Manipulation mentale Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Vue d'artiste de la coercition et du lavage de cerveau La manipulation mentale est l'ensemble des tentatives obscures ou occultes de fausser ou orienter la perception de la réalité d'un interlocuteur en usant d'un rapport de pouvoir, de séduction, de suggestion, de persuasion, de soumission non volontaire ou consentie. Quand ce pouvoir ne s’exerce pas sur un objet, mais se rapporte au contrôle psychique d’une personne, on parle de manipulation mentale[1]. Cette notion protéiforme est récente dans ses contours, dérivée de la théorie du « lavage de cerveau » encore mal connue. Notion controversée[modifier | modifier le code] Arnaud Esquerre, sociologue, pose les questions « Qu’est-ce qui distingue un consentement fabriqué d’un consentement non fabriqué par quelqu’un d’autre ? La manipulation mentale est un élément de compréhension essentiel de certaines dérives pour les uns, mais une thèse réfutée pour les autres[5]. En France
Psychologie de la personnalité Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La psychologie de la personnalité est une branche de la psychologie étudiant la personnalité et les différences individuelles. Ce domaine d'étude inclut, entre autres, la construction d'une théorie cohérente permettant de décrire, d'expliquer et de prédire le comportement, le processus psychologique et l'image d'un individu[1]. Références[modifier | modifier le code] ↑ (en) Bradberry, Travis. Bibliographie[modifier | modifier le code] Michel Hansenne, Psychologie de la personnalité, De Boeck, , 346 p.
Psychosociologie (revue) Psychologie cognitive et Neurosciences: Lafontaine et Lippé (2011). Le rôle du cortex préfrontal dans l'apprentissage Le cortex préfrontal est présent à toutes les étapes de la mémorisation (encodage, consolidation, rappel). Son rôle est à la fois d'orienter l'attention visuelle, de créer des liens entre les éléments mémorisés (donc apprendre) et l'inhibition des informations distrayantes. Lorsque le cortex préfrontal est atteint, les capacités d'apprentissage et de mémorisation sont fortement atteintes (limites dans la quantité de mémoire, difficultés à faire des liens, enregistrement d'informations non pertinentes, etc.), comme c'est le cas dans les troubles de l'attention et l'hyperactivité. Le cortex préfrontal : siège des fonctions éxécutives Avant de regarder le rôle de chaque zone du cortex préfrontal, il est important de distinguer ses différentes composantes. Le cortex préfrontal dorsolatéral : Il correspond aux aires 9 et 46 de Brodmann. Le cortex préfrontal et l'encodage On connait également le rôle des structures perirhinales et entorhinales sur l'intégration de la mémoire à long terme.
Émile Durkheim (1858-1917) - Le père de la sociologie En développant une science des faits sociaux, Émile Durkheim invente une nouvelle discipline, la sociologie, dont l’un des objectifs affirmés est de réformer la vie sociale « Il faut traiter les faits sociaux comme des choses » : il n’est pas si arbitraire, finalement, de retenir de l’œuvre d’Émile Durkheim ce précepte choc, tiré de son livre-manifeste Les Règles de la méthode sociologique (1895). Il dit bien en effet le coup de force qu’il réalise en imposant dans le monde intellectuel l’idée que nous devons être face à la société comme le physicien observant un phénomène inconnu. S’appuyer sur les sciences pour réformer la société D’ailleurs, si É. La sociologie pour revigorer les sciences sociales De ce mouvement sortiront des œuvres majeures, sans cesse rééditées. Halbwachs is back Maurice Halbwachs, un sociologue « retrouvé » ? À lire Maurice Halbwachs, sociologue retrouvé Marie Jaisson et Christian Baudelot (dir.), Rue d’Ulm, 2007. Xavier Molénat Quelques durkheimiens défricheurs
Expérience de Stanford L’expérience de Stanford (parfois surnommée effet Lucifer) est une étude de psychologie sociale menée par Philip Zimbardo en 1971 sur les effets de la situation carcérale, ayant eu un très grand écho social et médiatique. Elle fut réalisée avec des étudiants qui jouaient des rôles de gardiens et de prisonniers. Elle visait à étudier le comportement de personnes ordinaires dans un tel contexte et eut pour effet de montrer que c'était la situation plutôt que la personnalité autoritaire des participants qui était à l'origine de comportements parfois à l'opposé des valeurs professées par les participants avant le début de l'étude. Les prisonniers et les gardes se sont rapidement adaptés aux rôles qu'on leur avait assignés, dépassant les limites de ce qui avait été prévu et conduisant à des situations réellement dangereuses et psychologiquement dommageables. L'étude, financée par l'US Navy et l'US Marine Corps[1], visait à comprendre la raison des conflits dans leur système carcéral.
Psychologie La psychologie est la connaissance empirique ou intuitive des sentiments, des idées, des comportements d'une personne et des manières de penser, de sentir, d'agir qui caractérisent un individu ou un groupe. Il est commun de définir aussi la psychologie comme l'étude scientifique des comportements[2]. La psychologie fait partie des sciences humaines et sociales (SHS). Divisée en de nombreuses branches d'étude dont les théories et les méthodes de recherche varient grandement, la psychologie a des applications nombreuses. L'objet d'étude de la psychologie est un débat non clos depuis des siècles. Le développement de la psychologie a été influencé par des courants de pensée ou « écoles ». En France, avant la réforme LMD et la loi n° 85-772 du 25 juillet 1985[7], pour devenir psychologue, il était nécessaire d'obtenir un Diplôme d'Études Supérieures Spécialisées (DESS) en psychologie[8]. L'approche béhavioriste fut développée par John B. Traitement cognitif Vers la fin des années 1990, Ian J.
Qu'est-ce que la Neuroéducation ? •ParcoursduLoupBlanc.com Issue d’une rencontre entre le dr. Pierre Huc, Neurologue, Psychiatre et Brigitte Vincent-Smith, Professeur de Didactique des langues étrangères/secondes (Ottawa, Canada), l’Institut de Neurodidactique International promeut la compréhension des neurosciences pour permettre d’appliquer ses découvertes à l’apprentissage. Cet enjeu nous passionne, évidemment membre de l’INI, nous nous sommes rendues à Collioure au dernier symposium du 16 et 17 mai 2014 qui a largement tenu ses promesses ! Sciences et conscience de l’homme Profondément touchées par l’esprit de partage des intervenants, nous revenons dynamisées par ces échanges, la qualité des exposés, la volonté de proposer des solutions, la disponibilité pour chercher, l’écoute et l’accessibilité de ce qu’on a l’habitude de qualifier de « grands pontes », heureux de se retrouver ensemble sous le soleil de Collioure. Congrès neuroéducation 2014 Collioure | Dr P.Huc, Pr J.Thomas, B.Vincent-Smith, J.Touchon, D.Smith, S.Slimi ©INI – Pr. ©neurosup
Psycho-Wiki - Psycho Dissonance cognitive Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En psychologie sociale, la dissonance cognitive ou distorsion cognitive au Québec[1] est la simultanéité de cognitions qui entraînent un inconfort mental en raison de leur caractère inconciliable ; ou l'expérience d'une contradiction entre une cognition et une action. Dans sa théorie de la dissonance cognitive, Leon Festinger étudie les stratégies de réduction de la tension psychologique induite et de maintien de leur cohérence personnelle, y compris des stratégies d'évitement des circonstances identifiées comme source de dissonance. Relations entre les cognitions[modifier | modifier le code] Trois sortes de relations sont possibles entre deux cognitions ou entre une cognition et un comportement[1] : Ampleur de la dissonance[modifier | modifier le code] L'ampleur de la dissonance cognitive ou de la tension subie dépend de deux facteurs : L'effort pour réduire la dissonance est proportionnel à son ampleur[1]. Exemples[modifier | modifier le code]
Psychologie-sociale.org JOHN CAGE Dossiers pédagogiques Spectacles vivants Monographies / Compositeurs d'aujourd'hui John Cage, D’un art à l’autrePar Norbert Godon, plasticien- Le refus de la spécialisation - L’art et la théorie - Pratiques de la distanciation - L’humour comme méthode - Le principe d’indifférence - Contre l’esprit de système- L’unique et le multiple- Déplacer les pratiques artistiques- Pratique du hasard- Le non-agir- L’éloge de l’ennui- L’art et la vie confondus- A l’origine du mouvement Fluxus- Faire œuvre de l’environnement John Cage, le courage de tout oser Par Jacques Amblard, musicologue- « Un infiltré » dans le monde musical ?- 4’33’’ Bibliographie Actualité John Cage John Cage, d’un art À l’autre Par Norbert Godon, plasticien Le refus de la spÉcialisation Cage, un artiste qui se veut « sans vocation » L’art et la thÉorie Superposer les niveaux d’écoute : 45’ pour parleur (1954) Le texte est morcelé et paramétré en fonction du temps de la pièce. Le Discours sur rien (1949) Pratiques de la distanciation
Quelques éléments de psychologie cognitive pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissages Cette captation vidéo a été réalisée le 3 juin 2015 lors d'une journée de formation intitulée : Les dispositifs, la classe, l’établissement ; quels soutiens à l’engagement des élèves ? Cette journée a été l’occasion de réfléchir aux enjeux d’une aide apportée de manière cohérente et ajustée aux besoins des élèves, dans un contexte marqué par la controverse autour de l’insuffisante efficacité des dispositifs d’accompagnement des élèves. Quels pas de côté ces dispositifs font-ils faire aux enseignants, aux praticiens, afin de mieux comprendre la nature des difficultés des élèves ? La réflexion s'est appuyée notamment sur le travail d’une équipe de recherche qui a étudié durant deux années les formes de soutien proposées aux élèves en difficulté dans des configurations locales très différentes. Écouter les enregistrements de la journée Une approche en quatre niveaux pour aider les professionnels à concevoir des situations d'apprentissage. player1 Le processus attentionnel (De 4min24 à 7min)
Plasticité cérébrale : 4 règles d’or | Classe maternelle, Gennevilliers Souvenons-nous. Lors des six premières années de sa vie, l’être humain possède un mécanisme cérébral que l’on pourrait dire absorbant, le dotant du pouvoir d’incarner l’environnement sans effort, en réalisant pour chaque expérience vécue, un nombre impressionnant de connexions neuronales. Et, parmi les centaines de connexions qu’il crée par seconde, le cerveau ne conserve que les connexions les plus fréquemment utilisées. C’est ce que l’on appelle l’élagage synaptique, c’est ainsi que l’être humain apprend et se spécialise. Puisque le cerveau ne conserve que les connexions les plus fréquemment utilisées, par conséquent, ce sont les expériences quotidiennes de l’enfant qui s’encodent et structurent directement l’architecture de son cerveau. Une étude saisissante, menée en 1995, illustre la puissance de ce phénomène. Quels sont nos comportements, nos mécanismes quotidiens ? Une démonstration claire, c’est à dire silencieuse et séquencée, permet d’optimiser la transmission des gestes.