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Je dis NON au racisme!

Je dis NON au racisme!
Le racisme, la xénophobie et l'intolérance sont des problèmes importants dans toutes les sociétés. Chaque jour, chacune et chacun d'entre nous peut lutter contre les préjugés raciaux et les attitudes intolérantes. Devenez un champion de la défense des droits humains, luttez contre le racisme et défendez les droits de quelqu'un aujourd'hui. Dites à vos amis que le racisme est inacceptable! Dites-nous sur Twitter (#nonauracisme) comment vous luttez contre le racisme. Prenez position contre le racisme en participant à un groupe de défense des droits des minorités et aider ces groupes partout dans le monde grâce à notre plateforme de bénévolat virtuel. Lisez des points de vue différents de la lutte contre la discriminations racial à travers les témoignages d'auteurs d'autres races ou ethnicités plateforme de bénévolat virtuel. Faites le quizz pour tester vos connaissances sur les droits de l'homme. 50 ans de combat contre le racisme Related:  Définition & argumentaireracisme

L’antiracisme en un clic - #Racisme ordinaire - Francetv.fr Des caricatures de Christiane Taubira la comparant à un singe aux insultes proférées à l’encontre de la nouvelle Miss France « pas assez blanche », des amalgames contre les Roms aux propos islamophobes, l’expression du racisme sur Internet explose. Sur les forums et les réseaux sociaux, les inhibitions disparaissent et les pulsions se déchaînent. Pour que la toile ne devienne pas seulement un défouloir de la haine de l’Autre, des outils et des initiatives existent. Signaler et réagir Depuis 2009, le ministère de l’Intérieur a mis en place un service en ligne via son site internet-signalement.gouv.fr, permettant de signaler des contenus illicites, incluant les injures et diffamations racistes, l’incitation à la haine raciale ou provocation à la discrimination de personnes en raison de leurs origines. En 2012, la police nationale a ainsi reçu près de 10 000 signalements de contenus xénophobes via son site. La fin de l’impunité sur les réseaux sociaux ? Crédit photo : Millerand

Contrôles au faciès : la Cour de cassation condamne l’Etat Les opposants aux contrôles d’identité abusifs attendaient cette décision, espérant qu’elle fasse jurisprudence. La plus haute juridiction civile a tranché. Mercredi 8 novembre, la Cour de cassation a condamné l’Etat pour plusieurs cas de contrôle au faciès, estimant qu’il lui revenait de « démontrer l’absence de discrimination » quand une personne contrôlée dispose d’« éléments » qui peuvent laisser présumer l’existence d’un tel comportement. « C’est une grande victoire », a salué Félix de Belloy, l’avocat des treize plaignants. « On sort de plusieurs décennies de non-droit en matière de contrôle d’identité. Les policiers considéraient qu’ils pouvaient contrôler sans motif, c’est terminé. » Les deux parties s’étaient pourvues en cassation En 2013, treize hommes d’origine africaine ou nord-africaine avaient attaqué l’Etat, dénonçant des contrôles abusifs, parfois associés à des palpations, des insultes ou du tutoiement.

La race : parlons-en « Surtout n’en parlons pas » se promettait une famille bien élevée au moment de passer à table, au plus fort de l’affaire Dreyfus. Las ! Ils en parlaient pourtant et n’avaient pas assez de toutes leurs fourchettes pour s’embrocher, si l’on en croit les dessins satiriques de Caran d’Ache. La famille des sciences sociales a déjà, quant à elle, beaucoup parlé de la race (sur la Vie des idées, voir par exemple ici, ici, et ici). Un consensus domine en France : la race n’est pas une réalité biologique, mais sociale. La philosophe Magali Bessone fait pour sa part la proposition qu’on ne peut efficacement combattre les inégalités et discriminations raciales (et le racisme) sans utiliser la notion elle-même (voir la recension de Dominique Schnapper). Autrement dit, la race est bien restée une catégorie biologique, parce qu’elle a continué à être utilisée par les biologistes. Pour citer cet article : Thomas Grillot, « La race : parlons-en », La Vie des idées , 17 février 2014. Nota bene :

L’islamophobie et les mots du racisme Le terme d’« islamophobie » n’en finit pas de diviser et de faire polémique dans la société française. Son assimilation à un racisme se voit contestée au prétexte qu’il serait mal taillé et interdirait la libre critique d’une religion. En réalité, c’est là le lot de nombreuses expressions propres à la terminologie du racisme. L’approximation des mots « Antisémitisme » est mal conçu puisqu’il paraît englober tous les Sémites, quand chacun sait qu’il ne concerne que les Juifs. Le poids des réticences Le choix des termes n’est pas une question secondaire. La religion, vivier du racisme La confusion actuelle vient notamment de l’interpénétration ambiguë de deux champs, ceux du racisme et de la religion, dont chacun est à même de constater la simplicité d’entremêlement. La clarté de la loi Il est vrai que l’enseignement du mépris à l’égard des Juifs, pour reprendre le titre d’un ouvrage de Jules Isaac (1962), a transité par un antijudaïsme catéchisé. La prééminence de l’Homme Share and Enjoy

Racisme Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le racisme est une idéologie qui, partant du postulat de l'existence de races humaines[1],considère que certaines races sont intrinsèquement supérieures à d'autres[2]. Cette idéologie peut entraîner une attitude d'hostilité ou de sympathie systématique à l'égard d'une catégorie déterminée de personnes. L'hostilité peut générer chez la victime de la stigmatisation et de la discrimination qui à son tour va entraîner une auto-stigmatisation et une auto-discrimination proportionnelle[3]. Cette hostilité envers une autre appartenance culturelle et ethnique se traduit par des formes de xénophobie ou d'ethnocentrisme. Étymologie[modifier | modifier le code] Le pamphlétaire Gaston Mary, collaborateur à La Libre Parole, le journal d'Édouard Drumont, est la première personne connue à avoir utilisé le mot « raciste » en 1894[4],[5],[6], selon Charles Maurras[7]. Idéologies, perception et pratique[modifier | modifier le code] Focalisation Totalisation

Des affiches pour lutter contre le racisme et l'antisémitisme Issu d’un milieu bourgeois, Martin Luther King (1929-1968), fils de pasteur, suit les traces paternelles et devient pasteur baptiste dans la ville de Montgomery, dans l’Alabama. À cette date, la législation en place dans plusieurs États du Sud des États-Unis est officiellement ségrégationniste. Elle s’appuie sur la doctrine du « separate but equal » (séparés mais égaux) : un certain nombre de lieux publics sont interdits aux Afro-Américains et les établissements scolaires refusent la mixité. En décembre 1955, en soutien à Rosa Parks qui a été condamnée pour n’avoir pas cédé sa place à un Blanc dans un bus, Martin Luther King prend la tête de la contestation et appelle au boycott de la compagnie de bus. Ainsi débute pour Luther King une longue lutte pour mettre fin à la ségrégation raciale aux États-Unis. Le 2 juillet 1964, le Civil Rights Act déclare illégale la discrimination reposant sur la race, la couleur, la religion, le sexe ou l’origine sociale.

Prévenir et combattre le racisme et toutes les formes de discrimination Altérisation Du latin alter, autre. Processus de distinction d’un groupe considéré différent, qui passe par la mise en avant de différences. Voir aussi « différenciation ». Antisémitisme Terme apparu en Allemagne à la fin du XIXème siècle destiné à caractériser en terme « racial » et pseudo scientifique une hostilité aux Juifs, jusqu’alors perçus en termes religieux et culturels (antijudaïsme). Bouc émissaire (théorie) Se référant à un rite expiatoire, la théorie du bouc émissaire permet d’envisager que certains groupes contiennent la violence présente en leur sein en désignant un ennemi, intérieur ou extérieur. Colonisation Expansion d’une puissance hors de son domaine, en général dans des régions à fort potentiel agricole et, par extension, modalités d’installation des « colons » dans ces régions. Pour aller plus loin : G. Le peuplement de substitution (les individus originaires de la région sont refoulés ou exterminés). Commerce triangulaire Culture Acculturation Multiculturalisme Diaspora

L'internat d'excellence de Cachan, symbole de la « discrimination positive à la française », va fermer C'est un symbole de la « discrimination positive à la française » lancée par le gouvernement Sarkozy qui va fermer ses portes. L'internat d'excellence de Cachan, dans le Val-de-Marne, avait ouvert en 2010 pour accueillir des élèves méritants issus de milieux défavorisés. Il fermera finalement à la rentrée 2015, a annoncé mardi 20 mai le syndicat d'enseignants SNES, confirmant une information du Parisien. Lire notre analyse : Les internats d'excellence, une deuxième chance au coût prohibitif Aucun nouvel élève de 4e ne sera inscrit dans cet internat à la rentrée prochaine, tandis que les élèves passant en 3e termineront leur formation à la fin de l'année scolaire 2014-2015. « C'est la fin, les classes vont fermer », a déclaré Dominique Chauvin du SNES, évoquant entre autres des problèmes de financement pour cet établissement, qui accueille environ 90 élèves de 4e et 3e. Lire notre reportage (abonnés) : La "rage de réussir" des pensionnaires de l'internat d'excellence de Marly-le-Roi

Page thématique sur le racisme: présentation - Humanrights.ch Cette rubrique présente des informations sur la notion de racisme et sur la lutte contre le racisme à l’échelle nationale et internationale. Le racisme, c'est quoi ?DéfinitionsEchelon internationalConvention ONU contre racisme / Institutions internationales / ONG internationales Conférence examen Durban (Genève 2009)Contexte / Préparations / Conférence 2009 / Perspective SuisseRacisme en SuisseConstitution et lois / Projets / Services de consultation / Manuel juridique / Rapport pratique consultation Discrimination dans le monde du travailProtection juridique / Services de consultation

Ces zoos humains de la République coloniale, par Nicolas Bancel, Pascal Blanchard & Sandrine Lemaire (Le Monde diplomatique, août 2000) Les zoos humains, expositions ethnologiques ou villages nègres restent des sujets complexes à aborder pour des pays qui mettent en exergue l’égalité de tous les êtres humains. De fait, ces zoos, où des individus « exotiques » mêlés à des bêtes sauvages étaient montrés en spectacle derrière des grilles ou des enclos à un public avide de distraction, constituent la preuve la plus évidente du décalage existant entre discours et pratique au temps de l’édification des empires coloniaux. « Cannibales australiens mâles et femelles. La seule et unique colonie de cette race sauvage, étrange, défigurée et la plus brutale jamais attirée de l’intérieur des contrées sauvages. L’idée de promouvoir un spectacle zoologique mettant en scène des populations exotiques apparaît en parallèle dans plusieurs pays européens au cours des années 1870. Un million d’entrées payantes C’est alors par millions que les Français, de 1877 au début des années 30, vont à la rencontre de l’Autre.

racisme Idéologie fondée sur la croyance qu'il existe une hiérarchie entre les groupes humains, les « races » ; comportement inspiré par cette idéologie. Introduction Unanimement condamné depuis un demi-siècle, le racisme n'a pas pour autant disparu. Il s'est métamorphosé, au point d'être devenu, parfois, méconnaissable. De plus, il s'est, à bien des égards, planétarisé. Il s'est par là même banalisé, voire normalisé. Ce qu'il est convenu d'appeler le « racisme » n'a point cessé, en dépit de la banalisation du terme, liée à un suremploi croissant, de poser des problèmes de définition, et la lutte contre le racisme doit toujours et encore être examinée, non seulement quant à son efficacité, voire à son utilité sous certaines formes et dans certains contextes, mais aussi, et surtout, quant à ses fondements. Questions de définition. Bien entendu, le problème de l'interprétation de ces mobilisations contreracistes se pose, d'autant que celles-ci ont fait tradition, dans divers contextes nationaux.

La mécanique raciste Tout le monde ou presque se dit antiraciste. Pourtant, les discriminations se perpétuent dans des proportions massives, et en toute impunité. La mécanique raciste met à nu, chiffres à l’appui, cette remarquable contradiction. À rebours des discours complaisants faisant du racisme une simple pathologie individuelle ou un réflexe de « peur de l’autre » naturel et compréhensible, Pierre Tevanian souligne son caractère systémique et son enracinement dans notre culture. Soucieux de « connaître pour mieux combattre », il prend le racisme au sérieux et analyse ses ressorts logiques, esthétiques et éthiques, comme il est d’usage de le faire pour tout système philosophique – à ceci près qu’il s’agit ici de déconstruire une manière perverse de raisonner, de percevoir l’autre et de se concevoir soi-même. – la différenciation, c’est-à-dire la polarisation de la conscience sur une différence, fondée sur un critère choisi arbitrairement (la race, la culture, la religion, la couleur de peau…) ;

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