Maurice Maeterlinck
Cet article est extrait de l'ouvrage Larousse « Dictionnaire mondial des littératures ». Écrivain belge de langue française (Gand 1862 – Nice 1949). Ce Gantois, nourri d'une culture cosmoplite (la Bible, Poe, Shakespeare et les élisabéthains, les romantiques allemands, les mystiques...), se consacre vite à la seule littérature, accompagnant le climat de renaissance des lettres belges des années 1880.
La Bonne Chanson (Verlaine)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Court recueil dont la composition s'échelonne de l'hiver 1869 au printemps 1870, ses vingt et un poèmes sont adressés à Mathilde Mauté de Fleurville, 16 ans, avec qui le poète se marie le . Achevé d'imprimé à compte d'auteur par L. Toinon le , il n'est finalement mis en vente qu'en 1872, son éditeur Alphonse Lemerre refusant de faire paraître le recueil durant les hostilités[1].
Stéphane Mallarmé
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Mallarmé. Mallarmé photographié par Nadar (vers 1890).
Paul Éluard
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Paul Éluard Œuvres principales
Paul VERLAINE
Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. Paul Verlaine est avant tout le poète des clairs-obscurs. L’emploi de rythmes impairs, d’assonances, de paysages en demi-teintes le confirment, rapprochant même, par exemple, l’univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes.
Paul Verlaine
Poète français (Metz 1844-Paris 1896). Partagé entre sensualité et mysticisme, Paul Verlaine connaît une vie difficile et parfois violente, qui s’achève prématurément dans l’alcool. Mais l’inventeur des « Poètes maudits » sait aussi chanter les amours rêveuses et la naïveté de l’enfance. Il donne à lire une poésie tantôt nostalgique et crépusculaire, tantôt vive et libre, animée par le ton parlé et par l'imprévu des rythmes impairs, qui contribua largement à libérer le vers. Par l’importance accordée à la musique et aux images, son œuvre porte une réforme de la poésie française.
Arthur Rimbaud
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Arthur Rimbaud écrit ses premiers poèmes à 15 ans. Selon lui, le poète doit être « voyant » et « il faut être absolument moderne »[1]. Il entretient une aventure amoureuse tumultueuse avec le poète Paul Verlaine. À l'âge de 20 ans, il renonce subitement à l’écriture, sans avoir encore été véritablement publié, pour se consacrer davantage à la lecture, ainsi qu'à la poursuite de sa pratique des langues. Ses idées marginales, anti-bourgeoises et libertaires le poussent à choisir une vie aventureuse, dont les pérégrinations l’amènent jusqu’en Abyssinie, où il devient négociant (quincaillerie, bazar, vêtements, café etc.[2]), quand ce n'est pas explorateur.
Théodore de Banville
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Banville par Nadar Œuvres principales Célèbre pour les Odes funambulesques et les Exilés, il est surnommé « le poète du bonheur »[1]. Ami de Victor Hugo, de Charles Baudelaire et de Théophile Gautier, il est considéré dès son vivant comme l’un des plus éminents poètes de son époque.
Henri-Frédéric Amiel
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Amiel. Henri-Frédéric Amiel AmielMine de plomb par Joseph Hornung. Œuvres principales Fragments d’un journal intime
Francis Vielé-Griffin
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Griffin. Biographie[modifier | modifier le code]
Une saison en enfer
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une saison en enfer est un recueil de poèmes en prose d'Arthur Rimbaud, rédigé en juillet 1873[Note 1], après une période de crise dans la vie du poète — l'accident de Bruxelles avec Verlaine et le retour à Roche dans la ferme familiale — à partir d'une ébauche commencée quelques mois auparavant, le Livre païen ou Livre nègre. Chant païen halluciné, le poème est aussi une profession de foi, marquée par la quête du salut[réf. nécessaire], les déceptions sentimentales et artistiques, et un réquisitoire contre la civilisation occidentale et ses valeurs. « Prodigieuse autobiographie psychologique, écrite dans cette prose de diamant qui est la propriété exclusive de son auteur », selon les termes de Paul Verlaine[1].