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Non-violence

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Châtiments corporels : une loi, pourquoi ? L’ actualité remet une nouvelle fois les violences éducatives sur le devant de la scène.

Châtiments corporels : une loi, pourquoi ?

C’est cyclique, l’information s’en va, puis elle revient. Pendant quelques jours, statistiques et débats sur la fessée font la une des médias et puis l’intérêt se tasse et la question des violences éducatives retombe dans le silence assourdissant des deux enfants par jour qui meurent sous les coups. Plus tard, à l’occasion d’un fait divers morbide, on déplorera la maltraitance des enfants, et à nouveau le voile retombera sur leurs souffrances muettes. Cette semaine est une semaine de mise en lumière Suite au rapport accablant de l’association L’Enfant Bleu, qui expose qu’un Français sur 10 dit avoir été maltraité dans son enfance. En France, que dit la loi ? Si le code pénal réprime les violences faites aux enfants, elle laisse toutefois une zone de flou majeure : le droit de correction en famille. La fessée a-t-elle une valeur éducative ? Le Monde.fr | • Mis à jour le | Par Gaëlle Dupont Le Conseil de l’Europe, l’organisme européen de défense des droits de l’homme, estime que la législation française « ne prévoit pas d’interdiction suffisamment claire, contraignante et précise des châtiments corporels ».

La fessée a-t-elle une valeur éducative ?

La condamnation, attendue mercredi 4 mars, est seulement symbolique : elle n’a pas de force contraignante. Et le gouvernement a déjà exclu toute évolution de la loi. Mais elle relance un débat très vif en France : gifles et fessées sont-elles utiles pour éduquer les enfants, ou au contraire dangereuses ? Éducation. Parents, quelle alternative à la fessée ? Tape sur les fesses ou grosse râclée, peut-on établir une hierarchie de la fessée ?

Éducation. Parents, quelle alternative à la fessée ?

Celle que l'on donne sous le coup de la peur, de l'agacement, de la fatigue et la fessée déculottée, humiliante, pour affirmer son autorité. Dans tous les cas, les pleurs et les fesses rougies de nos enfants nous rappellent immédiatement que ce geste n'est pas anodin. Alors que la France devrait être condamnée mercredi pour ne pas avoir interdit les châtiments corporels, Jean-Luc Aubert, psychologue, spécialiste de l'enfant et de l'adolescent insiste sur le fait que la fessée ne peut en aucun cas être utilisée comme un mode éducatif. Ils font autrement (4): humaniser la justice. EnVies EnJeux. Sur les chemins de l'école de la non violence - Communication Non Violente à l'école. Les approches non-violentes/épanouies.

Au pays de la fessée interdite.

Journée de la non-violence éducative

OBSERVATOIRE DE LA VIOLENCE EDUCATIVE ORDINAIRE. Alice Miller - Abus et Maltraitance de l'Enfant. La rubrique courrier, n'est plus en activité, en consultant les lettres déjà publiées, vous trouverez peut être des réponses à vos questions Vous pouvez joindre Brigitte Oriol à l'adresse e-mail brigitteoriol@sfr.fr Alice Miller (12 janvier 1923 - 14 avril 2010), docteur en philosophie, psychologie et sociologie, ainsi que chercheur sur l'enfance, est l'auteur de 13 livres, traduits en trente langues.

Alice Miller - Abus et Maltraitance de l'Enfant

Des 192 membres des Nations Unies, seuls 19 ont jusqu'à présent interdit le châtiment corporel des enfants. Continuez... La maltraitance dans le cerveau. La maltraitance dans le cerveau L'hippocampe cérébral de jeunes adultes maltraités durant leur enfance est plus petit que celui d'adultes non maltraités.

La maltraitance dans le cerveau

Cette réduction du volume serait un facteur de risque d'apparition de maladies mentales. Pourquoi un Observatoire de la violence éducative ordinaire ? Détails Publié le samedi 10 janvier 2009 20:45 EDITORIAL - Par Olivier Maurel, président de l'OVEOEcrit en 2005, révisé en 2008.

Pourquoi un Observatoire de la violence éducative ordinaire ?

Un document pour aider les parents. Construire une Europe pour et avec les enfants. "Levez la main contre la fessée !" Parentage positif. La parentalité positive renvoie à un comportement parental qui respecte l'intérêt supérieur de l'enfant.

Parentage positif

Les parents qui agissent ainsi veillent au bien-être de l'enfant, favorisent son autonomie, le reconnaissent comme un individu à part entière et le guident en fixant les limites dont l'enfant a besoin, de manière à l'aider à s'épanouir pleinement. NVA Info - Avril 2012. Et si la parentalité positive n’était pas si positive que cela ? Détails Publié le vendredi 7 octobre 2011 20:28 Par David Dutarte Depuis plusieurs années, le Conseil de l’Europe, en parallèle à la demande d’interdiction des châtiments corporels et autres traitements humiliants envers les enfants dans ses États membres, fait la promotion de la parentalité positive.

Et si la parentalité positive n’était pas si positive que cela ?

Mais que signifie réellement cette notion ? Une parentalité qui respecte l’intérêt supérieur de l’enfant Dans son discours tenu à l’occasion du lancement à Zagreb en 2008 de l’initiative du Conseil de l’Europe contre les châtiments corporels infligés aux enfants, Maud de Boer-Buquicchio, qui en est la secrétaire générale adjointe, explique que « la parentalité positive se réfère à un comportement parental fondé sur l'intérêt supérieur de l'enfant : elle vise à l'élever et à le responsabiliser et lui fournit reconnaissance et assistance pour lui permettre de s'épanouir pleinement. » La réponse est assez claire (p. 22) : Quelles sont donc les conséquences de ce consensus fragile ?

Dr. Dr. Dr. La parentalité positive – Isabelle Filliozat. Droits partagés, des droits de l'homme aux droits de l'enfant. Tout (ou presque) sur Les Droits de l'enfant. Journée internationale de la non-violence - Page d'accueil. Décennie internationale pour une culture de la non-violence et de la paix - Coordination Française.

Mouvement pour une Alternative Non-violente. École et non-violence.