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Analyse économique

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Le dividende n’est ni le salaire de l’actionnaire ni l’ennemi de l’investissement. « Verser des dividendes ou réinvestir pour poursuivre et accélérer son développement ?

Le dividende n’est ni le salaire de l’actionnaire ni l’ennemi de l’investissement

», telle est la question qui est souvent posée à propos des dividendes à l’instar du journaliste Laszlo Perelstein (La Tribune du 24 août 2016) pour qui « face à la pression des actionnaires, les entreprises se doivent de récompenser ces derniers » au prix de réduire leurs budgets d’investissements. Il n’est pas le seul à penser que le dividende est l’ennemi de l’investissement des entreprises. Par exemple, Christian Chavagneux, journaliste économique et éditorialiste à Alternatives economiques écrit sur son blog (10/03/2014) un article intitulé les distributions de dividendes plombent l’investissement des entreprises : « Les résultats du CAC 40 pour 2013 soulignent encore une fois combien le coût du capital pèse sur le tissu productif français : avec des profits en baisse de 8 %, les grandes entreprises augmentent leur distribution de dividendes de 6 %, au détriment de l’investissement ».

Mathématisation de l'économie

WhatEveryoneShoudKnowEconomics. The Short-Termism Myth. Economie de la création artistique. Sites avec ressources économiques. Diplôme DGC Economie. Questions monétaires. TD Grands problèmes économiques et sociaux. Economie des médias. Economie de la culture. Economie de l'environnement. Ressources audio/vidéo. Sites libéraux anglophones. Comment marche la loi de l'offre et de la demande ? Peter John Olivi. 1.

Peter John Olivi

Life and Work Olivi (ca. 1248–1298) was born in Sérignan, in the Languedoc region of southern France. He entered the Franciscan order at the age of twelve, studied under Bonaventure in Paris from 1267 to about 1272 without becoming a master of theology, and spent the remainder of his life teaching at various Franciscan houses of study in southern France, with a stay in Florence from 1287–89. (For biographical details, see Burr 1976 and 1989, and especially Piron 1998, 1999, 2006a.) Olivi's outspoken originality led him into conflict with religious authorities: his writings were condemned by the Franciscan authorities in 1283, and although he was later rehabilitated by the new minister general Matthew of Aquasparta, he remained a controversial figure. Olivi produced a large and wide-ranging body of work, much of which has survived. 2.

Each of these attitudes, Olivi claims, is intelligible only given the existence of free will. 3. We might view this argument as posing a dilemma. Comment le respect du prix du marché maximise les échanges. Par Hadrien Gournay.

Comment le respect du prix du marché maximise les échanges

Face aux velléités de contrôle des prix dans les pays développés, devant leurs résultats désastreux dans certains pays en développement, les libéraux ont une attitude constante : rappeler que fixer les prix à un niveau inférieur à celui du marché conduit inéluctablement à rendre les biens disponibles en moins grande quantité pour le consommateur. Cette vérité ne fait cependant pas percevoir avec suffisamment de clarté la raison pour laquelle le prix du marché serait par nature préférable au prix que l’autorité serait tentée de lui substituer.

La "part" des dépenses publiques dans le PIB. Les néoclassiques : la première mathématisation de l’économie. Ce qui caractérise les économistes néoclassiques, c’est l’idée que l’économie est constituée de données chiffrées, de variables, et qu’elle est donc mathématisable.Par Vladimir Vodarevski.

Les néoclassiques : la première mathématisation de l’économie

Les classiques envisageaient l’économie comme une science humaine. Les néoclassiques vont en faire une science mathématique. Il n’y aura pas ici d’équations, ni de graphiques. Il ne s’agit pas d’expliquer en long et en large la théorie néoclassique. Mais de décrire son approche, et son influence dans le débat économique. Les brevets : un mal nécessaire. Par Thibault Schrepel.

Les brevets : un mal nécessaire

Propriété intellectuelle (Clément Monjou) Le débat sur la (non) justification des droits de propriété intellectuelle est le grand absent de la littérature économique et juridique de ces dernières années. De nombreux éléments tendent pourtant à ce que la question du bien-fondé de l’existence des brevets, et plus généralement des droits de propriété intellectuelle, soit au centre des attentions. Sans avis ferme et définitif sur la question, nous posons ici les termes d’une analyse qui devrait être développée. « Je ne peux pas relire cette phrase sans enthousiasme en pensant que je n’ai rien inventé du tout » Un blog philo par un prof de philo. Global Voices en Français · L’info par les blogs et réseaux sociaux du monde entier.

Freakonomics. La nation, une fiction ? (par Mario Vargas Llosa, Prix Nobel de littérature) Par Mario Vargas Llosa.

La nation, une fiction ? (par Mario Vargas Llosa, Prix Nobel de littérature)

Depuis que je le connais, cela fait bien des années maintenant, l’historien chilien Claudio Véliz organise des congrès. Dans les années soixante il avait son bureau à Chatham House, près de celui d’Arnold Toynbee, et il faisait venir à Londres des idéologues économistes et des anthropologues latino-américains pour vérifier leur incapacité à s’entendre avec les pragmatiques Anglais. J’avais été invité à l’une de ces reproductions de la tour de Babel et je m’étais bien amusé. Comme l’histoire à laquelle il se consacre, Claudio Véliz est devenu planétaire et il dirige maintenant La Conversazione, rassemblement transcontinental qui déplace des intellectuels à Oxford, Melbourne et Boston pour les faire dialoguer sur tous les sujet imaginables. Un blog philo par un prof de philo.