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Knowledge manager

Knowledge manager
Responsable ingénierie des connaissances, Responsable knowledge management, Knowledge worker, Knowledge manager, Gestionnaire des connaissances Le knowledge manager facilite l’accès à l’information et aux connaissances créées par l'entreprise : il rationalise la production, la diffusion et l’archivage des documents internes et favorise la création, la capitalisation et le partage des savoirs et savoir-faire des salariés. Pour ce faire, il utilise des méthodes et des outils de gestion de contenu et de travail collaboratif. Sa mission stratégique et transversale l'amène à travailler avec tout le personnel de l'entreprise.  Related:  Définitions

i-KM Management des connaissances EBD - Ecole Bibliothécaires Documentalistes Le Knowledge Management peut être exercé comme un métier à part entière ou comme une des fonctions du gestionnaire de l’information. Issu de la culture anglo-saxonne, il prend de plus de plus d’ampleur dans les entreprises françaises. Responsable ingénierie des connaissances, responsable knowledge management, knowledge worker, knowledge manager, gestionnaire des connaissances Capitaliser, valoriser, partager et renouveler les savoirs et savoir-faire comme une ressource de l’entreprise. C’est une des fonctions de soutien stratégique de l’entreprise. Mettre en oeuvre un projet de gestion des connaissances Recenser, identifier les connaissances et processus de l’entrepriseEvaluer les besoins et conseiller pour le choix des outils et leur paramétrageConseiller sur la gestion de projetEvaluer le dispositif, définir des indicateurs de qualité et rendre compte aux décideurs Animer des processus de capitalisation et de mutualisation des connaissances Gérer des contenus et des connaissances Articles

Définition |Knowledge Management - Gestion des connaissances Septembre 2017 Introduction au Knowledge Management On appelle « Knowledge Management » (noté KM, en français management des connaissances ou management par les connaissance) les méthodes et outils logiciels permettant d'identifier, de capitaliser les connaissances de l'entreprise afin notamment de les organiser et de les diffuser. Connaissances tangibles/explicites On distingue généralement les connaissances tangibles (également appelées connaissances explicites) de l'entreprises, contenues dans les bases de données ou bien dans tous les documents papiers ou électroniques, des connaissances tacites (également appelées connaissances intangibles ) composées des connaissances, du savoir-faire et des compétences de l'ensemble du personnel (on parle ainsi de « capital immatériel »). En effet, ce sont bien les ressources humaines d'une entreprise qui en font la force, la réactivité et le dynamisme, ou plus exactement le travail en synergie de ces différentes personnes.

KM Actu - management des connaissances - gestion des connaissances Gestion des connaissances Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La gestion des connaissances (en anglais knowledge management) est une démarche managériale pluridisciplinaire qui regroupe l'ensemble des initiatives, des méthodes et des techniques permettant de percevoir, identifier, analyser, organiser, mémoriser, partager les connaissances des membres d'une organisation – les savoirs créés par l'entreprise elle-même (marketing, recherche et développement) ou acquis de l'extérieur (intelligence économique) – en vue d'atteindre un objectif fixé. Définition[modifier | modifier le code] Actuellement, nous sommes submergés d'informations. La Gestion des Connaissances est une démarche stratégique pluridisciplinaire visant à atteindre l'objectif fixé grâce à une exploitation optimale des connaissances.[1] D'après des praticiens et des académiciens tels que R. Historique[modifier | modifier le code] Enjeux et objectifs[modifier | modifier le code] Les formes des connaissances[modifier | modifier le code] SI MARIÉ(?

Le knowledge manager au carrefour des compétences techniques, métiers et de veille - Le Knowledge Manager au service de la connaissance - Journal du Net Solutions Responsable de l'ingénierie des connaissances, knowledge worker, gestionnaire des connaissances, knowledge manager,... Pléthore de dénominations existent pour qualifer le rôle de la personne chargée de la gestion des savoirs dans l'entreprise. Pourtant, tous aspirent à un seul et unique objectif, à savoir trouver le moyen de valoriser le potentiel de connaissances disponibles dans l'organisation pour la mettre au service de chacun. Et contribuer par ce biais non seulement à l'efficacité individuelle des collaborateurs mais à celle, collective, de l'entreprise toute entière. Les stratégies mises en place pour y parvenir varieront cependant en fonction des profils de knowledge manager existants. "Le rôle des managers de communautés s'inscrit dans la gestion opérationnelle de la démarche KM" (Laure Gitton - Directeur KM chez Logica Management Consulting)

Définition | Savoir, connaissance, compétence | Coop'ICEM Le savoir est une donnée, un concept, une procédure ou une méthode qui existe à un temps donné hors de tout sujet connaissant et qui est généralement codifié dans des ouvrages de référence. Le savoir ne peut pas se confondre avec un ensemble de connaissances. L’acquisition d’un savoir suppose un processus continu d’assimilation et d’organisation de connaissances par le sujet concerné. Ce qui s’oppose à une simple accumulation et rétention. On parle aussi de savoirs formalisés : connaissances et procédures de savoirs agissants : savoir-faire, expérience de savoirs intellectuels : appropriation ou conception de concepts et plus récemment de savoir être : Capacité à s’adapter à des situations variées et à ajuster ses comportements en fonction des caractéristiques de l’environnement, des enjeux de la situation et du type d’interlocuteur. Etat de celui qui connaît ou sait - Ensemble des choses connues d’un savoir. La connaissance est indissociable d’un sujet connaissant.

Structure et culture de l'innovation : comment digitaliser une organisation ? Une fois qu’on a appris les techniques de base pour communiquer sur les réseaux sociaux, on est susceptible de se retrouver face à un autre problème. Celui de ne pas pouvoir appliquer ces idées-là au sein d’une organisation rigide qui ne permet pas (encore) l’innovation par l’essai, la réussite par l’échec. De fait, il est nécessaire d’avoir révolutionné la structure interne de l’entreprise, et lui prodiguer une culture interne lui permettant de vraiment s’essayer aux réseaux sociaux. C’est le point de départ (qui a depuis été galvaudé, nous y reviendrons) de la réflexion que le top management d’une entreprise doit intégrer dans son système de pensée. 1946 : L’ENIAC, le premier ordinateur commandé en 1942 par l’armée américaine, afin d’effectuer des calculs de balistiques. Facebook en est l’exemple le plus flagrant. Les comptes Twitter et profils Facebook personnels ont poussé les entreprises à créer des profils professionnels pour la communication externe. L’adhocratie Google+

Théorie de la connaissance Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une partie de cet article porte sur la théorie analytique de la connaissance, discipline philosophique qui s'est pour l'essentiel développée dans le monde anglophone[1]. Le monde germanique, de par l'apport anglo-saxon a repris les résultats analytique pour les réunir dans une théorie globalisante. Le passage est très distinct de Locke, Berkeley, Hume à Kant pour l'analytique. Fichte opère le renversement avec sa "Doctrine de la science" imposant ainsi le départ d'une conception qui ne se veut pas seulement analytique mais unifiante. Définition classique de la connaissance[modifier | modifier le code] Croyance vraie justifiée[modifier | modifier le code] L'approche classique définit la connaissance comme une croyance vraie et justifiée[2], et non seulement une croyance vraie. Le terme de « connaissance » a longtemps désigné, en philosophie, des croyances dont la vérité est justifiée de manière certaine. S sait que p si et seulement si Jean C.

Définition | Intelligence collective et Big Data : Deux sources de savoir interconnectées À l’ère du Big Data, l’intelligence collective des êtres humains permet de générer de nombreuses données pour résoudre certains des principaux problèmes de l’humanité. De même, elle permet d’analyser certaines données plus efficacement que les algorithmes informatiques. Découvrez la relation étroite entre intelligence collective et Big Data. La notion d’intelligence collective désigne une intelligence de groupe, ou une intelligence partagée émergeant de la collaboration, des efforts collectifs ou de la compétition entre plusieurs individus. L’intelligence collective peut être perçue comme une propriété émergente de la synergie entre le savoir offert par les données, les logiciels, le hardware informatique, et les experts de domaines spécifiques, permettant de prendre de meilleures décisions au moment opportun. Le concept d’intelligence collective est utilisé en sociologie, en informatique, mais aussi dans le domaine du business. Origine du concept d’intelligence collective

Construire l'environnement optimal d'apprentissage (Heutte, à paraître) - Bloc notes de Jean Heutte : sérendipité, phronèsis et ataraxie sont les trois mamelles qui nourrissent l'Épicurien de la connaissance ;-) Ce qu’il est désormais convenu d’appeler la société de la connaissance marque un tournant historique à bien des égards. 10 000 ans après la révolution agraire (le pouvoir réside dans la force humaine ou animale qui permet de réaliser les travaux des champs), et à peine 200 ans après la révolution industrielle (le pouvoir réside dans l’argent qui permet d’acquérir ou transformer les matières premières en objets de consommation), un nouveau secteur d’activité émerge dans les pays les plus avancés, cette « 3e vague », qui selon Toffler (1980) vient se superposer aux deux précédentes, est portée par la connaissance. Ainsi, la connaissance constituerait un nouveau pouvoir de nature bien supérieure à la force, capable, de supplanter même l’argent. Le sentiment d’acceptation : moteur de l’apprentissage individuel et collectif L’expérience optimale d’apprentissage : le plaisir de s’apercevoir que l’on comprend Bandura, A. (2003). Carré, P. (2005). Csikszentmihalyi, M. (2004). Deci, E.

Comment l’internet transforme-t-il la façon dont on pense ? (1/5) : un réseau d’humains et de machines enchevêtrées Par Hubert Guillaud le 09/02/10 | 12 commentaires | 18,511 lectures | Impression “Comment l’internet transforme-t-il la façon dont vous pensez ?”, telle était la grande question annuelle posée par la revue The Edge à quelque 170 experts, scientifiques, artistes et penseurs. Difficile d’en faire une synthèse, tant les contributions sont multiples et variées et souvent passionnantes. Que les répondants soient fans ou critiques de la révolution des technologies de l’information, en tout cas, il est clair qu’internet ne laisse personne indifférent. “Une nouvelle invention a émergé, un code pour la conscience collective qui nécessite une nouvelle façon de penser”, explique John Brockman, l’éditeur de The Edge. L’internet change la façon dont nous décidons Pour le physicien Daniel Hillis, le réel impact de l’internet a été de changer la façon dont nous prenons des décisions. Pour Marissa Mayer de Google, “l’internet n’a pas changé ce que l’on sait, mais ce que l’on peut trouver”.

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