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La stabilité émotionnelle : une compétence clé des managers

La stabilité émotionnelle : une compétence clé des managers
« J’ai été nommé manager car j’avais une solide expertise technique. Je pensais que cela suffirait à encadrer une équipe », nous raconte Charles, responsable juridique au sein d’un groupe bancaire. Penser que la seule compétence technique puisse suffire à manager une équipe est une erreur communément partagée par les directions d’entreprise. Dans les faits, un bon commercial fait rarement un bon responsable des ventes. Pour combler cette lacune, certaines directions proposent à leurs cadres nouvellement nommés des formations aux techniques de management : communication, conduite d’entretien, animation de réunions, etc. Quid des anciens ? Les compétences acquises s’avèrent peu utiles, quand le manager n’est pas stable émotionnellement. « Six mois après ma nomination, j’ai du mettre en œuvre un changement d’organisation du travail au sein de mon service. Alors que faire pour donner à nos cadres cette compétence essentielle ? Etre stable. Se former. S’entraîner régulièrement.

http://lecercle.lesechos.fr/entreprises-marches/management/rh/221139307/stabilite-emotionnelle-competence-cle-managers

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WebJT 4 - Faut-il ré-inventer le leadership ? (Home Page) sur La WebTV du Management Occasion de faire le point sur les tendances de l’activité, mais aussi d’échanger sur les problématiques de recrutement, comportement clients ou encore de gestion des cabinets, notre petit déjeuner de rentrée se déroulera mercredi 5 octobre 2016. Pour en savoir plus sur les horaires et le lieu de déroulement, ou pour s’inscrire, les adhérents doivent Lire la suite Participez à une rencontre privilégiée entre dirigeants de cabinets de Conseil ! Bien plus qu’un (simple) bilan des actions menées, au nom de la Profession du Consulting, et de celles en préparation pour l’année à venir, l’AG de Consult’in France est également une opportunité pour les adhérents de se rencontrer et d’échanger entre pairs. En 2016, Lire la suite

Le slow management, au service d'une meilleure productivité - Cinq jours à la une - Société Séance de yoga pendant la pause déjeuner pour quelques salariés de Patagonia © Patagonia Le franco-américain Yvon Chouinard détient un MBA : un "management by absence". Il estime qu’il faut laisser ses salariés aller surfer. Il faut leur faire confiance, s’ils adhèrent à la philosophie de l’entreprise, cela suffit. Cet alpiniste est devenu patron malgré lui, quand il a inventé son matériel puis ses vêtements de montagne. Aujourd’hui, la marque n’est peut-être pas la plus connue dans les sports de glisse sauf par les consommacteurs.

Style de direction - LIKERT Introduction : Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1980) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] I – Les styles de direction A – Les styles de direction selon Rensis Likert Professeur de psychologie industrielle à l’Université du Michigan aux Etats-Unis, Rensis Likert (1903-1981) conduit des recherches sur les attitudes et les comportements humains au travail. […] Il cherche à comprendre dans quelle mesure la nature des relations entre supérieurs et subordonnés peut conduire à des résultats très différents dans un contexte organisationnel identique. Les résultats de ses recherches sont publiés en 1961 dans un ouvrage intitulé « Le gouvernement participatif de l’entreprise ».

Comment les « leaders toxiques » nuisent aux personnes… et aux organisations Theo Veldsman, University of Johannesburg Les cas de leadership toxique se multiplient et pèsent lourd sur les organisations dans le monde entier. On les rencontre de plus en plus souvent dans la vie quotidienne au travail, mais on le mesure aussi grâce aux travaux des chercheurs qui estiment qu’un dirigeant sur cinq se révèle toxique. Dans les enquêtes que j’ai conduites, j’ai mis en évidence que près de trois dirigeants sur dix sont toxiques. Grille de BLAKE et MOUTON Le modèle de Blake et Mouton est un outil qui permet de cartographier rapidement et cerner les styles génériques de management. Cette matrice s'articule autour de 2 axes : l'intérêt pour la production (ou les résultats) en abscisses, et l’intérêt pour l'élément humain en ordonnées. La grille est découpée en 9 valeurs pour chaque axe. Le résultat de cette analyse est la mise en valeur de 5 styles prédominants de manager (le premier chiffre donne la valeur pour le degré d'orientation "production", le second pour l'humain) : (1-1) "Laisser faire" : le partisan du management laxiste. Ce profil évite toute situation difficile (conflits, confrontations...).

Leadership appréciatif Initialement introduit par Srivastva et Cooperrider (1987), le leadership appréciatif est basé sur les fondamentaux du constructivisme social. Le leadership appréciatif se concentre à comprendre, à apprendre et à s'appuyer sur ce qui fonctionne plutôt que ce qui ne va pas dans le milieu du travail. Il apprend à chaque individu dans la société à être des leaders, à s'apprécier comme leaders dirigeants, à explorer les conditions qui donnent cette idée et cette énergie pour imaginer son avenir en tant que leader.

À quoi bon donner du feedback négatif? - blogues BLOGUE. Pas facile de donner du feedback à autrui. Et surtout du feedback négatif. Car une remarque peut être mal prise, voire blesser, en fonction de la sensibilité de la personne à qui l'on s'adresse. La grille de Blake et Mouton La grille de Blake et Mouton est un outil simple pour comprendre les caractéristiques, et surtout les conséquences, de notre style d'encadrement. Le manager autocratique organise le travail en solitaire, le distribue, surveille l'exécution et contrôle les résultats. Le manager démocratique au contraire aide ses subordonnées à s'organiser et n'exerce qu'un faible degré de pression hiérarchique. pour des tâches simples et répétitives (indsutrielles ou administratives), il paraît en effet obtenir les meilleurs résultats. mais cette opposition, dans beaucoup d'autres types d'activité, s'avère à l'observation un peu trop manichéenne : certains managers très dirigistes obtiennent d'excellents résultats, au contraire de certains autres, pourtant très participatifs. Le modèle oppose donc trop schématiquement le style "centré sur les relations" et le style "centré sur la production".

Management et hiérarchie : la fin d’une illusion 99% des entreprises fonctionnent encore sur un modèle hiérarchique, pyramidale, où le patron, le chef ou le manager sont des maîtres tout-puissants. N’est-il pas temps de changer de paradigme ? Vous aimez cet article ? Kolibri coaching - Business coaching - Accompagnement à la réussite Le leadership, ce qui fait un bon leader, c’est un ensemble de qualités personnelles et de compétences relationnelles. Nous avons vu celles répertoriées par Goleman, Boyatzis et McKee dans l’article Leadership : quelles sont vos qualités de leader. Restons avec Daniel Goleman pour voir quels styles de leadership il a identifiés, et décrits dans la Harvard Business Review*. Cet article inaugure une série sur le Leadership. Voici ces 6 styles de leadership, 6 approches différentes : Leader Directif (Coercive)

Lassés de leur « bullshit job », les cadres désertent les open space Un facteur ex-chargé de communication, un boulanger qui a fui une tour de La Défense ou une décoratrice d'intérieur qui a abandonné le télémarketing. De plus en plus de personnes issues de postes CSP++ quittent un travail qu'ils jugent « vide de sens » pour se tourner vers une profession plus manuelle et « concrète ». Le phénomène a été largement médiatisé et étudié ces dernières années, notamment par David Graeber, initiateur de la formule « bullshit jobs » (que l'on peut traduire par « boulots à la con ») ou plus récemment en France, dans l'ouvrage de Jean-Laurent Cassely, La révolte des premiers de la classe [1]. Pour résumer, des personnes diplômées, très souvent cadres, jugent leur profession inutile et bien trop abstraite. Il s'agit souvent des métiers du marketing, des « fonctions supports », du télécommerce, le consulting...

Les leçons de management de Star Wars Star Wars ou La Guerre des étoiles. Le titre de la saga intergalactique est éloquent : le film traite du pouvoir et des multiples batailles spatiales dont il va être l'enjeu. Tous les protagonistes sont des chefs militaires, s'efforçant de mener leurs troupes à la victoire, les uns pour renverser l'ordre établi, les autres pour le préserver. Leurs stratégies de conquête et leurs méthodes de commandement sont très différentes. Entre un management autocratique, du côté de l'Empire, et une culture de la concertation, dans le camp des chevaliers Jedi, se déploie tout un éventail de postures qui révèlent autant de conceptions du gouvernement et de l'autorité. > Découvrez ici les sagas les plus rentables du cinéma avec notre diaporama. Fuite des open space : les cadres, spécimens interchangeables pour les RH « Je n'ai jamais vu autant de cas de burn-out qu'aujourd'hui », confesse Marie-Paule Istria, consultante management et développement des ressources humaines. Bore-out, forte pression, les causes qui font que les cadres quittent leur poste et se reconvertissent sont multiples. D'après les chiffres de La Fabrique[1] ; les cadres représentent 31% des profils soumis à des tensions avec leur hiérarchie, 37% des individus soumis à des tensions avec leurs collègues et 49% des personnes optant pour un changement[2]. Pour expliquer le phénomène, un souci managérial est souvent évoqué. Philippe Caumant, qui a troqué sa place en open-space pour une startup qui met en lien les consommateurs et les agriculteurs, témoigne :

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