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Chinatown

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Les carnets de Phnom Penh En six heures et cinq films, c’est une minutieuse descente aux enfers khmers rouges que propose Arte. Au moment où la justice tente très péniblement de juger les dignitaires grabataires du régime qui a fait main basse sur le Cambodge entre avril 1975 et janvier 1979, ces documentaires livrent une galerie de portraits sur plus d’un demi-siècle. Le réalisateur Adrian Maben s’est intéressé à la prise du pouvoir des Khmers rouges et à leur prise en otage d'un pays (comme l'évacuation totale de Phnom Penh montrée en avril 1975), avant de sonder le mystère Pol Pot, alias «frère numéro 1», décédé en 1998, longuement interrogé ici par le journaliste Nate Thayer. Deux films explorent le rôle et la psychologie du camarade Douch, le directeur du centre de torture S-21 (longuement filmé notamment grâce aux archives des Vietnamiens qui ont pris la capitale le 7 janvier 1979) condamné à la prison à perpétuité en février.

Chine Il arrive que des titres de chapitres à eux-seuls vous disent tout un monde. C'est le cas pour ce livre étonnant, dont l'intitulé de la première partie ouvre même sur deux univers. « Pourquoi tant de croix dans vos musées ? ». Ursula Gauthier - Correspondante permanente à Pékin du Nouvel Observateur British Stories L'un des présentateurs vedettes du Today Program, l'émission vedette de BBC Radio 4 qui est à la fois adorée et crainte à Westminster, a fait une énorme bourde en direct en présentant les titres du journal de 10h. James Naughtie a en effet écorché le nom de famille de Jeremy Hunt, le ministre de la culture, en remplaçant la première lettre de son patronyme par un "C". Le résultat, dont je ne soupçonnais pas la gravité, est l'une des pires insultes de la langue anglaise, un terme qui désigne l'organe génitale féminin. "C'est un mot horrible qu'on n'emploie jamais, même contre son pire ennemi," m'a expliqué une amie anglaise.

La révolution de Jasmin ne s'exporte pas en Chine (pour le moment) (De Pékin) Les messages sur internet, relayés par les microblogs avaient appelé les Chinois à une « révolution de jasmin » et à manifester dans 13 villes dimanche à 14 heures. La police qui surveille la toile était sur le pied de guerre. La censure aussi qui a bloqué les médias étrangers ce lundi matin. Un message diffusé sur le site Boxun, basé aux USA, et relayé assez rapidement sur la toile chinoise, encourageait : « les travailleurs sans emploi et les victimes des expulsions forcées à participer à des manifestations, crier des slogans et réclamer la liberté, la démocratie et des réformes politiques pour mettre fin au parti unique ». Les manifestants étaient appelés à crier des slogans tels « nous voulons de la nourriture », « nous voulons du travail », « nous voulons des logements » « nous voulons la justice », mais aussi « vive la liberté » ou « vive la démocratie » – largement de quoi écoper d’un long séjour en prison en Chine.

Regards latinos Hier mardi 18 février, Leopoldo Lopez, coordinateur national du parti d’opposition Voluntad Popular, s’est rendu à la police. Un mandat d’arrêt contre lui avait été lancé jeudi 13 février notamment pour homicides et incitation à la violence. Le pouvoir chaviste l’accuse d’être responsable des violences et des trois morts par balles tombés lors de la manifestation de mercredi 12 février. Le leader de Voluntad Popular avait défié vendredi Nicolas Maduro, le président vénézuélien par tweeter : « Nicolas Maduro, tu as le courage de venir m'arrêter?

streetaholic Xenophilia (True Strange Stuff) Un oeil sur la Chine - Blog LeMonde.fr Ilovepolitics.info - la communication politique américaine vue d Du chinois… et du reste!

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