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Video : le style de direction autoritaire chez carglass

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Les styles de leadership selon Hersey et Blanchard Selon Paul Hersey et Ken Blanchard, les créateurs du leadership situationnel (ou management situationnel), il n’existe pas de « bon » style de leadership : un leader doit adopter le style le plus adapté à la situation. Paul Hersey et Kenneth Blanchard ont développé la théorie dite du leadership situationnel (ou management situationnel), selon laquelle il n’existe pas de « bon » style de leadership : un leader doit adopter le style le plus adapté à la situation. L’objectif d’un leader consiste à accroître progressivement le niveau de maturité de ses collaborateurs afin de développer leur autonomie dans le travail. L’autonomie s’entend ici comme le croisement de la compétence (le collaborateur sait ou ne sait pas faire) et de la motivation (le collaborateur veut ou ne veut pas faire). Selon Paul Hersey et Ken Blanchard, il n’existe pas de « bon » style de leadership : un leader doit adopter le style le plus adapté à la situation. L’autonomie d’une personne est composée de : Style 1 - Directif

Pourquoi Steve Jobs divise autant? «C'est un peu comme quand John Lennon est mort, ou JFK, ou peut-être Martin Luther King: c'est comme un grand trou qu'on ressent». Ce sont les mots de Steve Wozniak, le co-fondateur d'Apple, à la mort de son ami Steve Jobs. C’est aussi ce que le monde des nouvelles technologies et les fans d’Apple expriment depuis mercredi, date du décès. Mais Steve Jobs a longtemps suscité les divisions autour de sa personne, autant que les compliments et les élégies. Dans les années 70, Steve Jobs, qui travaille un temps pour Atari avant de fonder Apple avec Wozniak, en 1976, passe pour un arrogant effréné. Son premier joujou en 1979 le «PC Lisa», est un échec financier, et le premier Macintosh envisagé (par Jef Raskin) ne le séduit pas: il veut l’annuler. Selon Andy Hertzfeld, salarié d’Apple des premières heures, «beaucoup d’employés avaient peur de Steve Jobs, à cause de ses crises de colères, de sa propension à dire aux gens exactement ce qu’il pensait, et qui n’était que rarement positif»… Opacité

A Montauban, Poult se revendique biscuiterie «libérée» C'est l'une de ces rares entreprises qui se revendiquent "libérées": le groupe français Poult, fabricant de biscuits sucrés pour la grande distribution, mise sur "l'autonomie et la responsabilité" de ses salariés, depuis sept ans à Montauban. "L'homme est au coeur du système", affirme un schéma placardé dès l'entrée de l'usine du Tarn-et-Garonne, d'où sortent chaque jour 120 tonnes de barquettes, nappés chocolat ou mini-tartelettes. Sur les neuf lignes de production qui tournent 24 heures sur 24, les ouvriers voient aussi défiler toutes sortes de chercheurs et d'entrepreneurs, curieux d'étudier le "système participatif d'amélioration continue" appliqué depuis 2007. "Pour résumer, on ne considère plus les ouvriers comme des exécutants, ils décident eux-mêmes ce qu'ils doivent faire sur les lignes, sans attendre un chef", commente Sylvain Pineau, 35 ans, rebaptisé "animateur", plutôt que "directeur" d'une des quatre unités de production. - "plus de grève" -

Ed Freeman et la théorie des parties prenantes | Spidermak Origines de la RSE La RSE s’est développée aux Etats-Unis dans un premier temps, du moins dans son approche conceptuelle. Pourquoi, me direz-vous, a-t-elle trouvé de bon goût de naître au pays de l’Oncle Sam ?Deux raisons culturelles permettent de répondre à cette question de l’éclosion de pratiques RSE à la fin du XIXème siècle aux Etats-Unis : La religion est très présente chez les dirigeants d’entreprise et encourage les actions philanthropiques, notamment au travers de fondations (Rockfeller, Carnegie et Ford sont les exemples le splus illustres de ce mouvement, poursuivi aujourd’hui par des personnalités come Bill Gates ou Warren Buffet)Il existe une méfiance envers l’Etat. Positionnement de Freeman Ed Freeman s’inscrit dans cette logique libertarienne de méfiance envers l’Etat. Freeman est un philosophe. Spécificités de la théorie des parties prenantes La vision de Freeman est révolutionnaire, car elle permet d’avoir un regard complétement différent sur l’entreprise. Postérité

Les parties prenantes | Infos Entrepreneur Les parties prenantes, Qui sont-elles? La Responsabilté Socitétale de l’Entreprise implique la prise en compte de toutes les parties prenantes dans sa politique. Il existe deux types de parties prenantes, internes et externes. Le dégré d’implication d’une entreprise pour ses parties prenantes va déterminer la crédibilité de ses engagements sociaux et environnementaux. Ainsi, lors d‘une création d’entreprise, il est indispensable de prendre en compte les éléments suivants: Les parties prenantes internes Les Salariés Les salariés sont les premiers concernés par la mise en place de la RSE au sein de leur entreprise. De plus, les salariés sont aussi acteurs de RSE de leur entreprise lorsque ceux-ci bénéficient de formations liées au développement durable et à la stratégie RSE établie. Les Syndicats Les parties prenantes externes Les Fournisseurs Les Clients Les Actionnaires Les ONG Les ONG sont aussi acteurs de RSE car elles sont l’intermédiaires de dénonciations. Les Communautés locales

Parties prenantes de l'entreprise, acteurs internes et externes Dans le cadre de l'analyse de l'environnement de l'entreprise, il ne faut pas oublier les "stakeholders", terme cher à nos amis anglo-saxons, qui signifie "parties prenantes de l'entreprise". La société est de fait plongée dans un système où elle doit rendre des comptes non seulement à ses actionnaires, mais aussi à l'ensemble des autres acteurs qui gravitent autour d'elle et qui possèdent un intérêt dans son fonctionnement et ses résultats. Elle est sous influence de cet environnement hétérogène. Il est de coutume de distinguer 2 profils : les acteurs internes d'un côté, qui sont les dirigeants et les salariés, les syndicats ; de l'autre les acteurs externes : les clients, les fournisseurs bien sûr, mais aussi les actionnaires, les créanciers et autres institutionnels. En regardant de plus près les motivations de ce petit monde, on comprend très vite que leurs intérêts divergent. A lire sur internet Articles Votre entreprise et ses parties prenantes capitalsocial.fr

Partie prenante Une partie prenante (en anglais : stakeholder) est un acteur, individuel ou collectif (groupe ou organisation), activement ou passivement concerné par une décision ou un projet ; c'est-à-dire dont les intérêts peuvent être affectés positivement ou négativement à la suite de son exécution (ou de sa non-exécution). La notion de partie prenante est centrale dans les questions de développement durable, de responsabilité sociétale, de démocratie participative ainsi que dans certaines normes (écocertification…). On retrouve également cette notion dans les démarches d'architecture d'entreprise. L'identification des parties prenantes et le dialogue avec celles-ci font l'objet de la cinquième partie de la norme ISO 26000 sur la responsabilité sociétale des organisations, parue en 2010. Domaines d'application[modifier | modifier le code] Sciences politiques[modifier | modifier le code] Économie/management[modifier | modifier le code] Citons par exemple : Origines[modifier | modifier le code] R.

Les styles de direction - Qu'est-ce qu'un style de direction ? Le style de direction correspond à la manière d'exercer le pouvoir et la façon pour un dirigeant d'établir les relations avec ses subordonnés. Le style de direction est contingent car il dépend de nombreux facteurs tels que : la personnalité et les caractéristiques du dirigeant, la taille de l'entreprise, la propriété de l'entreprise, l'environnement de l'entreprise… Quels sont les différents styles de direction dans l'entreprise ? L’analyse de Rensis Likert (1903 – 1981) permet de distinguer quatre styles de commandement : autoritaire, paternaliste, consultatif et participatif. Le style autoritaire : l'autorité du dirigeant est fondée sur la crainte et le respect des ordres reçus.

Rensis Likert Rensis Likert (né le 5 août 1903 - décédé le 3 septembre 1981) était un psychologue américain connu pour ses recherches sur les styles de leadership et sur l'échelle (éponyme) de Likert. Il a reçu son B.A. en sociologie de l'Université du Michigan en 1926. En 1932, il a obtenu un doctorat en psychologie de l'Université de Columbia. Rensis Likert fut l'un des fondateurs de "Michigan Institute for Social Research" dont il fut le directeur depuis sa création en 1946 jusqu'en 1970, quand il s'est retiré. Durant son mandat, Rensis Likert a consacré une attention particulière à la recherche sur les organisations. Pendant les années 1960 et 1970, ses livres sur la théorie du management ont été extrêmement populaires au Japon. L'échelle de Likert Dans sa thèse, en 1932, Rensis Likert a conçu une échelle d'enquête (échelle de Likert) pour mesurer les attitudes intégrant plus d'informations que les méthodes concurrentes. Théorie des 4 styles de leadership Publications Littérature secondaire

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