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Décroissance

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NE T’ATTAQUE PAS AU SYSTÈME, DÉMODE-LE ! « Il est cubique, titanesque, froid.Il est doté de chenilles qui écrasent tout.C’est le système social dans lequel tu es inséré.Sur ses tours tu reconnais plusieurs têtes.

NE T’ATTAQUE PAS AU SYSTÈME, DÉMODE-LE !

Il y a cellesde tes professeurs,de tes chefs hiérarchiques,des policiers,des militaires,des prêtres,des politiciens,des fonctionnaires,des médecins,qui sont censés toujours te dire si tu as agi bien ou mal.Et le comportement que tu dois adopter pour rester dans le troupeau.C’est le Système.Contre lui ton épée ne peut rien.Quand tu le frappes, le Système te bombarde de feuilles :carnets de notes,P.V. Il s’agit d’un court ouvrage de Bernard Werber, auteur contemporain surtout connu pour sa « trilogie des Fourmis », et globalement pour toute son oeuvre mélangeant assez habilement philosophie, spiritualité, science-fiction, dans des ouvrages assez faciles d’accès.

Decroissance. La décroissance (par opposition à la sacro-sainte croissance du P.I.B. de nos idéologues) est un concept qui remet en question de façon radicale, non seulement notre système économique, mais au-delà, les fondements même de la société de consommation.

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Par delà l'idée commune d'écologie, en quoi l'écologie libidinale se définie-t-elle nécessairement en lien avec la décroissance ? En quoi l'idée de décroissance s'enrichie-t-elle de l'idée de libido ? 1. L'unité du vivant L'écologie libidinale est un principe humaniste : l'homme est vivant, c'est à dire qu'il appartient à la nature biologique. Pourtant depuis des siècles, la société occidentale se fonde sur le principe que l'homme domine/dompte la nature (la nature autour de lui mais aussi la nature en lui : la répression des instincts). J'ai un énorme contentieux avec la modernité. Je ne partage pas l'idée selon laquelle l'économie de marché à sorti le monde de la précarité.

J'ai un énorme contentieux avec la modernité

Je suis témoin du contraire. Dans cette oasis du Sud algérien où j'ai grandi, j'ai vu une petite société pastorale bouleversée par l'arrivée de l'industrie houillère. Mon père, qui faisait chanter l'enclume pour entretenir les outils des cultivateurs, a dû fermer son atelier pour s'abîmer dans les entrailles de la terre. Au Nord comme au Sud, des hommes ont été consignés pour faire grossir un capital financier dont ils n'avaient que des miettes. Ils y ont perdu leur liberté, leur dignité, leurs savoir-faire. Je n'ai cessé, depuis, de rechercher les moyens d'échapper au salariat, que je considère, à tort ou à raison, comme facteur d'aliénation. Le paysan sahélien qui cultivait un lopin familial se retrouve alors propulsé par la loi du marché dans la même arène que le gros producteur de plaines américaines ; endetté, puis insolvable.

Et si on s’intéressait aux vrais problèmes ? Ces derniers jours, un saltimbanque haineux devenu l’idiot utile d’un système, qui n’en finit plus de sombrer, fait la une des médias grâce à M.

Et si on s’intéressait aux vrais problèmes ?

Valls, le même qui souhaite « concilier la gauche avec la pensée libérale » (!). Et si nous évitions de tomber dans le panneau pour nous emparer des vrais problèmes ? Au lieu de perdre notre temps à faire le jeu d’un Ministre de l’Intérieur en quête de pouvoir et, de se diviser sur la signification du « geste de la quenelle », pourquoi ne pas se recentrer sur les véritables problèmes de notre société : - Pour une décroissance des inégalités car ces discussions nous font oublier qu’en 2013 la fortune des milliardaires a augmenté de 16% en 2013 ! Alors pourquoi ne pas débattre et réfléchir sur la mise en place d’un Revenu Maximum Acceptable ? - Pour sortir de la pression économique et sociale et de la peur du lendemain, rien de tel que d’entretenir les peurs avec cet argument fallacieux de la crise pour encore mieux exacerber les haines. . « [...] Paul Aries chez Taddei partie 1. Les véritables limites à la croissance. Pour la majorité d'entre nous, les vacances se terminent.

Les véritables limites à la croissance

Comme moi, vous en avez peut-être profité pour lire un pavé qui trônait depuis plusieurs mois sur votre table de chevet? Le mien, c'était Les limites à la croissance (The limits to growth). Pas exactement un roman de plage, je vous l'accorde. Mais je ne suis presque pas allé à la plage, alors... Plus connu sous les intitulés "Rapport du Club de Rome" ou "Halte à la croissance", cet ouvrage de Donella et Dennis Meadows et de Jorgen Randers est paru pour la première fois en 1972.

Le propos du livre est simple: nous ne pouvons pas poursuivre une croissance illimitée de notre économie mondiale dès lors que cette croissance repose sur une consommation toujours plus importante de ressources naturelles qui sont, de fait, disponibles en quantité limitée. Mais au fait quelles sont ces limites à la croissance? Besoins artificiels vs besoins essentiels Absurdité d'un modèle économique qui aliène les hommes au lieu de les émanciper. Conférence sur la décroissance à Venise. Petit traité de la décroissance sereine (1/2 = conférence) - Serge Latouche - FSL56. Décroissance - Paul Ariès.