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Six Sigma

Six Sigma
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode Six Sigma se base sur une démarche fondée à la fois sur la voix du client (enquêtes, etc.) et sur des données mesurables (par indicateurs) et fiables. Cette méthode est utilisée dans des démarches de réduction de la variabilité dans les processus de production (ou autre) et au niveau des produits et vise ainsi à améliorer la qualité globale du produit et des services. Le symbole de six sigma. Histoire[modifier | modifier le code] L’histoire de Six Sigma débute en 1986 chez Motorola, mais la méthode devient célèbre dans les années 1990 lorsque General Electric décide de l’appliquer et de l’améliorer. Origine de l'appellation[modifier | modifier le code] En statistiques, la lettre grecque sigma σ désigne l'écart type ; « Six Sigma » signifie donc « six fois l'écart type ». Concept[modifier | modifier le code] Exemple[modifier | modifier le code] Prenons le cas d'une pièce mécanique dont la longueur nominale est L. Principe DMAIC

qualité service public « Lean Secteur Public La France est une « Grande famille » qui prône les concepts du bien être et de l’égalité pour tous. A l’issue de la Seconde Guerre Mondiale, l’État Français, sous l’impulsion d’un gouvernement d’union nationale, a eu la volonté de garantir les besoins essentiels pour l’ensemble de ses citoyens comme la santé, l’éducation, la justice ou encore la sécurité. Déjà, en 1945, le Conseil National de la Résistance avait pour but de refonder l’État. Dans cette perspective, la construction d’un service public fort (nationalisation de l’énergie, des assurances et des banques, création de la Sécurité Sociale, etc.) s’est imposée. Cette dynamique s’est poursuivie en 1958. Sous l’impulsion du Général de Gaulle, l’État français avait entrepris une réforme constitutionnelle ayant pour finalité première la stabilité du gouvernement et le bon fonctionnement des institutions Françaises. Dans le même esprit, en 1968, suite à l’apparition du chômage, le gouvernement procéda à la création de l’ANPE.

5S Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La méthode des 5 « S » (en anglais the 5 S's) est une technique de management japonaise visant à l'amélioration continue des tâches effectuées dans les entreprises. Élaborée dans le cadre du système de production de Toyota (en anglais Toyota Production System ou TPS), elle tire son appellation de la première lettre de chacune de cinq opérations constituant autant de mots d'ordre ou principes simples : Seiri (整理, ranger?) : supprimer l'inutileSeiton (整頓, ordre?) : situer les chosesSeiso (清掃, nettoyage?) Nota : Cette démarche est parfois traduite en français par le mot ORDRE qui signifie : OrdonnerRangerDépoussiérer, Découvrir des anomaliesRendre évidentÊtre rigoureux §Buts[modifier | modifier le code] L'application des 5S sert plusieurs buts. L'ensemble du système permet par ailleurs : §Déroulement[modifier | modifier le code] §Seiri (Supprimer)[modifier | modifier le code] Cette hiérarchisation du matériel de travail conduit logiquement à Seiton

Comment se débarrasser de l'ex-nouveau management public ? Billet publié par Stéphane Vincent dans la catégorie Tags: administration , Innovation Marjorie Jouen est conseillère à Notre Europe, un think thank dédié à l’unité européenne. Pour elle, qui observe de près l’évolution des politiques publiques européennes, la France est en retard d’une révolution. Dans le prochain numéro de Futuribles, à paraître en décembre, Marjorie signe un article passionnant sur la transformation des services publics, et la fin annoncée du "nouveau management public". On retrouvera cette interview réalisée par Anne Daubrée dans un ouvrage dont nous préparons la sortie pour avril prochain (on vous en reparle bientôt) Quel bilan peut-on tirer du new public management ? Si plaquer les méthodes du privé ne fonctionne pas, que faut-il faire ? MJ - Nous devons remettre en cause notre conception de l’intérêt général, ce qui implique de revisiter les processus que nous avons mis en place pour le réaliser. Est-ce un changement de valeurs ?

Juste-à-temps (gestion) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Juste-à-temps[1] est une méthode d'organisation et de gestion de la production, propre au secteur de l'industrie, qui consiste à minimiser les stocks et les en-cours de fabrication. Appelée aussi « flux tendu » ou « 5 zéros » ou encore « zéro-délai », la méthode est issue du toyotisme ; elle consiste à minimiser le temps de passage des composants et des produits à travers les différentes étapes de leur élaboration, de la matière première à la livraison des produits finis. Les cinq zéros correspondent à zéro panne, zéro délai, zéro papier, zéro stock et zéro défaut. À l'origine, le juste-à-temps était lié à des problèmes de gestion : les échoppes japonaises étant de très petite taille, il était difficile, sinon impossible, de stocker plusieurs exemplaires d'un même produit, pour peu qu'il fût encombrant. Ce n'est qu'ultérieurement que Taiichi Ohno en fit un système allant bien au-delà de cette pure question de stockage. Portail du management

Nouvelle gestion publique Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La nouvelle gestion publique (également appelée nouveau management public, de l'anglais new public management) est un concept né dans les années 1970. Elle nie - ou en tous cas minimise - toute différence de nature entre gestion publique et gestion privée. En conséquence, elle réclame une approche pragmatique des problèmes et un meilleur partage des rôles entre le niveau du pilotage (le pouvoir politique qui prend les décisions stratégiques et fixe les objectifs),le niveau d'exécution (le pouvoir de l'administration ou du gestionnaire qui prend les décisions opérationnelles). Ceci afin d'améliorer le rapport coût/efficacité du service grâce à une modernisation accrue et un plus grand pragmatisme de gestion au sein des administrations publiques. Questionnement de la gestion publique traditionnelle[modifier | modifier le code] Les « nouvelles » orientations de la gestion publique[modifier | modifier le code] Sources[modifier | modifier le code]

Kaizen Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Kaizen in japanese writing Le mot kaizen (改善, kaizen?) est la fusion des deux mots japonais kai et zen qui signifient respectivement « changement » et « bon ». C'est le nom d'une méthode de gestion de la qualité. Le kaizen est un processus d'améliorations concrètes, simples et peu onéreuses. Le terme est actuellement très connu dans le monde du commerce. Démarche[2][modifier | modifier le code] Cette démarche japonaise repose sur des petites améliorations faites au quotidien, constamment. C'est une démarche graduelle et douce, qui s'oppose au concept plus occidental de réforme brutale du type « on jette le tout et on recommence à neuf » ou de l'innovation, qui est souvent le résultat d'un processus de réingénierie. En revanche, le kaizen tend à inciter chaque travailleur à réfléchir sur son lieu de travail et à proposer des améliorations. Philosophie[4][modifier | modifier le code] Toute la philosophie du Kaizen réside dans ces phrases :

La RGPP : un défi pour les collectivités territoriales et les territoires (rapport) Partie 1 Chapitre 1 Le cadre général de la RGPP Proposition n° 1 Etablir dans la suite de la RGPP une définition claire des missions de l'Etat, veiller à l'adéquation des moyens à ces missions et régler, le cas échéant, les doublons et compétences partagées. Proposition n° 2 Permettre dans certaines régions déterminées par leurs spécificités géographiques (superficie, relief, nombre des départements la composant) un assouplissement de l'organigramme des services déconcentrés pour mieux assurer la proximité des services de l'Etat. Proposition n° 3 Favoriser l'accomplissement d'une mobilité pour les fonctionnaires d'Etat, territoriaux et hospitaliers relevant des corps et cadres d'emplois de catégorie A sur un poste d'une autre fonction publique que sa fonction publique d'origine. Propositions n° 4 et 5 - Recenser les opérations de mutualisation et chiffrer leurs résultats dans les rapports d'étape du CMPP. Propositions n° 6 et 7 Proposition n° 8 Proposition n° 9 Proposition n° 10 Proposition n° 11

Kanban Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un kanban (カンバン ou 看板, terme japonais signifiant « enseigne, panneau »[1]?) est une simple fiche cartonnée que l'on fixe sur les bacs ou les conteneurs de pièces dans une ligne d'assemblage ou une zone de stockage. Principe[modifier | modifier le code] Le Kanban est un mécanisme permettant d'asservir la production ou l'approvisionnement d'un composant à la consommation qui en est faite. Le nombre de kanban en circulation doit être limité pour éviter la constitution d'en-cours trop importants. Le système Kanban fonctionne entre les postes de production aval et amont : L'opérateur aval entame un conteneur. L'ingénieur japonais Taiichi Ōno est généralement considéré comme l'inventeur de la méthode kanban[3]. Règles d'implantation du système Kanban[modifier | modifier le code] Règle 1 : Pour une référence d'article donnée, un poste de fabrication produit des pièces par lots de taille réduite, et dont la quantité est toujours fixe.

Révision générale des politiques publiques Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La révision générale des politiques publiques (RGPP) consiste en une analyse des missions et actions de l'État et des collectivités, suivie de la mise en œuvre de scénarios de réformes structurelles, avec comme buts la réforme de l'État, la baisse des dépenses publiques et l'amélioration des politiques publiques. De telles politiques ont été menées dans de nombreux pays, notamment au Canada de 1994 à 1998 sous le nom de revue des programmes. En France, la RGPP, ou révision générale des politiques publiques, a commencé en 2007, puis est remplacée en 2012 par la MAP (modernisation de l'action publique). Objectifs[modifier | modifier le code] Cette remise à plat des politiques publiques sert trois objectifs majeurs : Mieux adapter les administrations aux besoins des usagers ;Valoriser le travail des fonctionnaires ;Réduire les dépenses publiques pour revenir à l’équilibre budgétaire et gagner des marges de manœuvre. Que faisons-nous ?

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