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Le style de direction consultatif chez fenwick

Le style de direction consultatif chez fenwick
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Thierry Marx : "La violence ne fait pas partie de la culture de la cuisine" Dans les fauteuils rouges emblématiques de Complément d'enquête, pour le premier entretien de la saison, c'est le chef étoilé du Sur Mesure, le restaurant du Mandarin oriental, à Paris, qui fait face à Nicolas Poincaré. Thierry Marx est venu réagir à notre enquête sur les violences en cuisine et donner son sentiment sur un phénomène de moins en moins étouffé... Impressionnantes, les violences en cuisine ! La violence ferait partie de la culture de la cuisine, à tous les niveaux ? Sans parler des coups de genou, brûlures... la violence verbale est-elle acceptable ? D'où ce paradoxe : dans un univers de luxe absolu, à quelques mètres des clients qui bénéficient d'un service parfait, ça trime, ça souffre... Sexisme, machisme existent aussi ? Ledoyen, Robuchon... les plaintes se multiplient depuis un an. La pression qui cause toute cette peur, c'est aussi l'étoile : si on la perd, on perd une partie considérable de son chiffre d'affaires...

"Complément d'enquête" : Violences en cuisine, la confession d'un chef Cadences infernales, insultes, climat de tension extrême... la vie derrière les fourneaux des grands restaurants n'est pas forcément de tout repos. Si les victimes commencent à parler, l'omerta reste difficile à briser, surtout chez les chefs. Un seul a accepté de rencontrer l'équipe de Complément d'enquête. Jean-Marie Lepeltier tient un restaurant gastronomique à Angers. "Oui, oui, j'étais gueulard, impulsif. Pression du service, sentiment de toute-puissance... Autre exemple ? Par la suite, devenir patron à son tour a obligé Jean-Marie à modifier ses méthodes. A Montauban, Poult se revendique biscuiterie «libérée» C'est l'une de ces rares entreprises qui se revendiquent "libérées": le groupe français Poult, fabricant de biscuits sucrés pour la grande distribution, mise sur "l'autonomie et la responsabilité" de ses salariés, depuis sept ans à Montauban. "L'homme est au coeur du système", affirme un schéma placardé dès l'entrée de l'usine du Tarn-et-Garonne, d'où sortent chaque jour 120 tonnes de barquettes, nappés chocolat ou mini-tartelettes. Sur les neuf lignes de production qui tournent 24 heures sur 24, les ouvriers voient aussi défiler toutes sortes de chercheurs et d'entrepreneurs, curieux d'étudier le "système participatif d'amélioration continue" appliqué depuis 2007. "Pour résumer, on ne considère plus les ouvriers comme des exécutants, ils décident eux-mêmes ce qu'ils doivent faire sur les lignes, sans attendre un chef", commente Sylvain Pineau, 35 ans, rebaptisé "animateur", plutôt que "directeur" d'une des quatre unités de production. - "plus de grève" -

6 styles de leadership et leurs effets | Kolibri coaching - Business coaching - Accompagnement à la réussite Le leadership, ce qui fait un bon leader, c’est un ensemble de qualités personnelles et de compétences relationnelles. Nous avons vu celles répertoriées par Goleman, Boyatzis et McKee dans l’article Leadership : quelles sont vos qualités de leader. Restons avec Daniel Goleman pour voir quels styles de leadership il a identifiés, et décrits dans la Harvard Business Review*. Cet article inaugure une série sur le Leadership. Voici ces 6 styles de leadership, 6 approches différentes : Leader Directif (Coercive) Leader Chef de file (Pacesetting) Leader Visionnaire (Authoritative) Leader Collaboratif (Affiliative) Leader Participatif (Democratic) Leader « Coach » (Coaching) Précisons d’emblée que ces styles ne sont pas des types exclusifs, mais au contraire des tendances à combiner pour être un bon leader. Leader Directif (Coercive) C’est le style le plus autoritaire. Le leader directif laisse peu de place aux initiatives : il impose les actions à mener, sans expliquer la vision globale. A vous !

La grille de Blake et Mouton La grille de Blake et Mouton est un outil simple pour comprendre les caractéristiques, et surtout les conséquences, de notre style d'encadrement. Le manager autocratique organise le travail en solitaire, le distribue, surveille l'exécution et contrôle les résultats. Le manager démocratique au contraire aide ses subordonnées à s'organiser et n'exerce qu'un faible degré de pression hiérarchique. pour des tâches simples et répétitives (indsutrielles ou administratives), il paraît en effet obtenir les meilleurs résultats. mais cette opposition, dans beaucoup d'autres types d'activité, s'avère à l'observation un peu trop manichéenne : certains managers très dirigistes obtiennent d'excellents résultats, au contraire de certains autres, pourtant très participatifs. Le modèle oppose donc trop schématiquement le style "centré sur les relations" et le style "centré sur la production". Cette grille permet de définir cinq styles de comportement (susceptibles de variations et de nuances).

Leadership appréciatif Initialement introduit par Srivastva et Cooperrider (1987), le leadership appréciatif est basé sur les fondamentaux du constructivisme social. Le leadership appréciatif se concentre à comprendre, à apprendre et à s'appuyer sur ce qui fonctionne plutôt que ce qui ne va pas dans le milieu du travail. Il apprend à chaque individu dans la société à être des leaders, à s'apprécier comme leaders dirigeants, à explorer les conditions qui donnent cette idée et cette énergie pour imaginer son avenir en tant que leader. Le coeur du leadership appréciatif En 2010, Diana Whitney, Amanda Trosten-Bloom et Kae Rader ont élaboré une stratégie de leadership appréciatif qui tourne autour de 5 énergies potentielles et positives pour atteindre des résultats performants : Le questionnement : poser des questions de manière positive avec sagesse. Le questionnement appréciatif et le dialogue sont à la base du leadership appréciatif Le leadership appréciatif est omniprésent en chacun de nous Bibliographie 1977, G.

Grille de BLAKE et MOUTON Le modèle de Blake et Mouton est un outil qui permet de cartographier rapidement et cerner les styles génériques de management. Cette matrice s'articule autour de 2 axes : l'intérêt pour la production (ou les résultats) en abscisses, et l’intérêt pour l'élément humain en ordonnées. La grille est découpée en 9 valeurs pour chaque axe. Le résultat de cette analyse est la mise en valeur de 5 styles prédominants de manager (le premier chiffre donne la valeur pour le degré d'orientation "production", le second pour l'humain) : (1-1) "Laisser faire" : le partisan du management laxiste. Ce profil évite toute situation difficile (conflits, confrontations...). (1-9) "Social" : les collaborateurs sont au centre de ses préoccupations. (5-5) "Intermédiaire" : la voie de l'équilibre entre orientation vers l'humain (prise en compte des besoins psychologiques) et résultats. (9-1) "Centré sur la tâche" : un style autoritaire centré sur la production au détriment de la prise en compte de l'humain. Keyros

Style de direction - LIKERT Introduction : Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1980) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] I – Les styles de direction A – Les styles de direction selon Rensis Likert Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1981) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] Il cherche à comprendre dans quelle mesure la nature des relations entre supérieurs et subordonnés peut conduire à des résultats très différents dans un contexte organisationnel identique. Les résultats de ses recherches sont publiés en 1961 dans un ouvrage intitulé « Le gouvernement participatif de l’entreprise ». A partir d’enquêtes auprès de directeurs de grandes compagnies d’assurances, il observe que ceux qui ont les résultats les plus médiocres présentent des traits communs. 1 – Le manager autoritaire La crise ?

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