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Débat

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Les Français, c'est les autres: « Ce sont les blonds aux yeux bleus », lance un lycéen de banlieue. En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies afin de réaliser des statistiques d'audiences et vous proposer une navigation optimale, la possibilité de partager des contenus sur des réseaux sociaux ainsi que des services et offres adaptés à vos centres d'intérêts. Pour en savoir plus et paramétrer les cookies... Replay Emissions averses éparses Vent : 25km/h - UV : 0 Clôture veille : 3997.54 Ouverture : 4072.32 Replay Emissions L'avocate Isabelle Wekstein-Steig et le cinéaste Mohamed Ulad se sont unis pour réaliser un documentaire sur la question identitaire chez des lycéens issus de l'immigration. "Ce qu'on voulait, c'est leur donner la parole et que les politiques puissent constater ce qu'il s'y passe", explique Isabelle Wekstein-Steig.

Un établissement de 900 élèves avec pas moins de 46 nationalités d'origine, dont beaucoup de Maghrébins et d'Africains. "Les Français ce sont les blonds aux yeux bleus" "C'est dur mais c'est la réalité" Par Elise Maillard. Les pistes du gouvernement pour en finir avec l'"apartheid" social. Par Francetv info avec AFP Mis à jour le , publié le Deux mois après les attentats de janvier, le gouvernement dévoile vendredi 6 mars ses pistes pour raviver le lien à la République dans les quartiers sensibles, avec des mesures attendues sur la mixité sociale et le logement.

Un comité interministériel baptisé "Egalité, citoyenneté, la République en actes" se réunit vendredi après-midi pour présenter les mesures promises par le gouvernement dans le sillage des manifestations du 11 janvier. Le Premier ministre, Manuel Valls, avait provoqué un vif débat après les attentats en parlant d'"apartheid", mettant en lumière le sentiment de relégation ressenti par une partie des habitants des quartiers très peu mixtes socialement. Matignon promet des "mesures concrètes", notamment sur le logement. Francetv info se penche sur les pistes évoquées pour "travailler à limiter l'entre-soi et favoriser le brassage". Faire respecter les 25% de logements sociaux Miser sur la carte scolaire et les jeunes.

Islamophobie ? Adieu gauche radicale ! En 2010, Clémentine Autain concluait une tribune publiée dans Libération par ces mots : « Le temps des avant-gardes éclairées et des partis guides est révolu. Des coopérations nouvelles sont à imaginer avec les mouvements de la société, les syndicats, les intellectuels critiques, les quartiers populaires (...) L’aggiornamento idéologique passe par cet effort de novation des formes. La refonte d’une espérance, moteur de mobilisations populaires et donc d’émancipation humaine, est à ce prix ». Cinq ans plus tard, les « coopérations nouvelles » éclatent au grand jour et valident l’accusation désormais légitime et irréfutable d’islamo-gauchisme.

Deux mois après l’exécution à la kalachnikov en plein Paris des dessinateurs et journalistes de Charlie Hebdo par des fanatiques décérébrés – que dis-je, des « victimes » de la France coloniale – toute une partie de la gauche a choisi de manifester contre ce qu’elle considère être la maladie de notre époque, notre pêché collectif : l’islamophobie. Les sanctions applicables à la discrimination à raison de la pauvreté. Les sanctions applicables à la discrimination à raison de la pauvreté. Unis contre les discriminations au travail (Appel unitaire) Le groupe de travail de lutte contre les discriminations dans le monde du travail, installé depuis le 29 octobre 2014 par les ministres du Travail et de la Ville, a tenu sa réunion plénière le 24 février.

Les travaux ont portés sur trois thèmes : la discrimination à l’embauche, la discrimination en emploi et les voies et recours. Après quatre mois de travail, les premières synthèses ont été présentées lors de la plénière. L’ANI relatif la diversité dans l’entreprise et à la lutte contre les discriminations signé en 2006 par quatre organisations syndicales (CGT, CFDT, FO et CFTC) n’a pas été évalué par les partenaires sociaux, le patronat ayant refusé d’appliquer la clause de suivi malgré plusieurs relances des organisations syndicales de salariés.

Cependant la DARES en a fait une étude exhaustive qui montre que les accords contiennent essentiellement des déclarations de principes et des rappels de la loi. 1- Moyens de lutte contre la discrimination à l’embauche. La discrimination vue par Saïd Hammouche et Vincent Edin. Le danger qu’il y a à voir des discriminations partout. Atlantico : Le 7e Baromètre sur la perception des discriminations dans l'emploi (ici) souligne que, derrière les "classiques" discrimination sur le sexe ou la couleur de peau, émergeraient celles liées au "physique". Et notamment celle liées au poids, à la manière de s'exprimer, de s'habiller, ou de correspondre aux critères de beauté ou de présentation. Mais toutes ces "nouvelles" discriminations en sont-elles vraiment ?

Sont-elles à mettre au même niveau que les autres ? Jean-François Amadieu : Clairement, ce qui est prévu dans la loi concernant l’apparence physique est tout à fait justifié quant il s’agit de la taille, du poids, ou de visages disgracieux à cause d’accidents de la vie par exemple. Il est parfaitement normal de le prendre en compte cela comme des risques de discriminations. Etre de couleur noire ou blanche, grand ou petit, obèse ou mince par nature, d’avoir un visage beau ou non, ne fait pas partie des compétences ou d’une manière de se comporter. De l'éthique dans l'humour, rempart contre la discrimination? Les discussions allant bon train et c'est souhaitable, et merci à tout ceux qui s'expriment pertinemment et calmement sur Médiapart, j'enrichis ma réflexion. Avant d'aller plus loin: que ceux qui échangent avec moi s'en abstiennent dès lors que l'émotion surpasse le discours.

C'est à mon sens un indispensable principe pour faire avancer sagement toute réflexion. Deuxièmement, un débat sérieux implique des parties différentes dont le seul objectif à atteindre est de progresser dans réflexion à propos du sujet traité. Depuis l'interdiction éclaire des instances administratives sous l'impulsion autoritaire du ministre Valls, nous sommes confrontés, en tant qu'humain, animal doué d'une propriété supérieure qu'est la pensée, à une questoin sérieuse.

Est-il juste, à l'échelle humaine, d'interdire au nom d'un risque qualifié de trouble à l'ordre public, un spectacle humoristique quel qu'il soit? Alors de l'éthique dans l'humour est-t- elle possible. Bien à vous. De l'humour et de la discrimination. "Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà", l’aphorisme fameux de Blaise Pascal prend tout son sens lorsqu’on l’applique à l’humour. L’humour a partie liée avec son contexte socioculturel, on ne se sourit pas et ne rit pas forcément des mêmes choses selon sa langue maternelle, ses racines identitaires, son histoire, son éducation, son origine sociale.

L’humour a d’innombrables avatars. Il est tantôt ironie, sarcasme, ou caricature, il est capable de véhiculer tous les sentiments, la compassion, le mépris, la haine, la bonté ou la générosité, il peut être défensif ou offensif, et se prête à toutes les disciplines qu’il s’agisse de politique, d’économie, de religion, de littérature, de philosophie, de cinéma, de théâtre. L’humour se met au service de toutes les causes, de tous les combats. L’humour appartient à un moment donné, il s’inscrit dans la temporalité, il a dans la plupart des cas un vécu éphémère. Pourquoi il ne faut pas confondre sexisme et discrimination. L’année 2013 a été déclarée «année de l’égalité entre les filles et les garçons à l’école», et un esprit démocrate et pluraliste ne peut que s’en féliciter; dans la foulée fleurissent partout des initiatives pour dénoncer les stéréotypes sexistes —jusque dans le monde de l’art contemporain, que le Monde qualifiait récemment de «bastion du sexisme»— et les déconstruire.

Toutefois, la plupart des discours et des actions sur ce sujets souffrent d’une grave confusion: ils assimilent sexisme et discrimination. Le sexisme, comme le racisme, est une croyance sur l’infériorité présumée d’un groupe d’humains. Or, dans les campagnes pour l’égalité, on part en général du principe que la discrimination résulte de ce genre de croyances. Ainsi, l’un des outils de «mobilisation pour l’égalité» à l’école est décrit ainsi: Les enfants y apprennent que les filles peuvent jouer au football et les garçons aimer le rose. Ségrégation Rouges/Verts Supposons une ville où habitent des Rouges et des Verts. DISCRIMINATION COLLECTIVE - Une action collective devant le TGI. Discrimination = infraction - Débats. Consigny : la liberté rime avec la discrimination. Le journal Libération, dans son édition du 25 juillet dernier, publie un article dont il a le secret, titré "Discriminés, restez groupés ! ".

Il s'agit d'expliquer, un peu comme l'aurait fait le Parti socialiste lui-même, les deux propositions de loi déposées à l'Assemblée nationale par le député PS Razzy Hammadi, et au Sénat par la sénatrice EELV Esther Benbassa, lesquelles visent à permettre aux victimes de discriminations de déposer une "class action". Le projet émane d'une association baptisée République et Diversité, dont le président, Louis-Georges Tin, signe une tribune dans la même édition du journal.

Libération est un tract. On aurait tort de se désintéresser de cette agitation parlementaire : les gens sont en train de tout casser. Le seul mot qu'a la gauche à la bouche, son seul argument, la justification-massue de toutes ses erreurs, de toute sa haine, de toute sa bêtise et de sa grande indigence, c'est l'égalité. Prendre garde à ne pas étouffer les rêveurs M.