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Apprendre à apprendre - Comment maîtriser sa stratégie d'apprentissage

Apprendre à apprendre - Comment maîtriser sa stratégie d'apprentissage
Apprendre tout au long de la vie apparaît aujourd’hui à la fois comme un idéal et comme une nécessité. Oui, mais comment apprendre ? Pour tous ceux qui voient leur « employabilité » en danger, l’enjeu est crucial. Des points de repère et des méthodes peuvent les aider à retrouver plaisir et facilité à apprendre. Ce premier billet sera consacré aux profils de stratégies (ou « styles ») d’apprentissage. Les apprenants en difficulté n’ont pas le sentiment qu’ils peuvent décider de leur manière d’apprendre. Découvrir son profil d’apprenant Jean-François Michel, dans son livre « Les 7 profils d’apprentissage » (Eyrolles), propose une typologie dont l’on trouvera la description ici. On peut s’appuyer sur le profil de Felder et Soloman, issu du MBTI. Le test de Kolb, plus court et accessible, recouvre une partie des dimensions ciblées par l’index de Felder-Soloman. Formateur et futur formateur, comprendre les stratégies d’apprentissage des apprenants est une compétence clé du formateur. M.

http://www.formation-professionnelle.fr/2017/03/06/apprendre-a-apprendre-mieux-se-connaitre-pour-maitriser-sa-strategie-dapprentissage/

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Mémorisation : trouver sa stratégie Dans tous les cas : lire, relire, et réviser plusieurs fois Il faut souvent apprendre plusieurs fois pour mémoriser vraiment Il n'y a pas de secret : pour bien mémoriser, il faut relire et réviser plusieurs fois le même cours et la même leçon. C'est la règle de base indispensable à tous, quelle que soit votre forme d'apprentissage. Vous le savez sans doute déjà : il est conseillé de relire une première fois un cours ou une leçon, le jour ou le soir même. Ce que la recherche nous dit sur les styles d’apprentissage (ou retour sur un neuromythe) La recherche sur les styles d’apprentissage, dont les origines remontent aux années 1930, a vu le jour en Europe occidentale et aux États-Unis et a réellement pris son essor depuis cinq décennies. Durant cette période, la densité des travaux de recherche a été fluctuante, mais connaît depuis plusieurs années un renouveau, sans doute lié à l’engouement pour la psychologie cognitive. La psychologie y tient toujours une grande place, comme pour les premières recherches, mais aussi la médecine, le management, l’industrie, la formation professionnelle. L’éducation et la formation constituent également un vaste champ d’exploration. De nombreux chercheur.e.s ont tenté de confronter leurs travaux en essayant d’identifier des méthodes permettant de comprendre les processus d’apprentissage des individus et de les classer selon une typologie visant à définir ce concept.

Apprentissage, motivation, émotion : comment apprenons-nous Le cerveau est l'objet le plus complexe de l'univers connu, et c'est de sa compréhension que dépendra l'avenir de nos technologies futures et singulièrement l'intelligence artificielle et la robotique. A l'Inria, Frédéric Alexandre dirige le projet Mnémosyne, chargé de développer des modèles computationnels de notre fonctionnement cérébral, dans le but de développer à terme des agents autonomes, robotiques ou logiciels, qui soient physiologiquement crédibles. Autrement dit, dont l'architecture sera analogue à celle du cerveau humain. Au cours d'une conférence à Bordeaux, lors d'un atelier organisé conjointement par l'expédition Bodyware de la Fing et l'Inria, Frédéric Alexandre nous a présenté quelques fondamentaux concernant les mécanismes de notre mental. Les sciences de l'esprit, sciences cognitives et neurosciences, ont fait des progrès ces dernières années et s'attaquent à des sujets de plus en plus difficiles, a-t-il expliqué en préambule. Comment garder l’information importante

Les neurosciences, un moyen de comprendre le comportement de l'esprit Traditionnellement, les neurosciences avaient pour objectif de connaître le fonctionnement du système nerveux. Tant au niveau fonctionnel que structurel, cette discipline essaie de connaître l’organisation du cerveau. Ces derniers temps, elle a été plus loin, ne souhaitant plus seulement connaître le fonctionnement du cerveau, mais la répercussion qu’il a dans notre conduite, nos pensées et nos émotions. Les neurosciences cognitives ont pour objectif de mettre en relation le cerveau et l’esprit. Elles représentent un mélange entre les neurosciences et la psychologie cognitive. Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. Le maître-mot, alors, est la plasticité cérébrale. Car c’est précisément ce qui nous permet d’apprendre.

Favorisez la persévérance des apprenants en les aidant à développer leurs stratégies volitionnelles Un articlerepris du blog de T@d "le réseau du tutorat à distance" de Jacques Rodet Dans le chapitre "Les stratégies volitionnelles dans l’enseignement supérieur : se mettre au travail et s’y maintenir" du livre "De la métacognition à l’apprentissage autorégulé", D. Baillet, S.

Accueil L’activité du groupe Cognisciences porte sur l’étude des processus du développement, d’acquisition et d’apprentissage du nourrisson à l’enfant. Notre approche s’appuie sur les neurosciences et la clinique du normal au pathologique (langage oral, motricité fine et globale, langage écrit, attention, calcul) Les différents travaux menés portent sur : 1) Le développement cognitif de l’enfant de 6 mois à l’adolescence 5 principes issus des neurosciences pour favoriser l'apprentissage en formation Quels sont, à votre avis, les avantages et inconvénients des pédagogies actives, ludiques et participatives ? Si les entreprises semblent conscientes de la nécessité d’amorcer un virage pédagogique dans leurs formations, elles sont parfois réticentes à l’idée de passer à l’action : est-ce vraiment utile et pertinent ? De mon point de vue, la réponse est indéniablement : OUI ! Et les recherches scientifiques menées ces dernières années vont clairement dans ce sens. Suite à la présentation que j’ai eu l’occasion de réaliser au forum, je vous invite donc à découvrir ci-dessous 5 principes essentiels issus des recherches en neurosciences pour mieux former et apprendre :

Métacognition et réussite des élèves Suffit-il de mettre les élèves en activités en classe pour qu’ils s’approprient les savoirs, savoirs faire sur lesquels est construite la séance qui leur est proposée ? L’analyse ergonomique des situations d’apprentissage scolaire amène à être très réservé dans la réponse. En effet, quels que soient les modalités pédagogiques, les supports didactiques prévus, un constat s’impose : les enseignants n’arrivent pas toujours à atteindre les objectifs visés.Eviter qu’il y ait autant d’élèves en difficultés d’apprentissage, d’élèves en décrochage scolaire voire en refus scolaire, d’élèves en souffrance, d’élèves en danger, c’est bien l’ambition de tous ceux qui oeuvrent dans ce monde complexe de l’Éducation.Que faire devant cette réalité ? Les enseignants tentent de les aider à retrouver le chemin des apprentissages scolaires afin qu’il apprennent les savoirs scolaires que l’Ecole s’engage à leur donner et définissent sur cette base la plupart des activités qu’ils leur proposent. Gagné P.

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