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La sérendipidité : une pratique informationnelle pas si hasardeuse. Florence Canet Florence Canet a soutenu en novembre 2016, une thèse en sciences de l’information et de la communication sous la direction de Marlène Coulomb-Gully (LERASS, Toulouse Jean Jaurès), André Tricot (CLLE, Toulouse Jean Jaurès) et Nicole Boubée (LERASS, Toulouse Jean Jaurès) sous le titre Veilleur 2.0 : d’une pratique professionnelle à une activité ordinaire.

La sérendipidité : une pratique informationnelle pas si hasardeuse

Bonjour Florence, pouvez-vous préciser le concept informationnel de sérendipité ? Florence Canet : La sérendipité c’est trouver ce que l’on ne cherchait pas. Notion de document de collecte. Entretien avec Nicole Boubée. Nicole, cela fait 10 ans que tu as soutenu ta thèse sur l’activité de recherche d’information juvénile.

Notion de document de collecte. Entretien avec Nicole Boubée.

L’un des résultats de ces travaux de thèse concernait le « rôle des copiés-collés dans l’activité de recherche d’information d’élèves du secondaire ». Tableau de bord sur les compétences et la transformation numérique OCDE. Le numérique c'est pour les filles et les garçons : changeons le code. La fracture numérique n'épargne pas les jeunes. On les appelle parfois les “digital native”" mais l’expression est trompeuse, car la génération des “enfants du numérique”" (c’est la traduction québécoise) n’est pas épargnée par l’illectronisme.

La fracture numérique n'épargne pas les jeunes

Cette forme d'illettrisme des temps modernes touchait 17% de la population française en 2019 d’après l’Insee, et pas seulement des vieilles personnes en milieu rural. L’âge est un critère bien sûr, avec le niveau de revenu et d'éducation, mais il n'y a pas de profil type et la période du confinement a permis de le constater plus encore. Écouter. "Risques numériques" : qu'en pensent les jeunes et les enseignants ? Choisissez votre Atelier Canopé préféré Vous pourrez ainsi : Visualiser rapidement les horaires et coordonnées de votre Atelier Canopé Découvrir les événements et services proposés près de chez vous Bénéficier de la livraison gratuite dans votre Atelier Canopé Atelier préféré Canopé is disabled.Authorize cookies to access this functionality.

"Risques numériques" : qu'en pensent les jeunes et les enseignants ?

Étude sur les jeunes et les réseaux sociaux : 72 % des 16-18 ans n'utilisent pas Facebook. Découvrez comment la génération Z utilise les réseaux sociaux en 2021.

Étude sur les jeunes et les réseaux sociaux : 72 % des 16-18 ans n'utilisent pas Facebook

Chute libre de Facebook, montée en flèche de TikTok. © Diplomeo Cette étude a été menée par Diplomeo (groupe HelloWork, éditeur du BDM) auprès de 4682 répondants âgés de 16 à 25 ans entre décembre 2020 et janvier 2021. Tour d’horizon des réseaux sociaux favoris des jeunes et sur la manière dont ils les utilisent aujourd’hui. Les réseaux sociaux préférés des jeunes : Instagram toujours en tête. Les 10-13 ans passent près de 15 heures en ligne par semaine. Voici ce qu’ils y font. Par Barbara Chazelle, France Télévisions, Media Lab et Prospective Pour s'inscrire sur les réseaux sociaux, il faut avoir 13 ans.

Les 10-13 ans passent près de 15 heures en ligne par semaine. Voici ce qu’ils y font.

Les jeunes préfèrent les résultats sans clic (Knowledge Graph, Featured Snippets) (étude) Une récente étude proposée par la société Path Interactive et publiée par le site Moz concerne le comportement des internautes sur les SERP (pages de résultats) des moteurs de recherche.

Les jeunes préfèrent les résultats sans clic (Knowledge Graph, Featured Snippets) (étude)

Pour cette étude, 72% des répondants étaient américains, 8% vivaient en Inde, 10% en Europe et 71% avaient moins de 40 ans. Les jeunes et l’information : une étude du ministère de la Culture vient éclairer les comportements des jeunes en matière d’accès à l’information. Dans un contexte de profondes transformations des modes de production, de diffusion et de consommation de l’information, la Direction générale des médias et des industries culturelles (DGMIC) du ministère de la Culture a souhaité disposer d’un diagnostic approfondi sur les pratiques de consommation de l’information par les jeunes générations (15-34 ans). Pour ce faire, elle a confié le soin à Médiamétrie de produire une analyse de ces pratiques.

Les 15-25 ans & les YouTubers de sciences. Pourquoi l’enquête ?

Les 15-25 ans & les YouTubers de sciences

A l’heure des fake news, alors que les politiques publiques visent à diffuser et à promouvoir les sciences dans les établissements culturels et dans l’espace public, un phénomène ne cesse de prendre de l’ampleur : celui du développement de chaînes YouTube de vulgarisation scientifique. Face à la caméra, ces vidéastes amateurs expliquent des théories, définissent des notions, pratiquent des expériences. Pour la plupart d’entre elles, humour et dérision sont les maîtres mots.

Génération plumard, les jeunes qui préfèrent rester au lit. Ils passent leur temps dans leur chambre à parler avec leurs amis, draguer des inconnus ou jouer en ligne.

Génération plumard, les jeunes qui préfèrent rester au lit

Petit portrait de la génération « plumard ». « Je n’aime pas trop quand tu traînes avec tes copains.ines, je ne sais pas ce que tu fais dehors. Je préfère que tu restes à la maison ». Cette rengaine que vous avez peut-être entendue quand vous étiez adolescent est envoie de disparition. Alors que la principale inquiétude des parents était de savoir où allaient leurs enfants il y a quelques années, les choses ont complètement changé. Comprendre TikTok, l’application préférée des ados fans de play-back.

Ultra-populaire auprès des ados occidentaux, l’appli de vidéo Musical.ly a disparu définitivement des smartphones le 2 août. Après mise à jour, ses utilisateurs ont vu surgir à la place un autre bouton sur leur écran, celui de TikTok. Plutôt méconnue en Europe où elle n’était pas disponible jusqu’alors, cette application chinoise revendiquait quelque 150 millions d’utilisateurs actifs quotidiens en Asie. Les moins de 13 ans plébiscitent toujours Snapchat, Instagram… et TikTok. Par Mickaël Mavoungou-Nombo et Barbara Chazelle, France Télévisions, Media Lab Des hors-la-loi sévissent sur les réseaux sociaux. Pas de panique, ils sont inoffensifs. Bien que cela leur soit interdit, les moins de 13 ans sont de plus en plus nombreux à s’y inscrire, en mentant sur leur âge, tout simplement. L'agence Heaven, en partenariat avec l’Association Génération Numérique, vient de sortir la 3e édition de son baromètre* Born Social, une enquête organisée à la rentrée des classes pour analyser l’usage des réseaux sociaux par ces clandestins du web.

Comment la génération Z apprivoise les réseaux sociaux. Pourquoi les collégiens préfèrent-ils Snapchat et ses messages fantômes. Depuis le 3 août 2018, les téléphones portables sont interdits dans les établissements scolaires.

Pourquoi les collégiens préfèrent-ils Snapchat et ses messages fantômes

Jusqu’à lors, les chefs d’établissement avaient la possibilité d’autoriser leur utilisation en dehors des salles de cours, sur le temps de pause des élèves. Aujourd’hui, on craint cependant que ces appareils puissent distraire les collégiens de leurs apprentissages et qu’ils ne détériorent la vie collective. On les soupçonne de donner aux adolescents un accès prématuré aux images violentes et pornographiques et on craint qu’ils n’en fassent des victimes de racket ou de cyberharcèlement, surtout avec des applications comme Snapchat, qui ne laissent pas de traces.

L’attention médiatique et politique est avant tout portée sur les dérives des usages des smartphones. Design de la transparence et pratiques informationnelles de jeunes : quelle(s) alliance(s) ? En novembre 2017 s’est tenue la Conférence internationale H2PTM, sur le thème « Le design à l’ère du numérique : de l’hypertexte à l’hyper-expérience ». Ce colloque, passionnant, a été l’occasion pour des chercheurs en Sciences de l’Information et de la Communication, en Ergonomie, mais aussi en Psychologie, d’interroger le rôle du design dans les expériences des usagers avec des dispositifs techniques. Varié, le programme du colloque a permis d’aborder ce questionnement sous des angles extrêmement différents : les jeux et univers virtuels ; le web sémantique ; les médias sociaux et pratiques numériques ; l’écriture, les oeuvres et la littérature numériques ; les pratiques collaboratives en ligne ; la visualisation et le traitement de l’information ; ou encore la médiation culturelle et les expériences patrimoniales hyper-médiatiques.

. * ESSENTIEL étude 8 14 ans MAI 2017. Une personne sur six n’utilise pas Internet, plus d’un usager sur trois manque de compétences numériques de base - Insee Première - 1780. L’illectronisme peut accroître la vulnérabilité sociale Savoir utiliser les ressources numériques courantes (Internet, traitement de texte…) est devenu presque aussi indispensable que savoir lire, écrire et compter. Ne pas avoir accès à Internet ou ne pas savoir utiliser les outils numériques représente donc un réel handicap, notamment pour effectuer des démarches administratives ou encore accéder aux services publics, pouvant accroître la vulnérabilité sociale de populations potentiellement déjà fragiles.

Les amitiés des adolescents sont-elles « hackées » par les réseaux sociaux ? Entre Facebook, Instagram et les autres plates-formes numériques, la bataille fait rage entre les plates-formes numériques pour accaparer l’attention des adolescents. Enjeux cognitifs. Les jeunes et le numériques – Un site utilisant Sites Canopé Bordeaux. Témoignage : sur Internet, comment inciter les étudiants à sortir de leurs « bulles de filtres » Comment reprendre la main sur son information à l’heure où nous sommes assaillis de notifications sur nos smartphones et où notre navigation sur les réseaux sociaux est orientée par des algorithmes ? Un récent documentaire diffusé par Netflix, The Social Dilemma, pointe d’ailleurs les dangers liés aux modèles économiques des GAFA, entre dépendances numériques, atteintes à la vie privée et bulles de filtres qui nous enferment dans notre propre vision du monde.

Dans le cadre d’un cours de master destiné à de futurs professionnels du numérique – webdesigners, chargés de projet, social media managers ou réalisateurs multimédia – nous avons mené une expérience autour d’un partage de ressources entre étudiants. Tout commence par une situation problème, sous la forme d’une injonction en apparence banale : « face aux technologies émergentes, inventez votre métier ».