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Débat

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Pourquoi nous marchons pour la vie et contre l'avortement  Aujourd'hui (le 8 mai 2014), des milliers de Canadiens sont à Ottawa pour manifester pour le droit de tous les êtres humains de vivre, et spécialement pour ceux qui vivent en ce moment dans le ventre de leur mère.

Pourquoi nous marchons pour la vie et contre l'avortement 

Or, ici au Québec plusieurs ont tendance à se méfier des « pro-vie ». Aussitôt le sujet du droit à la vie évoqué, les clichés fusent de toutes parts. Les uns évoquent l'occasionnel hurluberlu qui assassine un avorteur. Les autres les soi-disant fondements « religieux » des arguments pro-vie. Bref, le message pro-vie ne semble pas avoir la cote.

Pourtant, c'est la position à la fois la plus raisonnable et la plus progressiste dans ce débat. La position pro-vie est à la fois raisonnable, claire et simple : l'être humain est présent, avec tous les droits inaliénables qu'il possède, dès la conception, c'est-à-dire dès la fécondation de l'ovule par le sperme. Premier critère injuste : l'âge ou le degré de développement. Close. Débat sur l’avortement : question de santé publique contre combat idéologique. Dépénalisée en France depuis l’entrée en vigueur de la loi Veil en 1975 et remboursée par l’Assurance maladie depuis 1982, l’interruption volontaire de grossesse (IVG) demeure plus que jamais un sujet polémique en Europe.

Débat sur l’avortement : question de santé publique contre combat idéologique

En France, elle est revenue cet hiver sur le devant de la scène. D’abord lors de l’annonce d’un projet de loi espagnol remettant très sérieusement en question le droit à l’avortement et, plus récemment, à l’occasion de l’adoption par l’Assemblée nationale d’un amendement qui, au contraire, assouplit le droit à l’IVG en France. Les deux fois, des « pro » et des « anti » avortement sont descendus dans la rue pour protester. À contre-courant En ce qui concerne le texte français, il s’agit en réalité d’une très légère modification entrant dans le cadre plus large du projet de loi « pour l’égalité entre les femmes et les hommes », projet de loi inscrit sur la feuille de route du gouvernement pour 2014.

Un enjeu aux élections européennes ? Oui à la vie, non à l'avortement : des réponses à vos questions - Campagne Québec-Vie. Vous êtes contre l'avortement? - Avortementivg.com Banque vidéos, actu et articles de fond. Votre position est courageuse, vu le tabou qui pèse aujourd'hui en France sur ce sujet.Il est nécessaire pour vous de vous informer sur l'actualité et sur l'argumentation développée sur ce sujet.

Vous êtes contre l'avortement? - Avortementivg.com Banque vidéos, actu et articles de fond

Cette rubrique va peu à peu s'enrichir pour balayer à peu près tous les arguments et les contre-arguments. I. avoir des argument : Ne vous mettez pas dans une position défensive ! Il existe suffisamment d'argument contre l'avortement pour ne pas laisser votre interlocuteur vous emmener sur son terrain. Quelques arguments : 1. II. savoir répondre aux arguments opposés Que répondre lorsque l'on vous parle du droit de la femme à disposer de son corps ? III. connaître l'actualité et les chiffres. Il s'agit aussi de prouver que vous connaissez le sujet, que vous ne parlez pas dans le vide. N'hésitez pas à suivre l'actualité, et à visionner les vidéos, les télécharger et les transmettre! IV. lancer le débat partout. Notion de « détresse » dans l'IVG : pour ou contre, quels arguments ? Depuis lundi 20 janvier, l'Assemblée nationale examine le projet de loi sur l'égalité entre hommes et femmes.

Notion de « détresse » dans l'IVG : pour ou contre, quels arguments ?

Parmi les mesures présentées dans ce texte figurent plusieurs dispositions sur l'interruption volontaire de grossesse (IVG). La majorité a réussi à supprimer la notion de « détresse », ce qui n'a fait de vague dans ses rangs. En revanche, l'opposition de droite est apparue divisée sur ce point, tout comme elle l'a été sur l'amendement proposé par les membres de l'Alliance parlementaire pour la famille.

Cette dernière, fondée par des députés de l'UMP, proposait de dérembourser les avortements. >> Lire notre décryptage : L'IVG en cinq questions De gauche à droite, synthèse des arguments et des positions. La majorité unanime pour la suppression de la notion de « détresse » La loi Veil de 1975 autorise l'IVG pour la « femme enceinte que son état place dans une situation de détresse [et qui] peut demander à un médecin l'interruption de sa grossesse ».