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Dépendance ? — Enseigner avec le numérique

Dépendance ? — Enseigner avec le numérique
Dépendance aux jeux vidéo : les signes à surveiller « Les nouvelles addictions : tel était le thème de la séance hebdomadaire de l'Académie de médecine qui s'est tenue mardi avec, notamment, la question de l'addiction des jeunes aux jeux vidéo. Or sur ce thème, Marie-France le Heuzey, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré à Paris, se veut à la fois vigilante et rassurante. Vigilante, car il existe effectivement des cas de jeunes qui se font happer par le jeu [...]«Il faut bien sûr regarder le nombre d'heures que l'enfant passe à jouer, mais il est difficile de déterminer un seuil exact», poursuit le médecin. Ce sont plutôt les conséquences qu'il faut regarder: «Lorsque l'enfant décroche de la vie familiale ou scolaire, qu'il ne veut plus se lever le matin, qu'il abandonne ses activités sportives… Ce sont autant de signes d'alerte», explique le médecin. » Figaro.fr, 22/01/ Internet actu, 23/03/ espace-citoyen.be, 1012/ Canoe.com 26/11/ C’est grave docteur ? Les Infos du net, 17/01/ Wikipé

http://eduscol.education.fr/numerique/dossier/apprendre/jeuxserieux/phenomene/aspects-psychologiques/dependance

Dépendance à Internet Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La dépendance à Internet 26 recommandations pour un usage raisonné des écrans par les enfants et adolescents (Académie des Sciences) Le 22 janvier 2013, l’Académie des Sciences a publié un Avis sur L’Enfant et les écrans, un travail de plusieurs mois menés par des chercheurs qui se sont interrogés sur la construction des fonctions cérébrales au regard des sollicitations extérieures sensorielles, affectives et culturelles… dont l’exposition aux écrans numériques. Les scientifiques qui ont coordonné cet avis (Jean-François Bach, Olivier Houdé, Pierre Léna et Serge Tisseron) tentent de répondre à ces questions que bien des adultes, parents, enseignants, animateurs multimédia, médecins et personnels de santé, associations, institutions se posent : « Quels sont les risques de dépendance ou de phénomènes régressifs chez un enfant face aux écrans ? Quelle est la place des tablettes interactives et autres nouveaux supports dans l’apprentissage et la transmission des savoirs ? Avec quel impact sur les relations enfant-adulte ? Comment réguler l’accès aux écrans sans l’interdire ?

Il n’y a pas d’addiction aux objets numeriques. C’est aussi simple que cela. J’ai participé à l’émission Le téléphone sonne : “Smartphones et réseaux sociaux: les nouvelles addictions” et j’ai été assez surpris de constater qu’il y avait encore un discours culpabilisant et pathologisant sur les objets numériques. J’ai pu entendre du docteur Willam Olivenstein Lowenstein que l’effet de ces objets était comme la cocaïne. Que les mondes numériques étaient des mondes de la stimulation perpétuelle et de la vitesse. Que 5% des jeunes joueurs de jeux vidéo développaient une addiction. Si j’étais américain, je dirais que c’est de la “bullshit psychiatry”. Deux ménages sur trois disposent d’internet chez eux Deux tiers des ménages ont un accès à Internet à leur domicile Un peu plus de 64 % des ménages déclarent avoir un accès à Internet à leur domicile en 2010 contre 56 % en 2008 et seulement 12 % en 2000. Lorsque le ménage a Internet à domicile, son accès est neuf fois sur dix un accès haut débit. Les plus jeunes sont les plus équipés : le taux d’équipement, égal ou supérieur à 75 % jusqu’à 60 ans, tombe sous les 50 % entre 60 et 74 ans et n’est plus que de 8 % à partir de 75 ans (tableau 1).

Comment devient-on accro au numérique ? Atlantico : Portables, tablettes, ordinateurs, les nouvelles technologies nous entourent. Elles sont partout : au bureau, à la maison, dans les magasins… Nous en avons tous un usage régulier, à partir de quel moment pouvons-être considérés comme addicts aux nouvelles technologies ? Comment cette addiction se traduit-elle au quotidien ?

La cyberdépendance : informations et services - Clinique de psychologues à Montréal La cyberdépendance, également connue sous les noms de dépendance à Internet, cyberaddiction, usage problématique d’Internet (UPI) ou trouble de dépendance à Internet (TDI), se caractérise par un usage pathologique, souvent abusif et excessif, d’Internet et des nouvelles technologies. La cyberdépendance se reconnaît au besoin irrésistible et obsessionnel d’utiliser Internet. Parmi les critères reconnus, on observe le temps passé sur Internet; la frustration lorsqu’Internet n’est pas disponible; les plaintes de l’entourage quant au temps passé sur Internet; les conséquences sur les activités habituelles (travail, loisirs, etc.); l’incapacité à diminuer le temps passé sur Internet; la baisse significative, voire l’absence, d’activités satisfaisantes à l’extérieur d’Internet, etc. La cyberdépendance semble partager des caractéristiques communes avec d’autres dépendances. La cyberdépendance a des répercussions sur plusieurs sphères.

L'angoisse du vide numérique Tablette (numérique) et tabac: même combat! Une étude britannique vient en effet confirmer ce que plusieurs adeptes du tout technologique commencent à soupçonner eux-mêmes: les nouveaux outils de communication seraient en train de créer chez plusieurs humains une dépendance équivalente ou supérieure à celle induite par la cigarette et l'alcool. Rien de moins. C'est Intersperience, une boite brit spécialisée dans la recherche comportementale dans le domaine de la consommation qui vient de faire cette découverte après avoir soumis à la question près de 1000 adeptes des technologies âgés de 18 à 65 ans. D'ailleurs, résume l'entreprise, une journée sans iPad, iPhone, ordinateur portable, Facebook, Twitter et compagnie a été qualifiée «du plus grand cauchemar» par un et comme l'équivalent de «se faire couper les deux mains» par un autre.

Rapport : La cyberdépendance : état des lieux et propositions I - Qu'est-ce que la cyberdépendance ? L'arrivée de l'Internet dans les foyers français a ouvert, il y a une dizaine d'années, une nouvelle dimension de l'outil informatique et, avec l'accélération progressive du débit des échanges, un espace de liberté sans limites. Aujourd'hui, la pratique du jeu électronique via l'informatique s'est considérablement accrue et a fait naître, avec elle, de nouvelles interrogations. Parmi celles-ci, celle des conséquences éventuelles sur la santé des joueurs apparaît, aux yeux de la représentation nationale, comme primordiale. L'objectif que se sont fixés les députés GROSSKOST et JEANNETEAU est donc d'étudier les mécanismes qui peuvent engendrer une dépendance, à certains types de jeux, affectant la santé des joueurs.

Je suis d'accord avec ton commentaire, sur le ton un peu superficiel de l'article, bien que l'objectif soit la prise de conscience du phénomène, les positions sont trop dilués, le ton est trop neutre, le lecteur peut se demander s'il y a vraiment un problème de dépendance ou s'il s'agit d'un phénomène passager sans conséquences. Néanmoins, le point positive de cette présentation est que l'on peut approfondir sur le sujet en suivant les lien des extraits des articles présentés pour élargir le sujet. by barrionuevo_groupe1_psy Apr 5

Une très bonne "prise" qui ouvre sur quantité d'informations; cependant on peut regretter un traitement un peu manichéen de l'ensemble, qui semble se réduire à une joute entre "pro" et "anti". Par exemple, il est dommage que le discours du Docteur Marie-France le Heuzey, pédopsychiatre à l'hôpital Robert-Debré à Paris s'y trouve interrompu avant qu'elle n'est pu confirmer en quoi elle se voulait rassurante. De même, la référence finale à l'article de Wikipédia laisse un peu perplexe, tant il est vrai que le Ministère de l'Education, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche aurait pu, sans nul doute, trouver en son sein, des études autrement plus pertinentes sur le sujet. Sic transit... Merci pour la "pêche" tout de même! ;-) by lethel_groupe1_psy Apr 10

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