background preloader

ECONOMIQUE

Facebook Twitter

Rachat d'or et Achat or - Le Comptoir Universel de l'or Gap Hautes Alpes. Bijouterie fantaisie : Résister à la crise en déployant une distribution (...) Ajouté le 1er/07/2009 Par Abc-luxe La bijouterie fantaisie est un excellent segment de résistance face à la crise.

Bijouterie fantaisie : Résister à la crise en déployant une distribution (...)

Bien plus, les arbitrages budgétaires des ménages lui sont favorables. Les acteurs les plus offensifs vont pouvoir saisir les opportunités créées par la crise. Cela exige notamment une réelle compréhension des modifications profondes des comportements du client, un renforcement de l’identité de l’offre et du maillage territorial des circuits de distribution, ainsi que la mise en place d’une stratégie multicanale. Precepta table sur une hausse de 1% du marché de la bijouterie fantaisie en valeur en 2009, puis de 4,5% en 2010. Les ventes de bijoux fantaisie (bijoux fantaisie stricto sensu et bijoux en argent) s’établiront in fine à 1,1 milliard d’euros en 2010. Compte tenu des attentes des clientes, l’investissement dans la création, la capitalisation sur la qualité et la garantie de la traçabilité des produits représentent des facteurs clés de succès indéniables. La crise n'a pas mis à mal le secteur horlogerie-bijouterie.

Anne Césard l'auteure de l'étude “Distribution d’horlogerie-bijouterie – Perspectives du marché à l’horizon 2013, analyse du jeu concurrentiel et des axes de développement” livre les principaux enseignements de cette analyse de 250 pages : Il ne faut pas se fier aux apparences.

La crise n'a pas mis à mal le secteur horlogerie-bijouterie

Les ventes (en valeur) d’horlogerie, de bijouterie, de joaillerie et d’orfèvrerie (HBJO) ont, en effet, augmenté de 3 %, en 2011 à 5,5 milliards d’euros. Celles-ci ont été portées notamment par le segment des montres (+ 9 %), désormais près du quart du marché HBJO, et celui des bijoux en argent (+ 10 %). Dans ce contexte, et compte tenu de la forte hausse des prix (+ 13,6 %), le chiffre d’affaires des magasins spécialisés en articles d’horlogerie et de bijouterie, principal circuit de distribution, a bondi de 10 % (en valeur) l’an dernier.Mais ce dynamisme pourrait bien se gripper. Les pressions sur le pouvoir d’achat vont en effet inciter les Français à arbitrer dans leurs dépenses. Net recul du marché de l'horlogerie-bijouterie en France en 2013. PARIS (Reuters) - Le marché français de l'horlogerie-bijouterie, plombé par la crise, a accusé en 2013 sa plus forte baisse depuis 10 ans, selon les chiffres publiés jeudi par le comité professionnel Francéclat.

Net recul du marché de l'horlogerie-bijouterie en France en 2013

Les ventes du secteur, tous circuits de distribution confondus, ont accusé une baisse de 4% en valeur, après un recul de 2% en 2012, pour totaliser 5,1 milliards d'euros. "La conjoncture économique difficile n'a pas épargné le marché de l'horlogerie-bijouterie", souligne l'organisme professionnel. Ce recul s'explique principalement par la forte baisse des ventes de bijoux en or -42% du chiffre d'affaires de l'ensemble du secteur- qui a atteint 7% à 2,1 milliards d'euros. Dans le même temps, les ventes de montres sont reparties à la baisse (-3% à 1,4 milliard d'euros) après une progression de 4% en 2012.

La dynamique touristique a elle aussi fléchi, avec des dépenses en hausse de 7,7% en France en 2013 après une envolée de 28% en 2012, selon le spécialiste de la détaxe Global Blue. Etude marché bijouterie : Bulletin Ecostat du COMITE FRANCECLAT. Etude marché bijouterie : Bulletin Ecostat du COMITE FRANCECLAT.

Etude marché bijouterie : Bulletin Ecostat du COMITE FRANCECLAT. Etude marché bijouterie : Bulletin Ecostat du COMITE FRANCECLAT. Etude marché bijouterie : Bulletin Ecostat du COMITE FRANCECLAT.