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Étienne Chouard : Hugo Chavez

Étienne Chouard : Hugo Chavez
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Mort ou vif, Chavez est la cible du mépris des médias (Fair, Usa) La mort d’Hugo Chavez a suscité, en France, une tempête médiatique d’informations et de commentaires approximatifs, biaisés, voire mensongers qui les apparentent à de la pure propagande. Que le rôle du président du Venezuela et la politique qu’il a conduite fassent l’objet de controverses, rien de plus normal. Pour peu qu’elles reposent sur des informations exactes et des enquêtes effectives, et non sur une surenchère de raccourcis et de slogans. … Après nous être tournés vers les médias états-uniens qui ont donné la pleine mesure de ce que des médias dominants peuvent accomplir. Le président populiste de gauche du Venezuela [2], Hugo Chavez, est mort mardi 5 mars après avoir lutté pendant deux ans contre le cancer. Juste après sa première élection en 1998, le gouvernement américain le dénonçait comme une menace contre les intérêts américains – une image que les médias états-uniens ont largement caricaturée. Ces allusions sans fondement eurent cependant des répercussions médiatiques.

Discours de Vladimir Poutine à l'ONU [version complète] Vladimir ‪‎Poutine s’est exprimé lundi 28 septembre dans le cadre de la 70e session de l’Assemblée générale des Nations Unies à New York. Un discours très commenté dans la presse internationale que Le Courrier de Russie a traduit dans son intégralité afin que chacun puisse se faire sa propre opinion. Vladimir Poutine à la tribune de l’AG de l’ONU, le 28 septembre. Crédits : service de presse du Kremlin. « Monsieur le Président, Monsieur le Secrétaire général, Mesdames et Messieurs les Chefs d’État et de gouvernement, Mesdames et Messieurs, Le 70e anniversaire de l’Organisation des Nations Unies est l’occasion de réfléchir au passé et de parler de notre avenir commun. Les questions discutées à l’ONU donnent lieu à des accords sous la forme de résolutions ou ne donnent lieu à aucun accord. Nous savons tous qu’après la fin de la Guerre froide – tout le monde le sait – un centre de domination unique est apparu dans le monde. Nous ne devons pas oublier le passé.

Hugo Chavez, le ministre et les médias Il était une fois un ministre qui, le vendredi 8 mars 2013, interrogé par Europe 1 à l’occasion des obsèques d’Hugo Chavez crut bon de déclarer : « Moi je dis, et ça pourra m’être reproché, [...] que le monde gagnerait à avoir beaucoup de dictateurs comme Hugo Chavez puisqu’on prétend que c’est un dictateur. Il a pendant ces 14 ans respecté les droits de l’Homme. » N’importe quel journaliste, passé ou non par les écoles reconnues par la profession, pouvait comprendre que le ministre des Outre-mer, Victorin Lurel, entendait ainsi contester qu’Hugo Chavez était un « dictateur », louer, ne serait-ce partiellement, sa politique et non faire l’éloge de sa « dictature ». N’importe quel journaliste, mais pas nombre de médias parmi les plus réputés. Ceux-ci optèrent pour des titres, voire, pour certains d’entre eux, pour des commentaires, laissant entendre que c’est bien une dictature que saluait le ministre. De dictature, sous la présidence d’Hugo Chavez, il n’y en eut point. Henri Maler

Parlons-en : Tariq Ramadan (LCI) [12 décembre 2014] Salam alkm. Je m aperçois que la « diabolisation » de Mr Ramadan Tariq, ne cesse de s’accroître dès qu’il passe sur les plateaux télés. La question que je me pose, est ce qu’il n’est pas préférable pour Mr Ramadan d assister plutôt à des conférences, des débats et des réunions publiques musulmanes ou non, afin d’attirer un public averti et connaisseur et moins méfiants, que de participer à des émissions françaises,surtout que ces dernier l’utilise voir le manipule sournoisement, pour démontrer aux auditeurs ignorants, qu’il est un fervent défenseur de l’islam, et qu’il est un danger comme l’islam est un danger soi disant pour la France.

Chávez : pour les médias, un homme à abattre, par Steve Rendall « Le petit caïd vénézuélien Chávez est mort », titra en « une » le New York Times, tandis que le Times sablait le champagne devant « la mort d’un démagogue » (6 mars). Au cours de la nuit, la chaîne NBC avait tenu à expliquer : « L’expression “homme fort” précédait souvent son nom, et pour d’excellentes raisons » (5 mars). Au matin, ABC World News vit le soleil se lever sur « le premier jour où le peuple vénézuélien a cessé de vivre sous le joug de son président ». En France, une fois n’est pas coutume, Bernard-Henri Lévy concentrait le feu de sa critique sur l’« antisémitisme maladif » de l’ancien président vénézuélien (Le Point, 14 mars), cependant que le Prix Nobel de littérature Mario Vargas Llosa l’inscrivait dans la tradition des caudillos latino-américains, « ces clowns horripilants aux mains tachées de sang, gonflés de vanité par la servilité et l’adulation qui les entourent » (El País, 10 mars). Chávez n’a jamais trouvé grâce aux yeux des médias américains.

Selon Daniele Ganser les attentats comme les guerres peuvent être manipulés Dr. Daniele Ganser Silvia Cattori : Votre ouvrage consacré aux armées secrètes de l’Otan [1], s’attache à expliquer ce que la stratégie de la tension [2] et les Faux drapeau [3] comportent de grands dangers. Il nous enseigne comment l’Otan, durant la Guerre froide -en coordination avec les services de renseignement des pays ouest-européens et le Pentagone- s’est servi d’armées secrètes, a recruté des espions dans les milieux d’extrême droite, et a organisé des actes terroristes que l’on attribuait à l’extrême gauche. En apprenant cela, on peut s’interroger sur ce qui peut se passer aujourd’hui à notre insu. Daniele Ganser : C’est très important de comprendre ce que la stratégie de la tension représente réellement et comment elle a fonctionné durant cette période. Silvia Cattori : Apprendre ce que cela veut dire est une chose. Silvia Cattori : Ces armées secrètes étaient-elles actives dans tous les pays ouest-européens ? Silvia Cattori : Qu’en est-il aujourd’hui ?

George Galloway on Hugo Chavez at Oxford Union Les USA, le Canada et l’Ukraine refusent de condamner la glorification du nazisme ! Les autres pays européens s’abstiennent… | Mondialisation - Centre de Reserche sur la Mondialisation On se dispute souvent quant au fait de savoir si la junte ukrainienne est nazie ou non. Je suis intimement convaincu que même si Porochenko n’est pas apparu en public pour faire officiellement le salut nazi et déclarer « Je suis un nazi », tout indique que le régime de Kiev tire ses racines idéologiques du passé nazi. Le dernier exemple de cette filiation, c’est cette chose absolument incroyable qui s’est passée la semaine dernière, lorsque trois pays, les États-Unis, le Canada et l’Ukraine, ont voté contre une résolution de l’ONU condamnant la glorification du nazisme. Les membres de l’Union européenne n’ont guère fait mieux, car ils se sont abstenus. La feuille de résultats du vote de la résolution de l’ONU contre la glorification du nazisme Le texte intégral de la résolution de l’ONU contre la glorification du nazisme [PDF, français] Pour moi, ce résultat est absolument dégoûtant. Le dégoût russe Le Saker Traduit par Daniel pour vineyardsaker.fr Note

Why Did Washington Hate Hugo Chavez? Eva Golinger, winner of the International Award for Journalism in Mexico (2009), named “La Novia de Venezuela” by President Hugo Chávez, is an Attorney and Writer from New York, living in Caracas, Venezuela since 2005 and author of the best-selling books, “The Chávez Code: Cracking US Intervention in Venezuela” (2006 Olive Branch Press), “Bush vs. Chávez: Washington’s War on Venezuela” (2007, Monthly Review Press), “The Empire’s Web: Encyclopedia of Interventionism and Subversion”, “La Mirada del Imperio sobre el 4F: Los Documentos Desclasificados de Washington sobre la rebelión militar del 4 de febrero de 1992” and “La Agresión Permanente: USAID, NED y CIA”. Since 2003, Eva, a graduate of Sarah Lawrence College and CUNY Law School in New York, has been investigating, analyzing and writing about US intervention in Venezuela using the Freedom of Information Act (FOIA) to obtain information about US Government efforts to undermine progressive movements in Latin America. EG: No.

  Des milliers de Palestinians rendent hommage au Président Hugo Chavez <script> identifiant_article = 13300 samedi 9 mars 2013 - 05h:52 D’après Al-Akhbar Les Palestiniens de Gaza et de Cisjordanie se sont unis dans la peine ce jeudi, en apprenant la disparition de Hugo Chavez, le Président du Venezuela, un de leurs plus constants défenseurs qui s’est fortement opposé à Israël. Un Palestinien participe avec sa fille à un hommage pour le défunt Président vénézuélien Hugo Chavez, dans la ville de Gaza le 7 mars 2013 – Photo : Reuters - Suhaib Salem Le Président vénézuélien âgé de 58 ans et qui est mort mardi après une lutte de presque deux ans contre le cancer, était énormément populaire parmi les Palestiniens pour son franc soutien face à leur difficile situation. La lune de miel palestinienne avec le populaire dirigeant latino-américain a réellement commencé en janvier 2009, quand celui-ci a décrit Israël comme État terroriste lors de la guerre de 22 jours contre Gaza où plus de 1400 Palestiniens ont été assassinés. Un sentiment similaire peut être entendu dans la rue. Lire également :

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