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Analyse chanson la Guerre de 14-18

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Brassens, poète érudit : L'EXIL DES MOTS. Le bistrot Que je boive à fondL’eau de tout’s les fon--Taines Wallace,Si, dès aujourd’hui,Tu n’es pas séduitPar la grâce De cett’ jolie féeQui, d’un bouge, a faitUn palace,Avec ses appas,Du haut jusqu’en bas,Bien en place.

Brassens, poète érudit : L'EXIL DES MOTS

Avec Le vin, nous avions évoqué l’amour de la poésie pour ce dieu mystérieux caché dans les fibres de la vigne et, par opposition, son antipathie pour la grisaille insipide de l’eau plate, inodore et incolore.Brassens y revient avec son Bistrot, qui recèle outre un petit vin de quartier sans prétention mais d’une teneur exquise, une tenancière au physique non moins exquis, mais complètement inaccessible à tout autre que son dégueulasse de gros mari ! A quiconque cependant ne serait pas séduit par les charmes avantageux de cette tenancière, l’écrivain fait l’insoutenable pari de boire de l’eau, beaucoup d’eau même, puisqu’il propose toute celle des fontaines Wallace.C’est dire s’il engage sa bonne foi, la justesse de ses appréciations et sa réputation. Le mécréant. Cinq chansons polissonnes de Brassens - Europe1.fr - Musique.

Analyse Clionaute HDA. ANALYSE texte La guerre de 14-18. La guerre de 14-18 - Le Pingouin des @lpes. La guerre de 14-18 Rédigé par govez - 11 novembre 2011 Promenez votre souris sur les mots soulignés du texte pour faire apparaître les commentaires.

La guerre de 14-18 - Le Pingouin des @lpes

Depuis que l'homme écrit l'Histoire Depuis qu'il bataille à cœur joie Entre mille et une guerr' notoires Si j'étais t'nu de faire un choix À l'encontre du vieil Homère Je déclarerais tout de suite: "Moi, mon colon, cell' que j'préfère, C'est la guerr' de quatorz'-dix-huit! " Est-ce à dire que je méprise Les nobles guerres de jadis Que je m'soucie comm' d'un'cerise De celle de soixante-dix ?

Classé dans : Musique - Spectacles - Mots clés : musique, actualité Promouvoir cet article sur : TPE La guerre de 14-18 - Georges Brassens. Depuis que l'homme écrit l'Histoire Depuis qu'il bataille à cœur joie Entre mille et une guerr' notoires Si j'étais t'nu de faire un choix A l'encontre du vieil Homère Je déclarerais tout de suite: "Moi, mon colon, cell' que j'préfère, C'est la guerr' de quatorz'-dix-huit!

TPE La guerre de 14-18 - Georges Brassens

" Est-ce à dire que je méprise Les nobles guerres de jadis Que je m'soucie comm' d'un'cerise De celle de soixante-dix? Au contrair', je la révère Et lui donne un satisfecit Mais, mon colon, celle que j'préfère C'est la guerr' de quatorz'-dix-huit Je sais que les guerriers de Sparte Plantaient pas leurs epées dans l'eau Que les grognards de Bonaparte Tiraient pas leur poudre aux moineaux Leurs faits d'armes sont légendaires Au garde-à-vous, je les félicite Mais, mon colon, celle que j'préfère C'est la guerr' de quatorz'-dix-huit En 1962, est écrite « la guerre 14-18 » de Georges Brassens. Cette chanson pleine d’humour noir cherche à dénoncer la Première Guerre Mondiale.