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Arts de la mémoire : les principes de la mémorisation – Formation 3.0

Arts de la mémoire : les principes de la mémorisation – Formation 3.0
Quels sont les principes de mémorisation utilisés dans les arts de la mémoire ? Comment mémoriser des quantités d’informations sans se tromper ? Quel rôle peuvent encore jouer les arts de la mémoire à l’ère numérique ? Ce sont quelques questions que je me pose depuis quelques années. Et sur lesquelles je voudrais échanger avec vous au cours d’une nouvelle série d’articles. Les arts de la mémoire ont connu une longue éclipse avant d’être remis à l’honneur par les livres de Dame Frances Yates. Mais quels sont les principes qui ont été utilisés par les « mnémonistes » au cours des 3 derniers millénaires pour mémoriser tant des discours que des poèmes ou des formules de mathématiques ? Trois principes fondamentaux En fait, ces principes sont au nombre de 3. L’ordreL’associationLa répétition Sur la carte heuristique suivante, j’ai dessiné quatre branches : j’ai scindé « association » et « combinaison d’associations » pour une question de visualisation. 1. 2. Vous avez dit « bizarre » ? 3.

https://format30.com/2013/01/22/arts-de-la-memoire-les-principes-de-la-memorisation/

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Les 4 piliers de l’apprentissage d’après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention Comment apprendre ? Pourquoi réviser ? Nous possédons tous plusieurs types de mémoire : une mémoire visuelle, axée sur la vision ; une mémoire auditive, axée sur ce que nous entendons et une mémoire kinesthésique ou mémoire sensorielle, basée sur les autres sens que la vue et l’audition. Ces trois formes de mémoire fonctionnent alternativement ou conjointement. Selon les personnes la mémoire dominante est différente mais la majorité de la population a une mémoire visuelle. D’après une étude d’université nous apprenons : 1% des choses par le goût, 1,5% par le toucher, 3,5% par l’odorat, 11% par l’ouïe et 83% par la vision. La première mémoire est la mémoire immédiate, la mémoire sensorielle, celle des sensations. Nous ne gardons en mémoire les informations de cette dernière que durant quelques millisecondes.

Enseigner l’empathie Dans ce second volet, Guy Azoulai aborde la question de l’enseignement de l’empathie en présentant les différents outils qu’il utilise lors de ses formations à l’entretien motivationnel. Présentation du concept d’empathie Le concept d’empathie est présenté en mettant l’accent sur son rôle déterminant dans la dynamique interpersonnelle de la motivation et du changement : Les attitudes spontanées face à la détresse émotionnelle Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme

Les quatre piliers de l’apprentissage - Stanislas Dehaene L’enfant est doté d’intuitions profondes en matière de repérage sensoriel du nombre. Avant tout apprentissage formel de la numération, il évalue et anticipe les quantités. Apprendre à compter puis à calculer équivaudrait à tout simplement tirer parti de ces circuits préexistants, et, grâce à leur plasticité, à les recycler. L’apprentissage formel de l’arithmétique se « greffe » sur le « sens du nombre » présent chez l’enfant, et sollicite la même zone cérébrale. apprendre intelligences multiples cerveau Connaître ses groupes d’élèves « J’ai fait passer le test des IM à mes différents groupes d’élèves, puis j’ai constitué un portrait de chaque groupe. Je me suis servi de l’affiche sur les IM pour illustrer le profil de chaque groupe. » Témoignages d’enseignants ayant recours aux IM Pour combattre l'ennui

Interview d'Olivier Houde Le 14 mars 2012, le CCSTI La Rotonde lance "Mondo Minot », une exposition-ateliers pour les 2 - 7 ans. Tout au long de la matinée, organisée en collaboration avec l’Inspection d’Académie, plus de 220 enseignants découvrent "L’expo pour grandir malin !" avant d’assister à une conférence sur l’évolution du cerveau de l’enfant donnée par Olivier Houdé. Professeur à l’Université Paris Descartes – Sorbonne, directeur du laboratoire de psychologie du développement et de l’éducation de l’enfant, Olivier Houdé et son équipe ont conduit des recherches pour comprendre comment se construit l’intelligence ! Comment ? Par l’observation, grâce à l’IRM (Imagerie par Résonance Magnétique), des mécanismes du cerveau menée auprès d’une soixantaine d’enfants de 5 à 11 ans.

Règle du jeu mémory La règle du jeu de mémory: Pour débuter la partie, déposer toutes les cartes mélangées face contre table de façon à ce que les images ne soient pas visibles. Le premier joueur découvre 2 cartes, si elles sont identiques, il les remporte sinon il les cache à nouveau. C'est ensuite au joueur suivant de retourner 2 cartes et ainsi de suite... Neurosciences et éducation : peut-on les marier ? Inspiré du titre d’un article de Francis Schrag (professeur en philosophie de l’éducation) paru en 2013, la question du mariage entre neurosciences et éducation est au cœur des débats que suscite l’éventuelle application des résultats neuroscientifiques dans la salle de classe. Neurosciences de l’éducation, esprit, cerveau et éducation ou encore neuro-éducation, le vocabulaire ne manque pas pour désigner cette « jeune science », dont l’objectif est de mieux faire connaître le cerveau et les processus cognitifs qui lui sont attachés. La fascination qu’exercent les images du cerveau, les animations 3D ou toutes approches déclarées « brain-based » (basée sur ce que l’on sait, ou croit savoir, du fonctionnement cérébral) engendrent malheureusement de nombreux malentendus. Mais quels sont ses véritables apports au monde éducatif ? Peut-on demander aux neurosciences de déterminer des méthodes efficaces d’enseignement ?

10 stratégies pour apprendre vite Certains ont des facilités pour apprendre rapidement. Si vous ne faites pas partie de cette catégorie, il est possible de travailler cette compétence. L'apprentissage est un processus que nous devons maîtriser. En effet, les outils que nous utilisons pour travailler changent régulièrement. Dans un récent fil de discussion sur le forum Quora, les utilisateurs ont répondu à la question : quelles stratégies suivent les personnes qui apprennent vite ? Introduction à la neuroéducation I. Qu’est-ce que la neuroéducation ? Les neurosciences désignent l’étude scientifique du système nerveux et du fonctionnement du cerveau, depuis le niveau moléculaire jusqu’au niveau comportemental. Elles ont désormais un statut interdisciplinaire, et voient leurs découvertes ou avancées exploser depuis 15 ans, grâce notamment aux progrès technologiques d’imagerie cérébrale (dont l’IRM fonctionnel, pour le plus connu). La neuroéducation est le mariage entre les neurosciences et les sciences de l’éducation.

La pédagogie active Dans son article, Un monde en changement (2015), Isabelle Senécal évoque l’importance d’instaurer une pédagogie active dans les écoles. Ce changement dans les pratiques nécessite : d’en comprendre les caractéristiques et les modèles de classe (le quoi) d’en reconnaître la pertinence (le pourquoi) de valoriser les initiatives des leaders pédagogiques qui œuvrent en ce sens (le comment)

Neuromythes et enseignement De récentes études ont montré que les enseignants croient souvent à des neuromythes, c’est-à-dire à de fausses conceptions sur le fonctionnement du cerveau,. Ces neuromythes peuvent s’avérer problématiques pour la réussite des élèves, parce qu’ils peuvent orienter les pédagogues vers des pratiques d’enseignement qui ne sont pas entièrement compatibles avec le fonctionnement du cerveau de leurs élèves. Pour cette raison, dans cet article, les trois neuromythes les plus fréquents en éducation sont présentés et discutés. Le premier concerne les styles d’apprentissage, le deuxième est lié à la notion de« cerveau gauche et cerveau droit » et le troisième touche aux exercices de coordination visant l’optimisation du fonctionnement cérébral. Neuromythe 1 : Les élèves apprennent mieux lorsqu’ils reçoivent l’information dans leur style d’apprentissage préféré (ex. auditif, visuel ou kinesthésique).

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