background preloader

Réseau social d'entreprise : 4 étapes clés à ne pas rater - Journal du Net Solutions

Réseau social d'entreprise : 4 étapes clés à ne pas rater - Journal du Net Solutions

13 freins et obstacles à l’adoption des Réseaux Sociaux d’Entreprise (#RSE) Tout comme les dispositifs de veille, la mise en place d’un réseau social d’entreprise (RSE) ne s’improvise pas, et nécessite un certain nombre de prérequis pour augmenter les chances de sa réussite et sa viabilité dans le temps pour l’ensemble de l’organisation. Plusieurs freins sont en effet à l’origine de blocages dans l’adoption des RSE malgré les efforts fournis, et ils trouvent majoritairement leur origine dans le rapport de l’entreprise à la notion de collaboration. A ce titre, voici une liste non exhaustive des freins et obstacles fréquemment rencontrés lors de la mise en place d’un RSE. Il est à noter que ces freins ne sont pas complètement indépendants, et majoritairement, c’est un ensemble d’obstacles qui justifient l’échec du projet, et non pas un seul et unique paramètre. La connaissance c’est le pouvoir : certains trouvent et justifient leur légitimité par l’accès à certains types d’informations qu’ils n’ont pas envie de partager, par crainte de perte de pouvoir interne.

Blogs et wikis cimentent la fonction collaborative des RSE - Etude Intranet et RSE 2012 CCM Benchmark - Journal du Net Solutions Les grands comptes interrogés à l'occasion de l'étude Intranets et RSE 2012 par CCM Benchmark ont été invités à s'exprimer sur les fonctions collaboratives présentes dans leur outil de réseau social d'entreprise. Sur les huit qui ont accepté de répondre à cette question à choix multiples, une majorité a mis en avant le fait que leurs solutions sont pourvues de fonctions de blogs et de wikis. Ce n'est pas le cas pour les fonctions de messagerie et de calendrier, fournies par le biais d'autres outils (bureautique, solution dédiée...), et encore moins pour la fonction de centre de tâches et de messagerie interne. Aux yeux des grands comptes, le RSE n'a manifestement pas, pour l'heure, vocation à se substituer aux outils collaboratifs existants mais plutôt à les compléter en s'appuyant sur leurs points forts en matière de publication et surtout de partage de contenus et d'expertises.

Emploi : Réseaux sociaux : les entreprises s'y mettent aussi Danone, LVMH, BNP Paribas, Orange ou Alcatel se sont lancés. Mais en général ces plates-formes restent encore avant tout des outils de recrutement. La question n'est plus pourquoi, mais comment? Le top départ date de 2008 et le véritable tournant de fin 2010. Pour autant l'évolution se fait lentement. Si les directions ne le font pas, les collaborateurs passent à l'acte. Nicolas Rolland, directeur de la prospective sociale du groupe Danone, n'est pas convaincu. Présent dans plus de 90 pays, Danone avait un besoin professionnel de développer les relations entre collaborateurs. Sur les 40 000 personnes connectées, 30 000 ont enrichi leur profil et 10 000 l'utilisent régulièrement. Deux enjeux majeurs Chez Orange aussi le RSE est porté par le comité exécutif et sponsorisé par le DRH groupe. Reste un enjeu de taille à réussir pour les entreprises. » Les réseaux sociaux mettent l'info à leur service » Jeunes diplômés: comment doper son réseau

La gestion des médias sociaux en entreprise doit-elle être centralisée ou distribuée au sein de tous les départements d’une entreprise? C’est avec cette question assez difficile que démarre une série d’articles, co-rédigés par les membres de Media Aces, dans le but de fournir un éclairage original sur la gestion des médias sociaux en entreprise. Selon Yves Landoyer (CCI de Paris), une direction spécifique doit centraliser le dispositif de com digitale ou de marketing digital au niveau global, pour assurer la cohérence, et il doit impérativement y avoir des directions relais avec des acteurs-relais. Philippe Gérard (CEGOS) renchérit. Beaucoup de directions d’entreprise (Marketing, DRH, Relation-client,…) intègrent les médias sociaux. La question se résume donc à savoir si les directions de l’entreprise doivent mener des actions « médias sociaux » pour leur propre compte (les RH pour le recrutement; la Communication pour les RP; le Commercial pour la prospection; etc.), indépendamment des autres directions, au sein de la même entreprise. Apporter, justement, à l’entreprise sa direction digitale.

Les DRH doivent-ils intégrer la RSE dans leur stratégie ? La société Nielsen a publié une étude sur la perception qu’ont les consommateurs de la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE). Pour cela, près de 29 000 personnes provenant de 58 pays différents ont été interrogées. L’analyse de cette étude révèle que la moitié des consommateurs veulent récompenser les entreprises qui appliquent une démarche de RSE. L’Europe : dernière de la classe en RSE Contrairement à ce qu’on pourrait penser, l’Europe et plus particulièrement la France ne se soucient pas beaucoup de la RSE. Seulement 31 % des Français interrogés se révèlent sensibles à la RSE alors qu’en Inde, en Indonésie, en Thaïlande et aux Philippines, plus des deux tiers des personnes accepteraient de payer plus pour des produits provenant d’entreprises fortement engagées dans cette problématique. Les plus mauvais élèves européens seraient la France, la Hollande, la Belgique et la Finlande. Les consommateurs montrent un intérêt croissant pour la RSE .Gwenaëlle de Parlons RH

Des communautés plus ou moins spontanées D'une organisation à l'autre, les règles de création de communautés en ligne peuvent différer du tout au tout. Et c'est tant mieux ! Il n'y a pas une bonne façon de faire qui convienne à toutes les situations. Les besoins, les ambitions et les contextes culturels nécessitent des adaptations. Les approches les plus radicales, qui sont aussi les moins courantes, visent soit à accorder une entière liberté aux employés, soit au contraire à rendre quasi obligatoire l'adhésion à une communauté. La première option, celle choisie par plusieurs sociétés du monde IT, permet à tout salarié de créer une communauté sans avoir besoin de justifier son existence. La position se défend. Entre laisser-faire et contrôle intégral, de multiples options intermédiaires A l'opposé, bien loin de l'esprit initial des RSE, certaines entreprises imposent la création de communautés. Entre ces deux approches, il existe de multiples options intermédiaires. Il arrive même que des communautés soient suggérées.

Bibliographie en gestion des connaissances Les métiers de l'information et de la communication évoluent très vite. Nos formations s'adaptent. Le département info&com de l'uB propose désormais une offre de formation de la première année de licence au master 2, avec une spécialisation progressive vers les deux spécialités "communication" (média, journalisme) et "documentation" (entreprise et institutionnelle / enseignement). Dispensé par des enseignants-chercheurs et des intervenants professionnels, le programme des masters mêle progressivement formation pratique et professionnelle (informatique, création web et audiovisuelle, gestion de projet, économie d'entreprise, techniques de communication, droit, traitement d'enquêtes pour les sciences sociales) et formation fondamentale en sciences de l'information et de la communication. La première année du Master 1 "ingéniérie des métiers de l'information" (iMi) est commune aux deux spécialité commmunication et documentation.

Knowledge Management, management des connaissances - Méthode ECOUTE 360® Méthode mise en oeuvre en Phase I pour diagnostiquer les attentes, les freins, les leviers, le contexte, les initiatives des acteurs "cibles" du projet Knowledge Management Contexte d’applicationAnalyse préalable au lancement d’une démarche de KM La mise en place d’une méthode de partage des connaissances ne vaut que si elle est acceptée par les acteurs : chaque acteur est à la fois consommateur et producteur d’information, un acteur ne sera motivé à « capitaliser son savoir » que s’il en est lui-même bénéficiaire ou au moins s’il a une visibilité sur l’utilité de sa contribution, l’ergonomie du système, sa capacité à répondre aux questions et non à accumuler de l’information inutile, sont des facteurs capitaux, les flux de connaissance se situent dans un environnement où il y a des freins, des leviers, des opportunités et des menaces (SWOT), qu’il convient d’identifier. On ne peut pas demander à un opérateur dans une usine quels sont ses besoins en matière de Knowledge Management !

Related: