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Hollande sera-t-il le nouveau Schröder ?

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Du Grain à moudre sur Twitter : ""La droite irait-elle mieux (ou plus mal) sans #Hollande ?" Retrouvez notre sujet d'hier ici. La droite irait-elle mieux (ou plus mal) sans Hollande. Le ciel n’est pas encore entièrement dégagé à droite (l’actualité du jour autour de Bygmalion est là pour en témoigner), mais politiquement, on y voit un peu plus clair depuis quelques jours.

La droite irait-elle mieux (ou plus mal) sans Hollande

Le retour du patron : c’est fait. Les candidatures à la présidence de l’UMP : c’est fait. A moins d’être retoqués par la Haute autorité du parti, Nicolas Sarkozy, Bruno Le Maire et Hervé Mariton s’affronteront le 29 novembre prochain, avant un hypothétique second tour, une semaine plus tard. France Culture - direct - Vendredi 18 Avril 03:42:17. Revue de presse allemande (1) Blog. Jacqueline Hénard, November 15, 2012 Jean-Marc Ayrault est à Berlin aujourd’hui.

Revue de presse allemande (1) Blog

Qu’en dit la presse allemande? La visite ne fait pas la une des journaux. Entre le congrès du parti communiste chinois et les hostilités dans le sud d’Israel, l’actualité internationale est écrasante. Puis, la visite du premier ministre vient en quelque sorte en service après-vente. Comments. Berliner Luft, le blog de Lise Jolly. Non classéPublié le 15 octobre 2013 C’est a peu près tout ce qu’on retient des négociations entre les Unions chrétiennes CDU-CSU et le SPD : il n’y avait pas une goutte d’alcool pendant les 8 heures qu’a duré ce round de négociation.

Berliner Luft, le blog de Lise Jolly

C’est la social- démocrate Andréa Nahles qui s’en plaint . Au moins en 2005 , où ces négociations de coalition avaient duré deux mois , fait elle remarquer, il y avait de l’alccol . A cette époque là , Schroeder menait le jeu et savait vivre lui au moins , c’est ce qu’on en conclut en lisant entre les lignes!!! Si on ne retient que ça , c’est que pour le reste, ils ne sont d’accord sur rien , Pourquoi le modèle économique français est bien supérieur au modèle allemand. Ces jours-ci, nos politiques français se font une certaine idée de l'Allemagne.

Pourquoi le modèle économique français est bien supérieur au modèle allemand

A chaque proposition, on nous explique que l'Allemagne le fait et donc que c'est bien. L'admiration du modèle économique allemand date de plus longtemps encore dans les milieux économiques. Qu'admire-t-on dans ce modèle ? Principalement, la concentration sur l'exportation : exporter, c'est bien, importer, c'est mal ;La concentration sur l'industrie, aussi : fabriquer des machins c'est bien, consommer rendre des services, c'est mal ; Sur tous ces critères, la France présente un portrait inverse : déficit commercial, économie dominée par les services et la consommation. Il faut remettre quelques idées en place : Il n'y a aucun mal à avoir un déficit commercial et à importer. Le modèle allemand est aussi et surtout fondé sur des mirages et une injustice sociale criante Les mirages, d'abord. L'injustice sociale, surtout. Conjoncture : «Invoquer le modèle allemand tient de la pensée magique»

INTERVIEW - «Imiter un modèle extérieur a toujours été une tentation française» a déclaré mardi François Hollande.

Conjoncture : «Invoquer le modèle allemand tient de la pensée magique»

De fait, avant le modèle allemand, aujourd'hui porté aux nues, les modèles japonais, danois, anglais ont été vantés. Que révèle cette recherche effrénée en France du modèle étranger salvateur? Ayant effectué de multiples séjours au Japon, en Argentine, au Danemark et en Allemagne, l'économiste Robert Boyer, directeur d'études à l'EHESS, est un fin connaisseur des différents types de capitalisme. Détours d'Europe : Destination Allemagne. Hollande, un agenda à la Schröder et la taxe à 75% François Hollande sera-t-il à la hauteur de Schröder ?

François Hollande s'est donné deux ans pour sortir la France de la crise.

François Hollande sera-t-il à la hauteur de Schröder ?

Les bons conseils de Schröder à Hollande. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Arnaud Leparmentier A chacun ses martyrs.

Les bons conseils de Schröder à Hollande

Angela Merkel a torpillé son compatriote Tom Enders, le patron d'EADS qui voulait fusionner Airbus avec le groupe de défense britannique British Aerospace. Trop risqué pour les usines allemandes du groupe aéronautique. L'Elysée ne décolère pas, qui espérait bâtir un champion européen susceptible de faire jeu égal avec Boeing. Les semaines ont passé, et les rôles se sont inversés : les Allemands s'inquiètent du sort que réserve François Hollande à son compatriote Louis Gallois. Pour Berlin, ce serait le point de rupture. A droite comme à gauche, on se prépare aux foudres des marchés. Après quelques semaines de commisération polie, les responsables à Berlin le disent tout haut : l'homme malade de l'Europe, c'est la France. Faites du Schröder ! Peu importent les pensées privées de François Hollande, passé par HEC. François Hollande dans les pas de Gerhard Schröder. “Permettez-nous de vous présenter Gerhard II”, s’amuse le Financial Times Deutschland.

François Hollande dans les pas de Gerhard Schröder

Pour le quotidien économique allemand, l’annonce par le président français d’un plan d’austérité et de réformes sociales d’ici à 2014 rappelle l’”Agenda 2010” lancé en 2003 par l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder. “Hollande aspire à être Schröder”, résume le journal en une. A Paris, Les Echos estiment que la comparaison est flatteuse pour le président français : C’est une aimable approximation que de comparer l’agenda 2014 improvisé par le président français à l’Agenda 2010 qui fut mis en oeuvre – avec quel succès !

– par l’ex-chancelier Gerhard Schröder. [...] L’Allemagne : un modèle, mais pour qui ? Podcast - Hollande sera-t-il le nouveau Schröder ? - Idées. « Faudra-t-il revoir nos salaires à la baisse ?

Podcast - Hollande sera-t-il le nouveau Schröder ? - Idées

» C’est le titre qui s’affiche en Une du Parisien aujourd’hui. Le quotidien revient sur le « deal » proposé par la direction de Renault à ses salariés : davantage de flexibilité dans l’organisation du temps de travail, en échange de la promesse de ne pas fermer d’usines en France. Une telle initiative fait grincer des dents. Il n’est pas dit qu’elle indispose tant que cela le président de la République et son premier ministre.

Car si la proposition de Renault a un mérite aux yeux de l’exécutif, c’est celui de faire preuve d’audace sur le terrain de la réforme du marché du travail : cette audace qui est demandée aux partenaires sociaux, lesquels ont justement entamé aujourd’hui au Medef les discussions de fond sur le sujet.