour la protection de l'environnement

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Pérou : ils produisent de l’électricité grâce à la photosynthèse des plantes. Des scientifiques péruviens ont imaginé un système autonome et durable capable de capter l’énergie de la photosynthèse d’une plante pour ainsi créer de l’électricité.

Pérou : ils produisent de l’électricité grâce à la photosynthèse des plantes

Un modèle nommé "Plantalámpara" permet désormais d’apporter la lumière aux populations rurales vivantes dans la forêt amazonienne. Quand l’homme contemple son environnement et s’inspirent de la mère nature, le résultat peut être extraordinaire. Cette même nature, dans toute sa splendeur, lui apparaît alors comme une source d’ingéniosité, de sagesse et le dirige dans la bonne direction. Il est fréquent que les solutions aux problèmes qui nous préoccupent le plus, soit moins complexes qu’elles n’y paraissent.

En voici un exemple avec “Plantalámpara”, en lampe révolutionnaire qui fonctionne avec de l’électricité issue de la photosynthèse des plantes. Amener la lumière au fin fond de la forêt amazonienne. Innovations: La route du futur carbure à l'écologie. TRANSPORTS Deux mois avant la COP21 et au lendemain de la présentation de la route solaire, petit tour des inventions qui dessinent des routes plus vertes...

Innovations: La route du futur carbure à l'écologie

Oihana Gabriel Publié le Mis à jour le Bruyantes, polluées et éphémères ? Grâce à une multiplicité d’inventions, les routes du futur pourraient devenir vertueuses, utiles et durables. 20 Minutes part sur les traces de ces trouvailles certes révolutionnaires mais qui ne disent pas leur prix. La route solaire C’est une première mondiale et on la doit à la France. Le revêtement anti-bruit Les voisins du périphérique en rêvaient… Petit à petit, le périph’parisien se transforme pour atténuer les nuisances sonores.

Peinture luminescente. Huit techniques innovantes pour l’environnement récompensées – Eau – Environnement-magazine.fr. Dans le futur, on roulera... sur des routes en plastique. Si on attend encore de pouvoir monter à bord de voitures volantes, il semblerait malgré tout qu'on soit bientôt en mesure de rouler sur des routes en plastique.

Dans le futur, on roulera... sur des routes en plastique

A défaut, on s'en contentera... Ca semble (malheureusement) se vérifier un peu plus chaque jour : nous sommes bel et bien entrés dans l’époque de l’Anthropocène, cette époque ayant débuté dès lors que les activités humaines ont eu « un impact global significatif sur l’écosystème terrestre ». Pour tenter de contrer la tendance, des ingénieurs planchent actuellement sur des routes en plastique, qui pourraient être installées et retirées des routes incroyablement vite. L’un des acteurs majeurs de cette tendance n’est d’ailleurs autre que l’entreprise de construction néerlandaise VolkerWessels, qui collabore étroitement avec Rotterdam dans le but de tester ces routes d’un nouveau genre dans un « street lab » fourni par la ville.

Verte, intelligente et connectée : la route du futur - La Croix. Saurea invente un moteur solaire haute fiabilité. Limiter au maximum l’électronique et les pièces d’usure.

Saurea invente un moteur solaire haute fiabilité

Tel est le crédo des fondateurs de Saurea qui ont mis au point le premier moteur solaire prévu pour durer 30 ans sans entretien. D’abord destiné au marché Africain du pompage de l’eau, le produit cherche de nouvelles applications. Entretien avec Grégory Deren, DGA de Saurea. Cleantech Republic : Quel est le principe de ce nouveau moteur ? Grégory Deren : L’idée a germé en 2008 dans la tête d’Alain Coty, ingénieur en électrotechnique, que j’ai rejoint en 2014 pour participer à l’industrialisation du moteur.

C’est assez technique ! Oui ! Vous mettez également en avant la fiabilité de ce système… Effectivement, l’absence d’aimants offre un axe de rotation totalement libre : il ne présente ainsi aucune résistance en cas d’entrainement de la pompe par une autre source d’énergie, notamment la motricité humaine (là où les moteurs à aimants doivent être découplés). Quelles sont les applications ? Quel modèle économique avez-vous choisi ? PILI se lance dans la biosynthèse de colorants. Prenez quelques bactéries bien choisies, nourrissez-les d’un peu de biomasse, laissez fermenter… Et soutirez votre colorant industriel !

PILI se lance dans la biosynthèse de colorants

C’est (presque) ainsi que PILI compte révolutionner une filière encore massivement tournée vers la chimie du pétrole. Explications avec Jérémie Blache, DG cofondateur de la start-up parisienne. Cleantech Republic : Quelles sont les spécificités de vos colorants innovants ? Jérémie Blache : Pour faire simple : il s’agit de produire des molécules colorantes par biosynthèse, à partir d’un carbone renouvelable. Concrètement, dans une cuve (du même type que celles que vous trouvez chez un brasseur de bière), nous faisons fermenter des micro-organismes (typiquement des bactéries) qui, en dégradant de la biomasse, produisent des molécules d’intérêt, dont l’une des propriétés est un fort pouvoir de coloration. Est-ce vraiment nouveau ? Pourquoi est-ce le bon moment ? Il existe des colorants végétaux… A quel stade de développement êtes-vous ?