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Pourquoi la visioconférence met-elle notre cerveau K.-O. (et comment riposter) ? Une réunion d'équipe sur Teams à 10 heures, quatre "conf-calls" avec des clients dans l'après-midi, sans oublier le Skype en famille à 19 heures pour fêter l'anniversaire du petit dernier… Avec la crise sanitaire, la visioconférence s'est imposée dans notre quotidien.

Pourquoi la visioconférence met-elle notre cerveau K.-O. (et comment riposter) ?

Au printemps dernier, elle est même devenue incontournable pour maintenir le lien social dans nos vies confinées. Mais depuis, les apéros Zoom ont laissé place au phénomène de "Zoom fatigue"*, un sentiment d'épuisement face à l'accumulation de ces réunions virtuelles. Car outre la fatigue visuelle, liée à la fixation prolongée d'un écran, la visioconférence est surtout génératrice de fatigue mentale, explique à franceinfo Nawal Abboub, docteure en sciences cognitives. Et pour cause : une discussion vidéo exige beaucoup plus de concentration qu'un échange en face à face. Mais comment l'expliquer ? D'abord, par la difficulté de s'appuyer sur le langage corporel des interlocuteurs. Alors comment se prémunir de cette fatigue ? Mot de l'année 2020 : les résultats !

Voici une liste plus complète de vos savoureuses trouvailles !

Mot de l'année 2020 : les résultats !

Airgasmer : Prendre une première bouffée d’air en enlevant son masque. Attestarder : Remplir son attestation alors qu'on est déjà dans la rue. Aunordcétaitlecorona : Lorsque le virus frappait surtout le nord de la France lors de la première vague. S'autobuer : Quand les lunettes sont embuées à cause du masque. Avoir la blouse : Mal-être des soignants. Balaimasques : Corvée de ramassage des masques par les services d'entretien. Balconner : Applaudir sur son balcon. Enseigner l'Afrique autrement. Edubref février 2021 : Piloter, entre métiers et activités. CGénial Connect, la plateforme de mise en relation école-entreprise. Liberté de dessiner versus réseaux sociaux : "Les titres préfèrent capituler plutôt que risquer le débat" Le droit à la caricature est-il menacé dans la presse grand public, en France ?

Liberté de dessiner versus réseaux sociaux : "Les titres préfèrent capituler plutôt que risquer le débat"

La réaction d’un quotidien de référence, le journal Le Monde, à des messages d’internautes choqués par un dessin de Xavier Gorce pose question, après la décision du New York Times, en juin 2019, de ne plus du tout publier de dessins de presse, dans son édition internationale, suite à une polémique sur un cartoon jugé antisémite. En affirmant que "la liberté de dessiner ne se négocie pas", Xavier Gorce a fait savoir qu’il ne travaillerait plus pour Le Monde faute d’avoir été soutenu par le quotidien. La fin de dix-neuf ans de collaboration suite à la diffusion dans la newsletter numérique du quotidien, le 19 janvier, d’un de ses dessins de la série des Indégivrables, vivement contesté sur les réseaux sociaux.

J’annonce que je décide immédiatement de cesser de travailler pour le Monde. Décision personnelle, unilatérale et définitive. Dans le cas présent, le poids des réseaux sociaux a-t-il été déterminant ? "Laïcité, liberté : parlons-en !" : revivez le débat et les échanges. Publié le 07/12/2020 à 11:42 , mis à jour le 09/12/2020 à 11:51 À l’occasion de la journée nationale de la laïcité, Midi Libre, le département de l'Hérault, le rectorat de l’Académie de Montpellier et le CLEMI (Centre pour l’Education aux médias et à l’information) se sont associés pour organiser une conférence-débat en ligne mercredi 9 décembre sur le thème de la "Laïcité au travers de l’expression".

"Laïcité, liberté : parlons-en !" : revivez le débat et les échanges

Liberté d'expression, blasphème, laïcité : ressources. Suite à la publication d’une vidéo en janvier 2020, dans laquelle elle critique avec véhémence l’Islam, Mila, une adolescente de 16 ans, a reçu des centaines d’insultes et menaces de mort.

Liberté d'expression, blasphème, laïcité : ressources

Deux camps s’affrontent sur les réseaux sociaux : ceux qui, avec le hashtag #JeSuisMila, soutiennent la jeune femme et le fait que le blasphème n’est pas illégal en France et ceux qui, au contraire, condamnent les propos de la jeune femme à travers le hashtag #JeNeSuisPasMila. Liberté d'expression : les textes. MOOC Elles font l’art. À propos du cours En janvier 2021, le Centre Pompidou ouvrira son nouveau MOOC « Elles font l’art ».

MOOC Elles font l’art

Ce cours en ligne gratuit et ouvert à tous, constitué de vidéos, de quiz et d’activités, se consacre cette année aux femmes artistes de 1900 à nos jours. Plasticiennes, peintres, photographes, vidéastes ou performeuses de toutes nationalités, elles ont fait ou font encore l’art des 20e et 21e siècles. A travers un parcours chronologique, nous vous invitons à découvrir une autre histoire de l’art moderne et contemporain dédiée aux créatrices. C'est une nouvelle manière pour le Centre Pompidou d'affirmer avec force son engagement auprès des femmes, et en faveur de l’égalité entre les genres. Format Ce MOOC se compose de 5 séquences ouvertes dès le 25 janvier 2021 et accessibles jusqu’au 25 juin 2021. Au fil des séquences, vous trouverez des activités et des forums. À la fin de chaque séquence un quiz noté vous sera proposé pour vérifier vos connaissances et valider votre parcours. Prérequis.