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(15) John Berger / Ways of Seeing , Episode 1 (1972)

(15) John Berger / Ways of Seeing , Episode 1 (1972)

http://www.youtube.com/watch?v=0pDE4VX_9Kk

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Gilles BARBIER L'inconséquence des gestes 2006 Technique mixte, dimensions variables Vues d'exposition au Carré d'Art, Musée d'art contemporain de Nîmes, 2006 Commissaire de l’exposition : Françoise Cohen Présentation de l'exposition Carré d'art de Nimes, 2006 L’œuvre de Gilles Barbier privilégie le fragment et la multiplicité à la somme. Elle propose un scénario critique face à une réalité de plus en plus affirmative et médiatiquement assénée, mais de plus en plus fantasmée aussi. Les sports de glisse, l’intelligence artificielle, le village global de Mac Luhan sont des modes d’approche d’un monde contemporain lisse, dont la complexité perturbante se décompose mieux en pixels qu’en sujets. Chacune des expositions de Gilles Barbier propose une plongée dans les fictions qui, pour lui, aident à donner sens au réel. Les personnages, bulles de BD, messages « correcteurs de réalités » servent d’indicateurs pour cette lecture en profondeur.

sonore visuel Ryoji Ikeda commence une carrière de DJ en 1990 et ouvre progressivement sa pratique à l’art sonore. Il se situe dans un domaine minimal électroacoustique, aux couleurs post-techno et IDM (Intelligent Dance Music). Il intègre très vite le collectif multimédia japonais Dumb Type, au sein duquel il intervient principalement en tant que musicien et crée le label CCI Recordings pour la distribution des enregistrements. Ses récentes installations qui empruntent entre autres à la logique mathématique (Spectra, V not equal to N) font cependant écho aux explorations annoncées par la fameuse exposition Les Immatériaux (Centre Beaubourg, J.-F. Lyotard, T.

visualltek Ikonikat (Ikonik Analysis Toolkit) Pourquoi demander à un public de dire ce qu’il voit dans une oeuvre, alors que qu’il peut simplement nous le montrer ? Fruit de recherches coordonnées par Mathias Blanc, de l’Institut de recherches historiques du Septentrion (CNRS/Université Lille3), l’application Ikonikat donne la possibilité à tout un chacun de désigner, grâce au dessin, ce qu’il pense pertinent dans une image. Et ce, sans disposer nécessairement d’un vocabulaire spécifique. Concrètement, le spectateur, profane ou expert, muni d’une tablette affichant une reproduction de l’oeuvre, souligne, entoure les éléments picturaux qui lui semblent essentiels ou qui l’interrogent.

Le Louvre l Conférences Initiation à l'histoire des arts Allez au contenu Allez au menu principal Allez à la recherche Change language Accessibilité Achetezvotre billet Miguel Chevalier Atlantide 2015 Impression numérique sur toile 20 m x 8 m Cabinet de Curiosités 2018 - Série des Radiolaires Sculptures par impression 3D, tableaux en résine Dacryl, pigments fluo et découpes laser Dimension variable Cabinet de Curiosités 2018 - Série des Coraux

La renaissance des musées au service de leurs visiteurs Visiter un musée (ou un monument) est de loin l'activité culturelle par excellence, d'après les Français interrogés par le Crédoc et le ministère de la Culture (détail ci-dessous). Et nul doute qu'ils seront une nouvelle fois des centaines de milliers à profiter de la Nuit européenne des musées de ce samedi, dans 1 300 lieux en France. Ces établissements ont beaucoup évolué depuis notamment une loi de 2002 qui impose un service des publics et depuis un développement des formations en médiation. En janvier 2015, les professionnels évoquaient un âge adulte de la médiation.

Light Cone - Rose LOWDER Nationalité péruvienne 1941, Miraflores, Lima, Pérou Colegio San Silvestre, Miraflores (1947-1958). Etudes en peinture/sculpture dans des ateliers d’artistes et des écoles d’art à Lima, Pérou (The Art Center (1951-1957), La Escuela de Bellas Artes (1957-1958) puis à Londres (Regent Street Polytechnic (1960-1962), Chelsea School of Art (1962-1964). Artiste-plasticienne tout en exerçant dans l’industrie du cinéma comme monteuse (Londres 1964-1972). RB JEROME BEL titre : The show must go on (2001) conception et mise en scène : Jérôme Belmusique : Leonard Bernstein, David Bowie, Nick Cave, Norman Gimbel and Charles Fox, J. Horner, W.Jennings, Mark Knopfler, John Lennon and Paul Mac Cartney, Louiguy, Galt Mac Dermott, George Michael, Erick "More" Morillo and M. Quashie, Edith Piaf, The Police et Hugh Padgham, Queen, Lionel Richie, A.Romero Monge and R. durée : 90 minutesnote : pièce inscrite au répertoire de la Deutsches Schauspielhaus de Hambourg (2000-2005) et au répertoire du ballet de l'Opéra de Lyon (2007-2014)Jérôme Bel a reçu un Bessie Award pour les représentations de The show must go on à New York en 2005.

Perspective l Actualité en histoire de l’art À travers la notion de multiples, ce numéro thématique traitera de la question de la reproductibilité technique. Si la formulation renvoie immanquablement à Walter Benjamin et son célèbre essai de 1936, ce volume n’entend pas se limiter à la reproduction de masse inhérente à l’avènement de la photographie et du cinéma, mais bien embrasser l’ensemble des moyens de reproduction dans une perspective transhistorique, des plus rudimentaires aux plus sophistiqués. Les contributions rassemblées ici s’intéressent ainsi tant aux techniques d’empreinte et de moulage et à leurs différents usages depuis l’Antiquité, qu’aux procédés photomécaniques du XIXe siècle, à la carte postale, en passant par l’estampe au siècle des Lumières, jusqu’aux livres et aux films d’artistes aujourd’hui.

A Orsay, un remake de « L'Origine du monde » Jeudi 29 mai, jour de l'Ascension du Christ, l'artiste luxembourgeoise Deborah de Robertis a écarté les cuisses devant le tableau de Gustave Courbet. LE MONDE | 05.06.2014 à 10h24 • Mis à jour le 05.06.2014 à 13h57 | Par Malik Teffahi-Richard Applaudissements d'une partie du public (pas mal de complices, à vrai dire). Une gardienne qui demande à la performeuse de se rhabiller. Une autre qui s'interpose devant la scène pour cacher l'artiste luxembourgeoise. Nous avons visité nus le Palais de Tokyo Tout de suite on sent les novices, ceux qui sont venus pour le "fun" et l'expérience et ceux qui ont fait ça toute leur vie. Dans le vestiaire prêté par le palais de Tokyo, alors que les vieux routiers militants du naturisme libre, membres de l’ANP ou de l’APNEL, font sauter chemises et shorts, deux amies sont encore hésitantes. Juliette et Rebecca ont une vingtaine d’années, et sont toutes les deux étudiantes, l’une en cinéma, l’autre en lettres modernes.

Archives Situationnistes l Blog (Cet éditorial a été publié dans le premier numéro de la revue Archives et documents situationnistes, sorti en 2001). D’emblée, le ton est donné. Cette revue marque une rupture. Rupture avec la volonté délibérée d’entretenir le silence. Post Human « Redéfinir la vie », Post Human, vingt ans après Outil de recherche aussi nécessaire aux études curatoriales qu’à l’histoire de l’art, le principe de reproductibilité des expositions a récemment privilégié un certain nombre d’expositions canoniques, lors d’expositions-archives ou littéralement identiques aux originales. Il en existe de moins connues ou moins analysées, qui ont pourtant elles aussi marqué leur temps et les esprits. Il faut citer à ce sujet « Post Human », une série d’expositions organisée par Jeffrey Deitch en 1992[1] qui examinait la manière dont l’art « figuratif[2] » réagissait aux avancées biotechnologiques et informatiques, ainsi qu’aux changements dans les comportements humains post-68, remettant fondamentalement en question les principes humanistes. Couverture du catalogue Post Human, design graphique Dan Friedman, 1992 © DESTE Foundation. Timur Si-Qin, Premier Machinic Funerary: Part I, 2014 (detail).

L'ange du bizarre. Le romantisme noir de Goya à Max Ernst La femme-Nature, idole de perversité Franz von StuckLe Baiser du Sphinx© Droits réservés Qu'il s'agisse de Salammbô, de Cléopâtre ou d'Eve, le mythe de la femme fatale obsède les artistes fin-de-siècle.

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