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Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ?

Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ?
Allez au contenu, Allez à la navigation 12 mars 2017 Recherche Recherche avancée Travaux parlementaires > Rapports > Rapports d'information Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? Repères ? 22 octobre 2008 : Les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ? Commander ce document Rapport d'information n° 46 (2008-2009) de M. Synthèse du rapport (97 Koctets) Disponible en une seule page HTML (535 Koctets) Disponible au format Acrobat (728 Koctets) Page suivante Page suivante A lire aussi Mon Sénat Accès rapide Agenda du Sénat Accès thématiques Rapports les plus consultés Librairie en ligne Commandez vos documents Les autres sites du Sénat Ce site utilise des cookies de mesure d'audience.

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Yann Leroux : “Il n’y a pas d’addiction aux jeux vidéo” On ne présente plus vraiment Yann Leroux sur internet, parce qu’il est l’un des rares psychanalystes à twitter et à avoir un blog. Membre de l’Observatoire des mondes numériques en sciences humaines, joueur invétéré, Yann Leroux s’intéresse au virtuel depuis qu’il est tombé dedans. C’est assurément son expérience de joueur qui l’a amené à porter un autre regard sur le jeu. A son exemple, des psychanalystes, et non des moindres, comme Serge Tisseron, sont de plus en plus nombreux à dénoncer l’utilisation de la notion d’addiction appliquée aux jeux vidéos. Cette position, forcément iconoclaste, nous intéresse. Addiction au numérique : peut-on vivre déconnecté ? Il est parfois difficile de se détacher de la spirale infernale du numérique. En 2014, 28 millions de Français possédaient un smartphone et neuf millions avaient une tablette tactile. De plus, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter comptaient jusqu'à 32 millions d'inscrits. L'addiction au numérique frappe alors de nombreuses personnes. Celles-ci peuvent consulter leur smartphone 100 fois par jour et se précipiter à la moindre alerte ou notification.

Aides à la presse, un scandale qui dure, par Sébastien Fontenelle (Le Monde diplomatique, novembre 2014) Fustiger la dépense publique en exhortant à la réduire est devenu une discipline journalistique à part entière dans la presse française. Certains s’illustrent par l’excellence de leurs performances en la matière : on pense ici à Franz-Olivier Giesbert, qui reste rarement plus de deux semaines sans proclamer, dans l’hebdomadaire Le Point, que « la France doit cesser de dépenser plus qu’elle ne produit. Autrement dit, faire maigre (1) ». Le propriétaire du Figaro, le sénateur (Union pour un mouvement populaire) et avionneur Serge Dassault, réclame lui aussi régulièrement qu’« on supprime toutes les aides », car « il ne faut pas que l’Etat aille donner de l’argent » (2) — sauf naturellement quand la puissance publique débloque 1 milliard d’euros pour moderniser l’avion de chasse produit par l’industriel, comme en janvier dernier… Mais il arrive que les mêmes professionnels se montrent moins empressés de porter partout la bonne parole des magistrats de la Cour des comptes.

Rapport : La cyberdépendance : état des lieux et propositions I - Qu'est-ce que la cyberdépendance ? L'arrivée de l'Internet dans les foyers français a ouvert, il y a une dizaine d'années, une nouvelle dimension de l'outil informatique et, avec l'accélération progressive du débit des échanges, un espace de liberté sans limites. Aujourd'hui, la pratique du jeu électronique via l'informatique s'est considérablement accrue et a fait naître, avec elle, de nouvelles interrogations. Parmi celles-ci, celle des conséquences éventuelles sur la santé des joueurs apparaît, aux yeux de la représentation nationale, comme primordiale. L'objectif que se sont fixés les députés GROSSKOST et JEANNETEAU est donc d'étudier les mécanismes qui peuvent engendrer une dépendance, à certains types de jeux, affectant la santé des joueurs.

Podcasts natifs, reverse podcasting, formats innovants : le renouveau de l'audio Le podcast fait la Une. Dans la presse spécialisée, qui observe la progression constante de l’offre de programmes disponibles. Tout comme la presse grand public qui chronique et recommande des sélections de podcasts, comme auparavant des émissions à la radio. Médias : ce qu’il faut retenir de 2017 Par Barbara Chazelle et Alexandra Yeh, France Télévisions, MédiaLab & Direction de l'Innovation Dans les médias, nous avons le sentiment que le numérique bouleverse à toute allure le secteur et paradoxalement, les tendances de fond sont identifiées depuis un moment déjà : mobile, vidéo, technologie de l’immersion, algorithmes et automatisation alimentent chaque jour la guerre de l’attention. Essayons néanmoins de faire le bilan avec 10 tendances qui ont non seulement marqué 2017 mais qu’il nous semble pertinent de surveiller de près en 2018. On avait vu les bots pointer le bout de leur nez en 2016, mais c’est en 2017 que de nombreux acteurs issus de différents secteurs y ont vraiment vu un intérêt. On tâtonne encore sur la ligne éditoriale et le ton à adopter, l’équilibre reste à trouver sur la place de l’humain et l’automatisation intégrale de la conversation.

Médiologie La médiologie est une théorie des médiations techniques et institutionnelles de la culture, développée principalement par le philosophe Régis Debray. La médiologie fédère à partir des années 1990 un ensemble de chercheurs, les médiologues. Origine[modifier | modifier le code] « Médiologie » est un néologisme apparu en 1979 dans l'ouvrage de Régis Debray, Le Pouvoir intellectuel en France[1]. La médiologie est théorisée et approfondie par le Cours de médiologie générale de Debray, paru en 1991. Dominique Cardon : «La critique des médias ne nécessite pas d’instance» Dominique Cardon : «La critique des médias ne nécessite pas d’instance» Cnfr n nstttn l sn d snctnnr ls jrnlsts ? Pr Dmnq Crdn, l cntrôl d l’nfrmtn s’st dj dvlpp vc ntrnt. Jn-Lc Mlnchn nvsg n «Cnsl d dntlg d jrnlsm» pr «fr rspctr l drt n nfrmtn bjctv». st-c prtnnt ?

Snapchat, Facebook, Google… que font-ils au journalisme Sur certaines plateformes, dont Facebook est emblématique, les algorithmes promeuvent des contenus de mauvaise qualité : les appeaux à clics, voire des fake news. Le rapport de la CJR pointe la responsabilité des grandes plateformes et surtout, de leur modèle économique. Choisir entre qualité et visibilité, dilemme incontournable ? Non, selon Marie-Amélie Putallaz, responsable des réseaux sociaux au Figaro : « les réseaux sociaux restent des lieux formidables pour écouter sa communauté, pour que les journalistes y trouvent de la matière éditoriale et un peu d’audience (...). Des articles de très bonne qualité peuvent théoriquement bien fonctionner sur un site comme Facebook.

[APDEN] Médias en crise, journalisme de réinvention Fake news, éloignement du terrain, utilisation sans précaution de sondages à la fiabilité rarement discutée, concentration aux mains de quelques milliardaires plus préoccupés par les cours de la Bourse que par l’intérêt général et n’hésitant pas à recourir à la censure… La liste est longue des maux qui affecteraient les médias et qui, régulièrement, reviennent sur le devant de la scène pour caractériser la crise profonde qui les affecte. À tel point que les Dictionnaires d’Oxford, édités par la prestigieuse université britannique, ont choisi comme mot de l’année 2016 le terme post-truth, qui désigne cette ère de « post-vérité » dans laquelle nous serions entrés de plain-pied avec les campagnes électorales aboutissant, de notre côté de l’Atlantique, à la décision du Royaume-Uni de quitter l’Union Européenne, et de l’autre, à l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis d’Amérique. Certes, le mensonge n’est pas nouveau en politique, ni les promesses extravagantes.

Source officielle, Sénat, site au service du citoyen, développe « les nouveaux médias : des jeunes libérés ou abandonnés ». Il propose un sommaire interactif très complet, un compte rendu des auditions multidisciplinaires et une bibliographie intéressante. by fanny_groupee_psy Mar 3

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