background preloader

Actualité articles - Autisme

Facebook Twitter

Les causes de l’autisme. Les causes Les causes de l’autisme Depuis le premier rapport sur l’autisme de Kanner en 1943, il y a eu plusieurs théories sur ce qui cause l’autisme, certaines causant un lot de controverses.

Les causes de l’autisme

Pendant longtemps on disait que l’autisme était causé par des « mères réfrigérateurs », qui ne donnaient pas à leur enfant assez d’amour et d’attention. Cette théorie est fausse, les parents d’enfants autistes ou ayant un trouble envahissant du développement sont en tous points semblables à ceux d’enfants normaux. On ne connaît toujours pas la cause exacte de l’autisme, mais les recherches sur ce sujet se concentrent présentement sur deux possibilités : l’origine génétique de l’autisme et l’autisme déclenché par des toxines présentes dans l’environnement. Beaucoup de progrès ont été faits dans les dix dernières années du côté de la génétique. Si l’histoire de l’autisme nous a appris une chose, c’est qu’il n’y a pas de réponse facile. Aux origines de l'autisme.

Aujourd'hui encore, les causes de l'autisme restent mystérieuses.

Aux origines de l'autisme

Facteurs psychologiques, génétiques, environnementaux... les origines exactes de ce trouble restent à découvrir. Connaître ces bases est pourtant indispensable à la mise au point d'un traitement. Tour d'horizon des dernières pistes évoquées par les chercheurs... Autisme. L'Enfant-cheval (autisme) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

L'Enfant-cheval (autisme)

L'Enfant cheval est le titre d'un livre autobiographique et un film documentaire qui suit la quête de Rupert Isaacson et de sa femme pour trouver un moyen de communiquer avec leur fils autiste Rowan, âgé d'environ cinq ans. Après avoir découvert que le comportement de Rowan s'améliore après des contacts avec des animaux, notamment des chevaux, la famille quitte le Texas et part dans un voyage chamanique en Mongolie. Le livre et le film retracent le voyage de la famille, en avion jusqu'à Oulan-Bator, en camping avec le soutien d'une camionnette puis à cheval. L'Enfant cheval : La quête d'un père aux confins du monde pour guérir son fils autiste : ce livre a été édité aux États-Unis en 2009, et, la même année, il est paru une traduction en français par Esther Ménévis.

Des vitamines contre l'autisme ? - Sciences et santé. Etats-Unis: l'autisme en nette augmentation. Le nombre de cas diagnostiqués chez les enfants a augmenté de 23% de 2006 à 2008, pour s'établir à un sur 88 en moyenne, contre un sur 110 précédemment, selon les Centres fédéraux de contrôle et de prévention des maladies (CDC) qui ont réalisé ce rapport.

Etats-Unis: l'autisme en nette augmentation

L'étude montre qu'en 2008 "11,3 enfants pour 1.000, âgés de huit ans, étaient atteints de troubles du spectre autistique". Cela constitue une hausse de 23% par rapport à la précédente estimation remontant à 2006, et de 75% depuis que les CDC ont commencé à traquer l'incidence de la maladie en 2001. Ces nouveaux chiffres montrent que l'autisme touche probablement un million d'enfants et d'adolescents aux Etats-Unis. Un pas de plus vers sa connaissance (1) Par Brigitte Axelrad - Mis à jour le 23-05-2009 - SPS n° 286, juillet-septembre 2009 « Il fallait trouver un coupable, et ce fut la mère qui fit les frais de cette nouvelle croisade. »1 Le 14 février 2009, un bref article de Jean-Yves Naud dans le journal Le Monde décrit une avancée dans la connaissance de l’autisme, grâce à l’utilisation de l’imagerie fonctionnelle par résonance magnétique (IRM).

Un pas de plus vers sa connaissance (1)

Un pas de plus vers sa connaissance (2) Par Brigitte Axelrad - Mis à jour le 23-05-2009 - SPS n° 286, juillet-septembre 2009Encadré paru dans SPS n° 293, hors-série Psychanalyse, décembre 2010 Quelques rappels de l’histoire de l’autisme L’autisme a été décrit en 1943 par Léo Kanner, psychiatre américain, qui montra, à partir de 11 cas d’enfants suivis depuis 1938, que plusieurs troubles, auparavant dispersés sous des appellations variables, formaient une forme de psychopathologie distincte1.

Un pas de plus vers sa connaissance (2)

Kanner décrivit l’autisme comme un trouble affectif de la communication et de la relation n’atteignant pas l’intelligence. Il s’agissait selon lui d’un trouble inné, dont les parents ne pouvaient être jugés responsables. Cependant, selon Kanner les parents de ces enfants autistes étaient généralement froids et rigides. Echolilia: l'autisme d'un enfant, à travers les yeux de son père. Arts visuelsD'après Tymothy, son projet Echolilia l'a aidé à mieux comprendre la situation, son rôle en tant que père, mais surtout, à accepter les différences de son fils.

Si auparavant, les habitudes et tics d'Elijah le rendaient fou, depuis qu'ils ont commencé à faire des photos ensemble, tout a changé. Tymothy Archibald est le père d'Elijah, cinq ans. Cinq ans et autiste. Pour Tymothy, il était parfois difficile de comprendre ces troubles comportementaux en tant que père. Scolarité des enfants autistes : voyage au bout de l’enfer. Les parents de Mélissande, petite fille autiste, vivent tantôt à leurs dépens, tantôt soutenus par le travail d’une équipe, les balbutiements de l’intégration des enfants handicapés à l’école maternelle.

Scolarité des enfants autistes : voyage au bout de l’enfer

Troubles envahissants du développement, symptôme autistique, stéréotypies et hyperactivité, il y a quatre ans, lorsque nous avons compris que notre fille Mélissande ne serait pas une enfant « ordinaire », nous étions loin de nous imaginer que sa scolarisation s’apparenterait à un véritable parcours du combattant.Et pourtant, nous étions convaincus que, malgré son handicap, Mélissande avait le droit de fréquenter une école au même titre que n’importe quel autre enfant. La 17è porte s’entr’ouvre ... En septembre 2003, nous démarchons au total seize établissements scolaires avant que l’un d’eux n’accepte enfin d’accueillir notre fille. Pour sa première rentrée, notre fille ne peut compter sur la présence d’un auxiliaire de vie scolaire (AVS) que l’Académie nous a refusé.

Et maintenant ? Le cerveau hyper-connecté des autistes. Autisme : recherches tous azimuts pour un repérage précoce. L’autisme, qui concerne plus d’un enfant sur cent, pourrait-il être repéré dès les premiers mois de vie ?

Autisme : recherches tous azimuts pour un repérage précoce

C’est ce que cherchent à savoir deux équipes, l’une, américaine, avec des tests de suivi du regard, l’autre, française, avec une approche génétique. Le diagnostic de ce trouble du développement est rarement porté avant l’âge de 3 ans, mais nombre de spécialistes plaident pour un dépistage avant 18 mois, pour une prise en charge plus précoce. Dans un article publié le 7 novembre dans Nature, les Américains Warren Jones et Ami Klin mettent en évidence un déclin des capacités de suivi du regard à partir de 2 mois chez des bébés qui vont se révéler autistes.

Les difficultés qu’ont ces patients à fixer leur entourage dans les yeux et à regarder les visages sont bien connues. Mais l’apparition de ces anomalies et leur évolution n’avaient pas été étudiées. Autisme: la capacité de contact visuel existerait au départ chez le bébé atteint. Leur travail, publié mercredi dans la revue scientifique Nature, examine la valeur potentielle, pour le diagnostic précoce, de l'évitement du contact visuel avec autrui, une marque de l'autisme.

Autisme: la capacité de contact visuel existerait au départ chez le bébé atteint

Le contact des yeux joue en effet un rôle clé dans l'interaction sociale humaine et le développement. L'étude sur 110 nourrissons, suivis de la naissance jusqu'à deux ans, utilise une technologie qui permet de détecter et tracer les mouvements oculaires (méthode dite d'"eye-tracking" en Anglais) afin de mesurer leur capacité à établir le contact visuel. Les enfants formaient deux groupes, l'un à faible risque de développer une forme d'autisme (51) et l'autre à risque élevé (59), car ayant un aîné atteint. Treize parmi ces petits ont eu par la suite un diagnostic de troubles envahissants du développement (Ted) encore dénommés troubles du spectre autistique (tsa). Autisme : l'espoir de la stimulation cérébrale.

Pour les patients atteints de troubles du spectre autistique (TSA), développer des relations sociales avec l'entourage est souvent problématique.

Autisme : l'espoir de la stimulation cérébrale

Il est maintenant connu que chez ces personnes, certaines régions du cerveau liées aux comportements sociaux ne sont pas assez actives. Des médecins australiens viennent de publier dans la revue Brain Stimulation des résultats prometteurs démontrant pour la première fois les effets bénéfiques de la stimulation transcrânienne magnétique chez des patients autistes. La stimulation transcrânienne magnétique répétée (rSTM) consiste à placer sur la tête du sujet une bobine émettant un champ magnétique.

Au cours d'une séance, les impulsions magnétiques, répétées 1500 fois environ, augmentent l'activité des neurones. Le point fort de la rSTM est son caractère non-invasif et ses faibles effets secondaires, limités le plus souvent à des maux de tête passagers. 15 minutes par jour. Autisme : l'influence des anticorps maternels.