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Métadonnée

Métadonnée
Le catalogue de la bibliothèque universitaire de Graz en Autriche. La carte présentée renvoie à un texte de Schleimer qui a défini les règles de ce catalogue. Historique[modifier | modifier le code] Tous les établissements qui ont à gérer de l'information, bibliothèques, archives ou médiathèques ont déjà une longue pratique dans la codification du signalement ou des contenus des documents qu'ils manipulent. Avant l'arrivée de l'informatique on utilisait des fiches cartonnées dont la structure a été normalisée en 1954 sous la référence ISBD (International standard bibliographic description). Ces descriptions ont ensuite été informatisées sous la forme de notices bibliographiques et normalisées (voir par exemple les formats MARC en 1964 utilisant la norme ISO 2709 dont la conception a démarré en 1960). Les bibliothèques numériques ont eu recours aux mêmes dispositifs pour gérer et localiser des documents électroniques. Généralisation[modifier | modifier le code] Voir : Liste non exhaustive :

http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9tadonn%C3%A9e

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Big, open, linked data Pour avoir été le principal inventeur du World Wide Web (www), Tim Berners-Lee a reçu le prix Turing et se déclare prêt à le réinventer à l’aide de Solid (Social Linked Data) pour contrebalancer les Gafam (Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft). L’objectif de Solid est de créer de nouvelles normes et formats pour le Web en y intégrant des caractéristiques propres aux réseaux sociaux et à la gestion des données, destinées à mieux les contrôler pour les usagers. Collecter des données, les transmettre, la chose est entendue depuis la tablette d’argile de Mésopotamie (comptabilité, littérature, mathématiques), qui déjà maniait deux niveaux d’inscription dans le temps, le niveau « volatil » avec la tablette séchée réutilisable par réhydratation, et le niveau « pérenne » avec la tablette cuite non réinscriptible.

Attention aux métadonnées présentes dans vos photos ! - SOSPC Vous avez sûrement déjà entendu ce mot barbare sans y prêter attention plus que cela : métadonnée. Pour parler de l’étymologie du grec ancien il faut interpréter méta par supérieur. Supérieur dans le sens ” plus précis ” et je vais vous le démontrer, beaucoup d’infos sont enregistrées dans une simple photo, on peut en apprendre beaucoup sur vous… Haro sur le big-data Avec le big-data, la dictature probabiliste et la tyrannie statistique, fondées sur le grégarisme et le conformisme humains, engendrent une puissance manipulatoire qui mène à l'homogénéisation des comportements. Regardons, par exemple, l'influence réciproque du big-data et des systèmes de santé. Par ses achats et ses visites médicales, le big-data sait comment s'alimente Mr X et comment évolue sa santé. Le big-data vend ces informations aux compagnies d'assurances qui relèvent la prime de Mr X si son alimentation n'est pas conforme - pour son bien - et promettent une baisse de la prime si Mr X devient conforme. Ce procédé profite peut-être aux compagnies d'assurances, mais cela profite, dans tous les cas, à l'industrie agro-alimentaire dont les lobbies contrôlent les normes de "ce qui est bon pour la santé". Soit Mr X accepte d'entrer dans la catégorie des moutons et il se conforme aux statistiques et aux normes.

Dublin Core Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Le Dublin Core est un schéma de métadonnées générique qui permet de décrire des ressources numériques ou physiques et d’établir des relations avec d'autres ressources. Il comprend officiellement 15 éléments de description formels (titre, créateur, éditeur), thématiques (sujet, description, langue…) et relatifs à la propriété intellectuelle. Le Dublin Core fait l'objet de la norme internationale ISO 15836, disponible en anglais et en français depuis 2003. Il est employé par l'Organisation mondiale de la santé, ainsi que d'autres organisations intergouvernementales.

Big data : l’enjeu est moins la donnée personnelle que la disparition de la personne Cet article est publié en collaboration avec TheConversation. Un nouvel « Entretien autour de l’informatique ». Antoinette Rouvroy, chercheure au Fond National de la Recherche Scientifique Belge, rattachée au Centre de Recherche Information, Droit et Société de l’Université (CRIDS) de l’Université de Namur répond à nos questions sur les algorithmes et la gouvernementalité algorithmique. Elle nous conduit aux frontières du droit et de la philosophie. C’est une occasion exceptionnelle de nous interroger sur ces nouvelles dimensions de nos vies et du monde numérique.

Approches innovantes pour la presse ancienne numérisée : fouille et visualisation de données Cet article décrit comment une technique innovante de reconnaissance de mise en page (OLR, optical layout recognition) appliquée lors d’un grand projet européen de numérisation de la presse ancienne (Europeana Newspapers, 2012-2015) a été utilisée dans une expérience de fouille de données ciblant les métadonnées quantitatives de quotidiens numérisés. Les fichiers numériques de six titres de journaux français des collections de la BnF ont ainsi été analysés avec des techniques d’extraction et de visualisation de données démontrant des voies prometteuses pour la production de connaissances sur la presse ancienne, à l’usage des acteurs des bibliothèques numériques (gestionnaires de programmes de numérisation, conservateurs et médiateurs des collections de presse), ceux du champ des humanités numériques mais aussi le grand public utilisateur des bibliothèques numériques. Démonstration est également faite de l’intérêt de ces métadonnées quantitatives pour la recherche d’information. A. B.

Big Data : 5 exemples de son utilisation marketing Connu et pourtant ignoré, le Big Data est un peu le sous-marin du Web, très puissant, il offre une véritable force de frappe aux marques qui le mettent en oeuvre, et pourtant il reste plutôt caché, à tel point qu’on oublie à quel point il est décisif… Sujet on ne peut plus tendance, il reste néanmoins fantomatique lorsqu’il est question de connaître ses débouchés tellement ces derniers sont nombreux. Savoir que le Big Data c’est : “Beaucoup de données”, citation qui, il faut l’avouer, ne nous aide pas beaucoup dans la recherche pratique de ce qu’est ce phénomène dont tout le monde parle. D’où l’idée d’aborder 5 exemples d’utilisation du Big Data en marketing, tant ce secteur a intérêt à s’y intéresser et le fait depuis quelques années déjà. Pour revenir sur les métaphores un peu vides de sens : le Big Data, c’est un peu l’effet Canada Dry du Cloud.

Structure des articles scientifiques Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] L'article scientifique dans les sciences de la santé a évolué de la forme d'une lettre et d'un style purement descriptif au XVIIe siècle jusqu'à une structure très standardisée au XXe siècle, connue sous le nom de « introduction, methods, results, and discussion » (IMRAD)[2], ou IMRED en français. Le format IMRED a été adopté par un nombre de plus en plus grand de revues scientifiques depuis la première moitié du XXe siècle. Big data Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une visualisation des données créée par IBM[1] montre que les big data que Wikipedia modifie à l'aide du robot Pearle ont plus de signification lorsqu'elles sont mises en valeur par des couleurs et des localisations[2]. Croissance et Numérisation de la Capacité de Stockage Mondiale de L'information[3]. Dans ces nouveaux ordres de grandeur, la capture, le stockage, la recherche, le partage, l'analyse et la visualisation des données doivent être redéfinis.

La redocumentarisation, un défi pour les sciences de l’information 1Les sciences de l’information viennent de passer un cap. Elles s’étaient construites sur un ordre documentaire relativement stable durant le XXe siècle. Même s’il subissait une explosion quantitative, même s’il intégrait de nouveaux supports comme l’audiovisuel, sa structure générale suivait des règles et canaux qui étaient repérés. Les sciences de l’information pouvaient alors se construire sur un corpus de documents soumis à des contraintes connues et proposer des méthodes et des outils pour en tirer l’information utile comme le classement, l’indexation, des équations de recherche de plus en plus raffinées, la scientométrie, etc. pour les traditions issues de la bibliothéconomie, et d’autres encore, comme l’évaluation, l’élimination, le calendrier de conservation de son autre racine professionnelle, plus méconnue en France : l’archivistique.

Le probabilisme, nouveau dogme ? Fallait-il 16 milliards de dollars pour que la perplexité gagne enfin les consommateurs quant à leur utilisation non protégée des technologies de la communication et de l’information ? Le rachat de WhatsApp, application de messagerie instantanée, par Facebook a alerté les plus naïfs. WhatsApp, c’est plus de 450 millions d’utilisateurs, chaque mois. Et c’est par jour 19 milliards de contenus envoyés, et quasiment le double reçus. : Aide à la rédaction d'un article scientifique Par Jessica Durrieu, diététicienne, Master spécialité nutrition - alimentation Hôpital Haut-Lévêque - Avenue Magellan - 33604 Pessac et le comité scientifique de l'ADLF : Anne-Marie Adine, Monique Bicaïs, Dominique Combret, Brigitte Coudray, Virginie Grandjean, Françoise Mosser, Stéphanie Vidal, Malika Joëlle Wentz, Marie-Dominique Daniel-Lamazière. l'Agence Nationale d'Accréditation et d'Évaluation en Santé (ANAES) a listé dans la bibliographie scientifique différents types d'articles : revue de synthèse, article thérapeutique, article diagnostique, article de causalité, article de pronostic, article épidémiologique et des documents de recommandations ou conférence de consensus (1,2). Pour tous s'applique la démarche de nature scientifique. ils se doivent de répondre à des règles d'écriture et de présentation conventionnelles. 1- Pourquoi publier un article scientifique La publication peut avoir de multiples mobiles. 2 - La recherche bibliographique

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