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Biodiversité, l'essentielle différence #DATAGUEULE 24

Biodiversité, l'essentielle différence #DATAGUEULE 24

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Agriculture, urbanisation : le déclin de la biodiversité se poursuit en Europe Lundi 19 octobre, la Commission européenne a publié sa dernière évaluation relative à l’état de conservation de la nature dans l’Union européenne. Elle donne une vue d’ensemble sur la manière dont se portent les espèces et habitats les plus vulnérables d’Europe. Et le constat n’est pas brillant : Une espèce de mammifère sur trois désormais menacée ou quasi menacée en France métropolitaine - UICN France Huit ans après le premier état des lieux, la mise à jour de la Liste rouge des espèces menacées montre une aggravation de la situation des mammifères dans l’Hexagone : 33 % des espèces terrestres et 32 % des espèces marines apparaissent menacées ou quasi menacées, contre respectivement 23 % et 25 % en 2009. Le bilan réalisé porte sur le risque de disparition de l’ensemble des mammifères terrestres et marins recensés sur le territoire métropolitain. Après une analyse de la situation de chacune des 125 espèces, les résultats montrent que 17 espèces sont menacées et 24 autres quasi menacées.

La biodiversité : présentation et enjeux La biodiversité au cœur des politiques publiques Une prise de conscience dès le XIXe siècle. La richesse du patrimoine naturel français et les menaces qui pèsent sur son devenir confèrent à la France une responsabilité particulière en matière de biodiversité. À la fin du XIXe siècle, des artistes et des gens de lettres prirent conscience de la valeur patrimoniale et de la fragilité des paysages naturels. Qu'est-ce que la biodiversité ? Le Mercredi 29 septembre 2021 La biodiversité c’est le tissu vivant de notre planète, dont nous faisons partie. Elle est au cœur de nos vies. Découvrez la biodiversité, son importance dans notre quotidien, et les informations clés de la biodiversité en France.

État de conservation de la nature dans l'UE : l’érosion de la biodiversité se poursuit Tous les six ans, les États membres de l'UE rendent compte de l'état de conservation des espèces et des habitats protégés par deux textes clés, les directives oiseaux et habitats. Le 19 octobre, la Commission européenne a publié sa dernière évaluation de l'état de la nature dans l'Union européenne. Non seulement l'érosion de la biodiversité n'a pas été enrayée au sein de l'Union européenne (UE) ces dernières années mais sa détérioration s'est encore aggravée... Les données concernant 463 espèces d'oiseaux sauvages, 233 types d'habitats « représentatifs et menacés », allant des prairies sous-marines aux alpages, ainsi que près de 1 400 autres plantes et animaux ont ainsi été recueillies pour la période 2013-2018, et étudiées par l'Agence européenne pour l'environnement. Cette évaluation, véritable bilan de santé de l’UE, nous apprend que : Agriculture, urbanisation, pollution... quelles sont les principales causes de l'érosion de la biodiversité ?

Pour faire face aux pandémies, une biodiversité protégée est notre meilleure alliée Si le coronavirus a été transmis aux humains par des animaux sauvages — chauve-souris ou pangolin — la solution ne serait-elle pas de laisser ces petites bêtes tranquilles ? Créer des aires protégées afin de limiter l’émergence de maladies infectieuses, voici l’une des pistes évoquées par le Giec de la biodiversité, l’IPBES (Plateforme intergouvernementale scientifique et politique sur la biodiversité et les services écosystémiques), dans un rapport publié le 29 octobre dernier. « Puisque le facteur principal d’émergence d’une maladie, c’est la perturbation des milieux naturels, une des réponses serait de préserver une biodiversité à un niveau élevé, résume Hélène Soubelet, directrice de la Fondation pour la recherche sur la biodiversité (FRB). Et une des façons de le faire, c’est de protéger les espaces. » Les preuves s’accumulent en effet quant au lien entre augmentation des pandémies et déclin du vivant. « Un écosystème diversifié régule mieux le risque infectieux »

Données de biodiversité : le rôle des banques de développement Pour mener à bien les transitions écologiques recommandées par l’IPBES (la plateforme d’expertise scientifique sur la biodiversité), les entreprises et les banques ont récemment rappelé qu’elles avaient besoin de métriques pour démontrer l’efficacité de leurs démarches. Or, une récente évaluation comparative des métriques d’empreinte sur la biodiversité développée pour les entreprises révèle que les modèles sous-jacents de ces indicateurs ont besoin de plus de données de terrain pour être fiables et performants. Les banques de développement participent à la production de données de biodiversité Dans le cadre des études et projets qu’elles financent, les banques de développement aident leurs clients dans les pays en développement à générer un nombre important de données brutes de biodiversité. Si la diffusion de certaines études peut être restreinte, voire confidentielle, les données utilisées pour les produire sont en revanche facilement diffusables.

Demain, les sols enfin à la une ? Ce samedi, comme tous les 5 décembre, c’est la Journée mondiale des sols. Instaurée en 2014 par les Nations unies, elle vise à faire prendre conscience de l’importance capitale des sols face aux grands défis planétaires : sécurité alimentaire, eau potable, changement climatique, santé humaine, biodiversité… Mais en avez-vous seulement entendu parler ? Un écosystème à part entière Le sol ne se limite pas à une simple surface que l’on foule de ses pieds. Il constitue un écosystème à part entière, essentiel à nos sociétés pour l’approvisionnement en nourriture et en matériaux, la régulation du cycle de l’eau et du climat, le recyclage de déchets organiques, la préservation d’un patrimoine biologique et culturel…

Quelles sont les espèces invasives à bannir en priorité en Europe ? Véritable fléau pour la biodiversité, de nombreuses espèces exotiques envahissantes sont malheureusement déjà trop bien implantées en Europe pour être éradiquées avec succès. Mais les plantes et animaux déjà connus ailleurs pour leurs méfaits sont susceptibles de débarquer ; et c'est sur ceux-là que nos efforts doivent se concentrer. Coati, écrevisse, bison, liane de Gatope...

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