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Comment les jeunes vivent-ils et apprennent-ils avec les nouveaux médias

Comment les jeunes vivent-ils et apprennent-ils avec les nouveaux médias
D’où que l’on regarde, quand on parle du rapport des jeunes à l’Internet et aux réseaux sociaux, tout le monde évoque d’abord les risques, les dangers, les menaces qui pèsent sur eux. Des dangers qui justifient bien souvent toutes les dérives sécuritaires… Pourtant, les chercheurs dénoncent largement ce retournement, cette tentation anxiogène de l’hypercontrôle qui définitivement n’aidera ni les parents ni les jeunes à aborder et comprendre les formes des nouvelles sociabilités qui se développent en ligne.Après avoir observé un problème concret et récent, retour sur une étude de fond sur les rapports des jeunes à l’Internet. En 2008, la Fondation Mac Arthur a livré les résultats d’une imposante étude qualitative sur la pratique des nouveaux médias par les jeunes. Ce projet de recherche sur la jeunesse numérique a rassemblé sur 3 ans plus de 28 chercheurs et s’est intéressé aux pratiques de plus de 800 jeunes. Typologie des pratiques des jeunes

http://internetactu.blog.lemonde.fr/2011/11/21/comment-les-jeunes-vivent-ils-et-apprennent-ils-avec-les-nouveaux-medias/

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Les jeunes et Internet : les chiffres Les résultats présentés ici sont issus de l’enquête du Credoc de juin 2010, réalisée auprès d’un échantillon représentatif de la population française âgée de 12 ans et plus, sélectionné selon la méthode des quotas1 : 2.230 personnes ont été interrogées » en face à face » à leur domicile. Média de communication et d’information privilégié des jeunes, Internet est dominé par cette population notamment sur les réseaux sociaux. D’après la dernière enquête du Centre de Recherche pour l’ÉtuDe et l’Observation de Conditions de vie (Credoc), (devant les 18-24 ans (95 %), les 25-39 ans (93 %), les 40-59 ans (77 %), les 60-69 ans (52 %), et les 70 ans et plus (20 %)) Les 12-17 ans est la seule catégorie d’age à être .

Codes qr et pédagogie - Classeprepa Le code QR (de l'anglais, QR Code) est une sorte de code barre en 2D. Le "QR" signifie Quick Reponse car le contenu que comporte ce carré noir et blanc peut être décodé rapidement. A la différence d'un code barres classique, le code QR peut contenir beaucoup d'informations: 7089 caractères numériques, 4296 caractères alphanumériques, contrairement au code barres normal qui ne peut stocker que de 10 à 13 caractères ou 2953 octets ! Il faut un téléphone portable équipé d'un lecteur de code QR pour lire le contenu. Il est également possible de lire les codes qr par le biais d'une webcam.

Enseignant-formateur, consultant, auteur D'une logique d'enseignement je suis progressivement passée à une logique d'accompagnement et de conseil appliquée aux personnes et aux équipes de professionnels. 23 ans d'expérience au sein et hors de l'Éducation nationale, en France comme à l'étranger me permettent de valoriser un profil qui traduit à la fois le reflet d’un parcours, d’une personnalité et d’un projet professionnel en lien avec des compétences développées dans des domaines d’expertise variés et sur des terrains très diversifiés. Spécialités:accompagnement de projets - coaching d'équipe - animation et formation - développement professionnel - ingénierie des réseaux sociaux Expériences à l'internationalGRECE: 3 ansDANEMARK: 6 ansIRAN: 4 ansVIETNAM: 4 ansPORTUGAL: 5ans DOMAINES D’ACTIVITÉSingénierie pédagogique formation professionnellerechercheécriture et publicationenseignement en France et à l'étranger ACTIVITÉS D'ÉCRITURE ET DE PUBLICATIONAuteur chez Delagrave et chez ESFéditeur

Cyberpédagogie C’est étrange. J’ai été silencieux ici très (trop?) longtemps parce que je manque de temps pour mettre de l’ordre dans mes idées personnelles… me contentant pour le moment d’absorber, de noter, d’emmagasiner. J’en ai plein les yeux, plein le coeur, plein la tête. Serge Tisseron Posté par Serge TISSERON le 8 janvier 2013. Il est devenu habituel, dans les conversations ou dans les journaux, d’entendre assimiler l’usage que les adolescents font de leur téléphone mobile à celui d’un « doudou », et un article récent du Monde a encore surfé sur cette analogie. Cette comparaison est non seulement fausse, mais infantilisante, pour ne pas dire insultante. Un support d’information, d’expression, et d’identité

Les adolescents, les smartphones et l'école totalitaire Le sociologue Erving Goffman appelle “kit identitaires” les objets que des personnes portent sur elles afin de raffermir leur sentiment de soi et de soutenir la manière dont elles se présentent aux autres. En d’autres termes, nos objets et nos possessions participent à la construction de nos identités. Nous avons maintenant de nouveaux kit identitaires. Enseigner grâce aux erreurs des étudiant-e-s 26 septembre 2011 par Amaury Daele « L’erreur, un outil pour enseigner » est un petit livre de Jean-Pierre Astolfi paru pour la première fois en 1997 et réédité régulièrement depuis. A la base de cet ouvrage, une question toute simple: quel est le statut de l’erreur dans l’enseignement?

Old school? On reçoit souvent chez Balloon des jeunes plutôt doués qui sont développeurs, marketeux, commerciaux et qui veulent refaire une ou deux années d’étude avant d’accepter un CDI dans une entreprise. Avoir un diplôme, apprendre encore un peu, ne pas commencer à travailler tout de suite. La peur de se lancer, la crise? Je ne sais pas. En revanche, je sais ce qu’ils n’apprennent pas à l’école… Ils n’apprennent pas à « networker »: Les écoles ne peuvent pas nous apprendre à networker. À la recherche de cyberpédagogues Note: Le texte suivant fait partie d’un ouvrage collectif, intitulé Les défis du cybermonde, qui a été réalisé sous la direction de Hervé Fischer et qui est paru en avril 2003 aux Presses de l’Université Laval. APPRENDRE À PENSER AUTREMENT pour imaginer un monde différent Dans un texte qu’il signait pour Libération en 1995, Jean-Louis Gassée laissait entendre qu’il avait préféré inscrire ses enfants à une école sans ordinateur, mais dont les professeurs partageaient des valeurs et des convictions clairement formulées, plutôt que de les confier à une école dont les responsables se seraient laissé distraire par des ordinateurs derniers cris.

Ados : Une génération téléphone portable et "Facebook..." Mais pas que ça - Ré à la Hune « Ah ! Elle est belle la jeunesse », « Ça vous respecte rien » entend-on souvent dire ! Certes l’adolescence est un passage obligé, parfois délicat, pour construire son identité et trouver sa place dans la société. Mais cette génération est attachante, créative, pleine de potentiel et de générosité. Une jeunesse plutôt privilégiée, différente de celles de nos parents et grands-parents Il ne faut pas remonter loin dans l’histoire contemporaine de l’île de Ré pour constater les changements intervenus sur l’organisation et le mode de vie de la cellule familiale rétaise. Comment les jeunes défavorisés s'informent A l'initiative des Apprentis d'Auteuil, la sociologue Monique Dagnaud a mené une enquête d'ampleur qui montre notamment l'importance de Facebook, des courtes vidéos en ligne et de l'humour pour ces 16-25 ans. Précisions d'Eric Chaverou. Plus de 500 jeunes pris en charge par les Apprentis d’Auteuil ont été interrogés dans toute la France. Avec des réponses comparées à celles de 1.000 jeunes de tous horizons. Un rapport en a montré les grands enseignements l’an dernier et Monique Dagnaud en tire un article pour "l’agence intellectuelle" Telos ce lundi. Directrice de recherches au CNRS, cette spécialiste des médias et de la jeunesse a découvert des 16–25 ans en décrochage scolaire 3 fois moins habitués aux sites d’information que les autres jeunes (8% au lieu de 24%), mais rivés à leur smartphone et deux fois plus amateurs de courtes vidéos (44% d'entre eux).

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