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Pédagogie différenciée : 10 conseils + 1 !

Pédagogie différenciée : 10 conseils + 1 !
Voici un petit pense-bête, à la fois théorique et pratique, permettant de favoriser la mise en place de pratiques différenciées dans sa classe. 1/ Dans une classe, l’hétérogénéité est la règle ! L’homogénéité étant l’exception, il faut cesser d’être surpris de ne pas pouvoir faire avancer tout le monde de la même manière même si les programmes en donnent l’illusion. 2/ La différence entre élèves est normale ! Qu’il s’agisse d’écarts de vitesse, d’autonomie, de motivation, d’intérêt, de compréhension, on ne peut plus être « indifférents aux différences » mais devons inclure cette approche dans le fonctionnement habituel de la classe. 3/ Dans aucune classe, le travail est accompli en même temps avec la même efficacité. 4/ La différenciation n’est pas un problème, c’est une solution ! 5/ Tous les élèves ont besoin de différenciation ! 6/ La différenciation n’est pas le différentialisme ! 7/ L’individualisation s’équilibre avec une pédagogie coopérative. Le temps (en donner plus ou moins)

http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2013/09/09092013Article635143083792793702.aspx

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Petit Lexique des pédagogies "différentes" par Antonella Verdiani, auteure de "Ces écoles qui rendent nos enfants heureux", et fondatrice du Printemps de l’éducation. Pédagogie Montessori Fondatrice : Maria Montessori (1870 – 1952) Cette pédagogie se fonde sur l'éveil sensoriel de l’enfant et le développement de son esprit d’autonomie, favorisé à l’école par une atmosphère concentrée, sous les yeux d’un maître bienveillant. L’autonomie se rejoint par un travail individualisé, utilisant du matériel auto-didactique, ce qui n’exclut pas aussi la possibilité du travail collectif, avec des règles de vie responsabilisantes.

Enseigner la compréhension de textes narratifs à des élèves scolarisés en ULIS-école : des résultats encourageants par Isabelle Lardon, Michaël Billebault & Sylvie Cèbe Si lire c’est comprendre, apprendre à lire, c’est apprendre à comprendre les textes qu’on nous lit ou qu’on décode seul. Un large consensus scientifique et les prescriptions institutionnelles engagent les enseignants à enseigner la compréhension en lecture, et ce, dès l’école maternelle. Mais comment s’y prendre quand on exerce auprès d’élèves qui présentent des troubles importants des fonctions cognitives ? Les limitations de leur fonctionnement cognitif leur permettent-elles d’acquérir les habiletés procédurales, les connaissances et les compétences requises pour comprendre ? En adaptant les pratiques d’enseignement, les tâches et les activités pour répondre à leurs besoins peut-on obtenir les progrès attendus ?

Le récit en 6ème : raconter la bataille d'Alésia L’objectif de cette proposition est de montrer l’utilisation de la pédagogie différenciée autour du récit en histoire. Le but est double : répondre à l’hétérogénéité des classes, c’est-à-dire permettre à tous les élèves d’acquérir les bases minimales du savoir et des savoir-faire et d’offrir à ceux qui en sont capables, qui en ont les possibilités, d’en savoir plus, d’approfondir, d’être stimulés. travailler le récit (question « longue » du DNB) pour que chacun puisse réaliser à son rythme cet exercice difficile qui met en œuvre de nombreuses capacités : prélever des informations, trier, sélectionner, classer, organiser, mettre en relation. On propose ici, à partir d’un corpus de documents, de faire travailler le récit aux élèves selon le niveau de leurs difficultés. La séance s’inscrit dans le chapitre III du programme d’histoire de sixième (Rome), dans le thème 1 (Des origines à la fin de la République : fondation, organisation politique, conquêtes).

numérique et enseignement - numérique et différenciation en Lettres Existe-t-il vraiment une classe homogène ? Avec des élèves qui se ressembleraient tellement qu'on pourrait finalement leur enseigner d'une seule voix les mêmes choses en même temps au même rythme et avec les mêmes supports d'apprentissage ? Une classe sans aucun élève à besoin spécifique, sans dys, sans élèves allophones, sans élèves voyageurs, décrocheurs, sans élève plus à l'aise à l'oral qu'à l'écrit ou bien présentant des difficultés plus ou moins grandes de lecture, sans élèves handicapés ou déscolarisés pour raisons médicales, etc. Cette classe relève bien-sûr de la fiction.

recherche Infographie : les étapes de la recherche d’information A la rentrée sont programmées les habituelles séances sur la recherche documentaire pour le dossier de SVT en 3e. Pour compléter le prezi de l’année passée et laisser une trace papier aux élèves, je me suis lancée dans l’adaptation de la superbe infographie d’Anaïs Meunier (Bibliothèque universitaire d’Angers). En effet, son infographie est très complète, mais j’ai peur que les collégiens soient perdus parmi les informations qui s’adressent aux étudiants du supérieur : les bases de données, les rapports et thèses, la recherche très avancée, etc. Pourtant ce serait vraiment dommage de s’en passer… Voici donc le résultat réalisé à partir de Piktochart (éditeur d’infographie en ligne) :

Le transfert des apprentissages : Étape 4 de l’approche par compétences Le transfert des apprentissages constitue l’aboutissement du développement de la compétence professionnelle. Souvent, les enseignants me questionnent sur le pourquoi du manque de transfert, chez les élèves, de la théorie dans la pratique. D’autres m’indiquent le manque de transfert des apprentissages, chez les élèves, entre le centre de formation et le milieu de stage. À partir de ces questionnements, nous sommes en droit de nous questionner sur le transfert réel des apprentissages des élèves entre la formation qu’ils ont reçue et l’entreprise où ils vont travailler. Jean-François Russel (2011), dans son livre, «Gérer la formation, viser le transfert», indique des statistiques et des constats qui sont révélateurs sur cet aboutissement de la formation. 60 à 90 % des apprentissages réalisés en formation ne sont pas transférés en milieu de travail.

Rechercher le consensus sur l’apprentissage de la lecture – Gynger Etablir un pont entre la recherche et les pratiques des enseignants pour qu’enfin tous les enfants réussissent : c’est l’objectif de cette conférence de consensus sur la lecture intitulée « Lire, écrire, comprendre » organisée ces 16 et 17 mars 2016 à l’Ecole Nationale Supérieure de Lyon par le CNESCO. Le principe : un jury composé d’acteurs de terrain auditionne des experts puis formule des préconisations. La dernière conférence de consensus consacrée à la lecture avait eu lieu en 2003. Et depuis, comme le note Michel Lussault, de l’Institut Français de l’Education (IFE/ENS Lyon), coorganisateur de cette édition 2016, des recherches ont été menées, de nouvelles préoccupations sont apparues, « concernant le rôle de la lecture dans la réussite scolaire mais aussi dans la réussite biographique de l’individu ». Il a donc semblé pertinent, à la lumière des nouvelles découvertes, de refaire le point sur la façon dont l’apprentissage pouvait être amélioré.

Différencier les consignes pour faire écrire tous les élèves Tous les professeurs sont confrontés, quels que soient les établissements dans lesquels ils travaillent, à l’hétérogénéité de leur classe. Au quotidien, cette hétérogénéité est compliquée à gérer. Dans la préparation des séquences d’abord : pour qui fait-on cours ? Pour les meilleurs élèves ?

Article très clair et très intéressant, qui donne des conseils concrets et motivants. by chronodrome Dec 30

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