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Racisme, antisémitisme

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Muhammad Ali the Greatest (film 1974) - Film documentaire - L'essentiel. | Genre : cogneur.

Muhammad Ali the Greatest (film 1974) - Film documentaire - L'essentiel

En 1964, Cassius Clay obtient le titre de champion du monde des poids lourds en battant Sonny Liston. Fort en gueule, provocateur et rebelle, le boxeur défie l'Amérique blanche en devenant un symbole de la contestation noire... Peintre, photographe (auteur de New York, album illustre), William Klein s'est aussi distingué dans le cinéma en filmant « à bout portant ». Enflammé et puncheur, son documentaire est l'un des plus beaux sur la boxe, et sans doute le meilleur sur la légende de Muhammad Ali, alias Cassius Clay. Torrent d'images prises au grand-angle, collage de propos du boxeur, de journalistes, de leaders noirs, d'hommes de la rue, cette saga révèle l'itinéraire d'un champion d'exception et, à travers lui, les soubresauts politiques et idéologiques de l'Amérique et de l'Afrique. Éduquer contre le racisme et l'antisémitisme.

La prévention du racisme et de l’antisémitisme est une priorité gouvernementale.

Éduquer contre le racisme et l'antisémitisme

L’École, mobilisée autour des valeurs de la République, en fait un élément constitutif du Parcours citoyen, un moyen de mettre en œuvre l’engagement des élèves. La Semaine d’éducation contre les racismes est un dispositif qui mobilise l’ensemble de la communauté éducative autour d’actions à destination des élèves des écoles, des collèges et des lycées. Son objectif est de sensibiliser tous les élèves à la prévention de toutes les formes de racisme et de discrimination à travers de multiples manifestations dans et hors les établissements. L’absence de discrimination et l’égalité de tous les hommes, quelles que soient leurs origines, leurs conditions et leurs convictions, sont des valeurs fondamentales de la République française. En 2016, cette Semaine d’éducation contre le racisme coïncide avec la Semaine de la presse.

Éduquer contre le racisme et l'antisémitisme. De l'esclavage à Laurence Rossignol, une brève histoire du mot "nègre" Après la polémique suscitée par Laurence Rossignol en déclarant qu'il y avait "des nègres américains qui étaient pour l'esclavage", l'historien Pap NDiaye, pionnier des black studies, décrypte l'histoire d'un mot directement empreint de l'histoire de la traite négrière et la hiérarchie raciale.

De l'esclavage à Laurence Rossignol, une brève histoire du mot "nègre"

Ministre des Familles, de l'Enfance et des Droits des femmes, la socialiste Laurence Rossignol a déclaré ceci sur RMC au micro de Jean-Jacques Bourdin ce mercredi 30 mars : Il y a des femmes qui choisissent [le voile musulman], il y avait aussi des nègres américains qui étaient pour l’esclavage. Le contexte ? Une charge de la ministre contre les modes vestimentaires dans le giron de l'islam rigoriste, et notamment les nouvelles lignes de maillots de bain burkini et autres vêtements que Laurence Rossignol appelle "islamiques". Elle les juge"irresponsables" dans la mesure où il font "d’un certain point de vue la promotion de l’enfermement du corps des femmes" : Nègre : "Voir esclave" Écouter.

#TousUnisContreLaHaine. Si les réfugiés étaient Français, voici ce que ça donnerait. Une vidéo choc qui fait réfléchir. On ne peut pas comprendre les réfugiés sans ressentir la guerre.

Si les réfugiés étaient Français, voici ce que ça donnerait. Une vidéo choc qui fait réfléchir.

Or, en France, nous ne sommes plus très nombreux à savoir ce que signifie (réellement) un bombardement, l’exode, la peur, la faim ou le froid. Aussi, pour nous rafraîchir la mémoire, une ONG a imaginé un procédé créatif, percutant et redoutable. Cette ONG, c’est Save the children (sauver les enfants). Il y a deux ans, pour sensibiliser l’Europe au sort réservé aux jeunes Syriens, elle avait réalisé une vidéo qui délocalisait la guerre de Syrie… en Angleterre. On y suivait le quotidien d’une petite fille heureuse dont le destin était brutalement bouleversé par l’arrivée des combats. Cette vidéo a été vue plus de 55 millions de fois. Le premier épisode, posté le 5 mars 2014, se concluait par cette phrase : « Ce n’est pas parce que ça ne se passe pas ici que ça ne se passe pas. » Le voici : Le deuxième épisode a été posté il y a deux jours. . « Ça se passe ici. Pourvu qu’elles continuent d’êtres vues.