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Racisme

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Racisme anti-blanc ? L’histoire édifiante des martyrs de Perpignan. Au mois d’avril 2010, l’affaire de Perpignan relatée d’abord dans les médias main stream a fait ensuite la une de tous les grands médias d’extrême droite.

Racisme anti-blanc ? L’histoire édifiante des martyrs de Perpignan.

Elle y complète avantageusement le cas Marie Neige Sardin, égérie de ces mêmes médias, libraire au Bourget qui affirme être la cible de multiples agressions « racistes « de la part des « musulmans » selon elle tout puissants en Seine Saint Denis. Cette affaire de Perpignan a largement dépassé le cercle de la "fachosphère". Ce qui nous importe ici, c’est de nous interroger sur la méthode justement, qui consiste à partir de ces faits divers , de ces histoires individuelles pour lancer le débat . Nous nous sommes donc intéressés aux protagonistes de cette affaire, les « victimes » qui ont eu droit à la reprise de leurs propos dans les médias capitalistes et dans les médias d’extrême droite, alors que les accusés, eux n’ont jamais été interrogés sur leur version des faits. La version de la famille Picard est la suivante : Code noir. Composition[modifier | modifier le code] Ces recueils regroupent, autour de l'ordonnance ou édit de mars 1685, les lois, décisions royales, textes juridiques élaborés par le pouvoir royal pour les colonies et relatifs au gouvernement, à l'administration et à la condition des esclaves des pays du domaine colonial de la France entre 1685 et la fin de l'Ancien Régime.

Code noir

Évoluant dans le temps et pour chaque colonie, ces textes précisent le statut civil et pénal des esclaves, ainsi que les relations entre les esclaves et leurs maîtres. À travers ces recueils, se lisent les évolutions de la condition juridique des esclaves dans les colonies du royaume de France avant le décret d'abolition de l'esclavage du 4 février 1794.

Contenu du code noir (ordonnance de mars 1685)[modifier | modifier le code] [Dossier] De la comparaison entre élevage et esclavage. Voici le premier sujet d’un dossier qui étudiera les problèmes résidant dans certaines comparaisons faites communément dans la lutte antispéciste.

[Dossier] De la comparaison entre élevage et esclavage

Ces comparaisons font souvent un rapprochement avec l’esclavage ou encore la Shoah et parfois même avec les viols. Le sujet étudié dans cette série d’article porte, comme indiqué dans le titre, sur la comparaison entre élevage et esclavage. De nos jours, lorsque l’on aborde le sujet de l’esclavage, beaucoup de personnes ont tendance à vouloir diluer et minimiser sa violence et son impact.

Et concernant plus spécifiquement le sujet de la traite de noirs, cela prend des proportions bien plus dramatiques. Transmettre la mémoire de l’esclavage : un défi politique primordial – Partie 1. #Notananny : "On voudrait juste le bénéfice du doute" Parfois, les vidéos rigolotes qu’on partage sur Facebook lancent d’intéressants débats de société.

#Notananny : "On voudrait juste le bénéfice du doute"

C’est le cas de cette séquence ultra-partagée le week-end dernier : une vidéo de la BBC montrant Robert Keller, un professeur en pleine interview Skype, se faisant soudain interrompre par ses enfants en direct. Sa fille en pull jaune, puis son fils de 8 mois avançant gaiement dans un trotteur. Tandis que sa femme, à l’arrière plan, fait irruption, et tente de sauver la situation. Question : mais pourquoi tant de médias et d’internautes ont-ils supposé que la femme asiatique, présence furtive dans le cadre, était une nounou et pas l’épouse et mère desdits gamins ?

En l’occurrence, une personne dotée d’un nom, Jung Yu-kim, (eh oui !) Non, l'antiracisme politique n'est pas "racialiste" ! - expansive.info. « En dehors du fait que l’émergence d’un antiracisme politique constitue une menace pour la stabilité des rapports raciaux au sein du gauchisme , cette émergence a aussi fait de ce sujet une thématique politique incontournable.

Non, l'antiracisme politique n'est pas "racialiste" ! - expansive.info

Il faut donc s’y positionner le plus rapidement possible, quitte à donner la parole à n’importe qui, quitte à ce qu’il dise n’importe quoi, et d’ailleurs tant mieux : plus c’est polémique et plus ça buzze. Vous avez dit « race sociale » J’écris cet article pour enfoncer le clou.

Vous avez dit « race sociale »

Je suis blanc et communiste libertaire comme l’écrasante majorité des personnes qui ont attaqué ma camarade. Dire ceci est central pour ce qui va suivre. Je précise aussi que j’ai l’appui de ma camarade pour écrire ce texte : elle a jugé qu’il était bon de donner mon avis d’anar blanc sur le sujet, elle a relu ce texte et je le publie parce qu’il lui convient. L’anarchisme et l’extrême gauche en général ont un problème avec le concept de race. Pourquoi une nouvelle génération métissée ne mettra pas fin au racisme. Ce que le mot « racisé-e » exprime et ce qu’il masque. Dans un article paru en octobre 2014 à l’occasion de la sortie en salles aux Etats-Unis de Dear White People (texte traduit et publié sur ce site au moment de la sortie du film en France), Stephen Kearse pose d’entrée que « La plus grande puissance du racisme est sa capacité à simplifier radicalement le monde », à rendre celui-ci « univoque ».

Ce que le mot « racisé-e » exprime et ce qu’il masque

La fragilité blanche et la question de la confiance. Je suis formatrice sur les questions de justice raciale.

La fragilité blanche et la question de la confiance

Mon activité quotidienne consiste à mener des débats, essentiellement avec des groupes de personnes blanches, sur la race et le racisme. Un aspect important mais délicat de mon travail consiste à faire remarquer nos schémas racistes inévitables et souvent inconscients à des personnes blanches.