Eben Moglen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Eben Moglen Eben Moglen en août 2010 Biographie[modifier | modifier le code] Moglen esquisse l'histoire du droit d'auteur comme une forme de réglementation industrielle, et analyse la manière dont les changements technologiques ont mis en crise les rôles créés par ces lois. Moglen a fait partie du groupe d'avocats qui a défendu Philip Zimmermann quand celui-ci fut l'objet d'une enquête du gouvernement des États-Unis sur l'exportation du système de cryptographie symétrique le PGP - Pretty Good Privacy. En 2003, il reçut le prix de pionnier de la Electronic Frontier Foundation et fonda le Software Freedom Law Center. Il a été conseil juridique sur la troisième version de la licence publique générale GNU, la licence publique générale limitée GNU, et la licence de documentation libre GNU avec Richard Stallman. Publications[modifier | modifier le code] Eben Moglen, « The dotCommunist Manifesto », janvier 2003, lire en ligne
L.A. - Libre.Accès. Les internautes chinois s'inquiètent du départ éventuel de Googl Les récentes déclarations de Google quant à sa présence en Chine ont provoqué un certain émoi chez les internautes du pays. A Pékin, où tous les rassemblements publics sont rigoureusement interdits, de nombreux chinois se sont rendus au siège de Google pour apporter leur soutien. "Je ne sais pas ce que je ferais sans Google", clame un jeune devant l'immeuble qui abrite le moteur de recherche, a constaté l'AFP. A l'heure du déjeuner, une vingtaine d'entre eux sont sur place, un peu désoeuvrés, ajoute l'agence. D'autres examinent les messages déposés par des internautes souvent désemparés. "Au revoir Google. Volte face "Si Google part, je pense que la Chine a les moyens de bloquer tous ses sites à l'intérieur du pays. Moins nombreux mais présents, les partisans de la politique gouvernementale ont tenu à contrebalancer ce mouvement. Un peu plus loin, une reproduction d'affiche maoïste proclame: "l'envahisseur américain doit être défait".
L'internet illimité Valérie Schafer Th©Radio France « L'Internet illimité », apparemment, c’est une question qui relève de la consommation. « L’Internet illimité », c’est l’offre que vous font les opérateurs et fournisseurs d’accès quand vous payez votre abonnement à Internet chez vous. Vous payez une somme contre la possibilité d’avoir accès à l’Internet, sans condition de temps passé devant son écran ou de quantité de bande passante utilisée. Or, cet été, on a appris que certains grands opérateurs français (Orange et Bouygues notamment) réfléchissaient à mettre fin à l’Internet illimité en instaurant des plafonds (en termes de quantité de bits ou de temps passé sur Internet). En fait, derrière cela, ce sont des questions essentielles, et historiques qui se posent : la lutte entre les opérateurs de télécommunications (ceux qui fournissent le réseau, à qui l’on s’abonne) et les fournisseurs de contenu qui occupent la bande passante, l’égalité dans l’accès au réseau, la neutralité du Net etc. (Billy Guidoni)
Voilà ce que le gouvernement récupère sur vos téléphones ! Certains documents judiciaires révèlent à quel point la notion de vie privée est subjective pour nos gouvernements. Certes il est possible de confisquer, de prendre physiquement votre téléphone et de le fouiller... Mais vous n'imaginez pas la masse de données récupérable sans votre consentement. Le « extraction report » (PDF) décrit en détail les données que le Department of Homeland Security a réussi à soutirer à un téléphone saisi lors d’un raid. Certaines ne sont guère surprenantes, citons en vrac le journal d’appels, vos textos et liste de contacts. En plus de ces informations dont vous parlez ouvertement (vous avez ajouté untel, répondu à X et appelé volontairement chose), le DHS peut sonder votre téléphone pour assembler un dossier scandaleusement invasif des endroits où vous avez transité. Les conclusions compilées par ACLU montrent que le dossier contient quelques 659 points de géolocalisation dont 227 tours de téléphonie cellulaire et 403 réseaux Wi-Fi.
Korben - Upgrade your mind Paris Meetup pour la décentralisation d'Internet #3 Note! When you tear out the video window it will start from the beginning. Pour cette troisième édition du Meetup Décentralisation du Net, nous allons essayer un nouveau format, celui de la conférence interactive, en rencontrant les porteurs de deux projets de décentralisation d'Internet : Framasoft pour "Degooglisons Internet" et Laurent Chemla, concepteur de CaliOpen.org. Voici plus de détails sur les deux projets invités : Framasoft : ces dernières années ont vu se généraliser une concentration des acteurs d'Internet (Youtube appartient à Google, WhatsApp à Facebook, Skype à Microsoft, etc.). • L'annonce du projet : Dégooglisons Internet : notre (modeste) plan de libération du monde : • Charte des services Framasoft : • Liste des services Framasoft : • Fonctionnalités :
Logiciels Libres Une communauté Un joyeux bazar Qui se cache derrière Framasoft ? Tous ceux qui ont participé ou participent de près ou de loin à nos différents projets. Une association Un peu de cathédrale Framasoft repose sur une association 1901 d’intérêt général. Participer ? Il y a mille et une façon de participer avec nous à diffuser le Libre au sein de nos nombreux projets. Tester, rédiger, modérer, administrer, traduire, relire, relayer, coder, communiquer, promouvoir, sensibiliser… N’hésitez pas à prendre contact avec nous ! Nous soutenir ? Parce que libre ne signifie pas gratuit Framasoft ne serait rien sans sa communauté de bénévoles mais ne pourrait pas fonctionner non plus sans le service de l’association qui a des frais et emploie trois indispensables permanents. Nos partenaires Framasoft est avant tout une communauté d’utilisateurs.
Maltego Maltego is proprietary software[1] used for open-source intelligence and forensics, developed by Paterva.[2] Maltego focuses on providing a library of transforms for discovery of data from open sources, and visualizing that information in a graph format, suitable for link analysis and data mining. Maltego permits creating custom entities, allowing it to represent any type of information in addition to the basic entity types which are part of the software. The basic focus of the application is analyzing real-world relationships between people, groups, websites, domains, networks, internet infrastructure, and affiliations with online services such as Twitter and Facebook. See also[edit] References[edit] External links[edit]