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ORIENT - Références

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« Arts de l'Islam » au Louvre : de la confusion à la manipulation. Depuis septembre 2012, le musée du Louvre a étendu sa section intitulée « Les arts de l’Islam », qui date, à l’origine, du XIXe siècle. Cette dernière extension a été financée, au moins en partie, par la fondation Alwaleed Bin Talal, du nom du prince et homme d’affaires saoudien du même nom. L’extension offre un trésor d’objets d’art, d’outils divers, y compris à usage scientifique, mais aussi des présentations, notamment sonores, d’œuvres littéraires. L’origine de ces objets est très variée, du Maghreb ou de l’Espagne jusqu’à l’Inde en passant par la Turquie et l’Iran. Pour quiconque s’intéresse à l’art et la culture de cette immense aire géographique, l’ensemble de ces objets constitue un trésor de connaissance.

Le musée fait le choix de présenter cette diversité de provenances sous le signe de l’islam. Effectivement, l’islam représente un point commun à tous ces pays, pendant au moins une certaine partie de leurs histoires respectives. Mais pourquoi ce choix ? Lyon et les arts de l'Islam. Notables lyonnais, ces amateurs appartiennent au milieu de la soie ou de la finance. Vers le milieu du siècle, ils quittent progressivement l’ère de la curiosité et constituent désormais de véritables collections d’art décoratif. Les objets sont alors rassemblés par techniques : céramique, orfèvrerie, ivoire, textile, etc. La plupart de ces amateurs se réunissent chez le peintre et graveur orientaliste lyonnais Georges Duseigneur, devenu marchand d’art vers 1880. Il partage avec son frère Raoul, la passion des arts orientaux.

Tous deux accompagnent les choix des collectionneurs, notamment parisiens, comme la marquise Arconati-Visconti. L’une des collections les plus riches de la ville est alors celle du banquier et homme politique Édouard Aynard. Monde islamique - Voyage à travers les arts de l'Islam. L’islam s’est diffusé de l’Atlantique aux frontières de la Chine, dans le sillage des cavaliers arabes.

Sur cet immense territoire ont éclos des dynasties concurrentes et des cultures d’une grande diversité, pétries d’influences extérieures. Nous vous invitons à un voyage en terre d’Islam en redécouvrant ces différentes dynasties à travers leur expression artistique la plus caractéristique, depuis le travail du cristal de roche jusqu’à l'architecture. Isabelle Grégor La mosaïque : les Omeyyades (661-750 – Syrie et Proche-Orient) À la mort du prophète Mahomet, en 632, les cavaliers arabes occupent sans coup férir la Syrie et le Proche-Orient, possessions de l’empereur byzantin. Les habitants de ces provinces, des chrétiens qui parlent une langue proche de l’arabe, n’opposent guère de résistance. Il est vrai qu’ils perçoivent dans un premier temps l’islam comme une nouvelle variante du christianisme... La céramique : les Abbassides (750-1258 – Irak, Iran, Égypte) Les sciences et les arts. Artsislam(1) La signification des motifs à fleurs sur les armes et armures iraniennes.

Introduction La prolifération des motifs à fleurs sur les armes et armures iraniennes trouve ses racines dans la période antique, et nous observons cette prolifération jusqu’à la période qâdjâre. Est-il possible d’identifier les motifs à fleurs récurrents sur les armes iraniennes et armures ? En outre, est-il important de comprendre leurs significations et les informations qu’ils transmettent ? En premier lieu, il faut souligner que la représentation de fleurs sur les armes et armures iraniennes est symbolique, on y retrouve des références cérémonielles, religieuses et décoratives, très répandues parmi les populations de l’ancien Moyen-Orient et déjà présentes avant la création de l’Empire perse établi par Cyrus le Grand. Cet intérêt pour les motifs à fleurs des peuples antiques a continué à se développer chez les Perses anciens pour finalement s’intensifier lors de la période moderne. Origine Les revêtements muraux de Ninive à l’époque d’Assurnazirpal (IXe siècle av.

Buteh de mâhi.

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Calligraphie. Mode - ref. MODE. Culture - Pays.