background preloader

Comment construire un palais de la mémoire: 11 étapes

Comment construire un palais de la mémoire: 11 étapes
<img alt="Image intitulée Build a Memory Palace Step 1" src=" width="728" height="546" class="whcdn" onload="WH.performance.clearMarks('image1_rendered'); WH.performance.mark('image1_rendered');">1Décidez d'un plan pour votre palais. Alors un palais de mémoire peut être un lieu purement imaginaire, il est plus facile de se baser sur un lieu qui existe dans le monde réel et avec lequel vous êtes familier. Un palais de base pourrait être votre chambre à coucher, par exemple. <img alt="Image intitulée Build a Memory Palace Step 11" src=" width="728" height="546" class="whcdn">11Construisez de nouveaux palais. Related:  galway62Module 3 : mémoriser

3 effets qui affectent la mémorisation Connaître ces 3 effets permet de les utiliser à notre avantage pour mieux mémoriser Les 3 effets principaux qui affectent notre capacité de mémorisation sont : l’effet de primauté On retient surtout les premiers éléments d’un tout. l’effet de récence On retient mieux les derniers éléments d’un tout. l’effet de Von Restorff On retient plus facilement les faits qui sortent de l’ordinaire, à tel point que ces faits masquent les faits plus ordinaires. Nous nous souvenons de ce qui sort de l’ordinaire car cela est perçu comme une menace pour notre survie. (une vidéo de Marco Bertolini) Pour aller plus loin dans la maitrise des techniques de mémorisation : Un livre que je vous conseille pour mieux comprendre et utiliser la mémoire dans les études : Commander Objectif mémoire : Au lycée et à l’université, (re)trouvez le goût de travailler avec plaisir et efficacité sur Amazon. Sur le même thème Enfants : des pistes pour mieux comprendre et utiliser la mémoire 5 octobre 2015 Dans "Ecole et enseignement"

Dix mythes sur la mémoire | Séminaires de Lecture Rapide - Daniel Gagnon Mythe 1: La mémoire est quelque chose que l’on possède. Je suis actuellement à préparer un séminaire sur la mémoire avec mon bon ami Pierre Pilon spécialiste des outils pour penser. Dans le cadre de cette préparation, je vais vous entretenir dans mes prochaines chroniques de dix mythes entourant la mémoire. Dix mythes concernant la mémoire (1) Souvent, les gens vont parler de leur mémoire comme si c’était quelque chose qu’il possédait. Le mot mémoire est une abstraction qui réfère à un processus plutôt qu’à une structure physique. La mémoire fait appel à un nombre important de processus, d’activités, d’habiletés et d’attributs. La mémoire motrice par exemple n’est même pas consciente. Ce qui veut dire que lorsque l’on parle d’améliorer sa mémoire, nous ne parlons pas de quelque chose qu’on entraînerait à devenir plus gros et plus fort. Source : Higbee, Kenneth L. Les séminaires de lecture rapide Daniel Gagnon Mythe 2 : Il y a UN secret à la mémoire. Dix mythes concernant la mémoire (2)

Dix métaphores visuelles pour la formation Pierre-Paul Delvaux exlique qu'au contraire de la métaphore poétique qui vise à rendre le familier insolite, la métaphore pédagogique vise à rendre l'insolite familier. "[...] Il y a dans l’usage de la métaphore pédagogique un écart manifeste entre deux domaines, l’un est supposé connu par l’apprenant et l’autre constitue le domaine à découvrir. La métaphore pédagogique est donc un détour paradoxal. Dans Mille et une propositions pour la pédagogie, A. de Peretti et François Muller exposent une série d'exemples de métaphores visuelles ou narratives, qui peuvent aussi aider à inventer ou à retenir. 1. Dès qu'une formation ou une animation porte sur l'environnement d'un projet ou d'une structure, la matrice SWOT (strengthes, weaknesses, opportunities, threats) est devenue inévitable. faiblesses, opportunités, contraintes... La métaphore du navire nous amène un peu plus loin, et parce qu'elle prend un détour, elle permet aux participants de faire preuve de créativité, parfois même d'humour.

10 méthodes pour réviser, mémoriser et apprendre Dans les situations d’apprentissage, le bachotage est décrié et tous les enseignants conseillent à leurs élèves de relire leur leçon le soir-même pour mieux mémoriser. Mais, pour les élèves, les questions demeurent les mêmes : comment faire pour relire efficacement ? Les élèves disent parfois : « Les profs, ils nous disent de relire nos leçons le soir mais moi, ça me sert à rien. Comment trouver des moyens de dire au cerveau que l’information lue, écrite, consultée et apprise est importante, qu’elle a de la valeur, de l’intérêt pour le long-terme… et qu’elle mérite donc d’être retenue ? 1. Une manière de signaler une information importante au cerveau est d’en parler, de jouer soi-même au professeur. J’ai rédigé un article consacré à l’art de (se) poser des questions pour apprendre : Apprenons aux enfants à se poser des questions. 2. Pour en savoir plus sur les flash cards, vous pouvez lire cet article : Technique de mémorisation et méthode de travail, les flash cards. 3. 4. Phrases exemples

staf11 - Concepts du cognitivisme - Mémoire à long terme Système qui stocke les informations en mémoire de manière définitive et qui, contrairement à la mémoire à court terme et à la mémoire de travail (mdt), a une capacité illimitée. C'est cet aspect de la mémoire que l'on nomme généralement la mémoire. Trois types de connaissances y sont stockées: les connaissance procédurales, les connaissances déclaratives (sémantiques et épisodiques), et les connaissances heuristiques (Sweller, 1994). Avant d’etre stockée en MLT, l’information passe d'abord en MdT. Des recherches ont démontré que les informations qui peuvent être reliées à des conceptions préalables sont plus facilement stockées que ceux qui n’ont aucun lien avec ces dernières. Exemple : Le fait de me souvenir du nom de mon professeur d’école primaire démontre que cette information est entrée en MLT.

12 applications mobiles de cartes à mémoriser Les cartes-mémoire (Flash cards) permettent d’apprendre et de mémoriser quasiment n’importe quel ensemble d'éléments : les mots ou les sons d’une langue étrangère, les régions d'un pays, les éléments chimiques, les codes HTML, les noms et visages de toute votre parenté éloignée, les espèces d’arbres ou d’insectes de votre environnement, en fait tout ce qui demande l’entraînement de votre mémoire exacte y trouvera profit. Il est possible de créer des cartes textuelles, audio ou avec des images, mais aussi de télécharger des ensembles existants et de les éditer au besoin. Des milliers de cartes et des dizaines d'applications de création de cartes sont mises à disposition par des utilisateurs, étudiants passionnés ou professeurs attentionnés. Dans certains cas, il est possible d’enrichir les cartes avec des informations structurées, d’apprendre selon divers modes : choix unique ou choix multiple et selon plusieurs niveaux de difficulté, dépendant du nombre de cartes à apprendre.

La mémoire - le « disque dur » de l’identité La mémoire permet de stocker les informations, les sensations perçues par l’organisme, soit provisoirement (mémoire immédiate) soit à long terme pour conserver des souvenirs et des connaissances acquises. Plusieurs régions du cerveau interviennent dans ce processus, grâce aux transmissions entre les neurones (cellules nerveuses) qui les constituent. À court terme La mémoire instantanée (sensorielle) ne dure que quelques fractions de seconde et concerne toutes les informations perçues par nos sens (visuelles, auditives, cutanées…). La mémoire de travail (immédiate) stocke des informations limitées en nombre (pas plus de 7 ou 8 éléments), et à court terme (quelques secondes). C’est par exemple un numéro de téléphone lu dans un bottin, un chiffre dans un calcul… À long terme La consolidation des informations permet de les stocker durablement, de constituer des souvenirs, des apprentissages réutilisables très longtemps après. Les différents systèmes • La mémoire déclarative (explicite).

En premier lieu… les méthodes de mémorisation efficaces. L’antique technique de mémorisation de Simonide de Céos, «le palais de mémoire», n’est qu’une des nombreuses techniques de mémorisation qui peuvent être mises à profit pour se rappeler de quelque chose. Cette méthode consiste à associer un lieu, fut-il imaginaire, à chaque élément dont on veut se rappeler. On a ensuite qu’à se référer au lieu pour retrouver l’élément. Simonide avait démontré le pouvoir de l’association pour la mémoire. Cette méthode a tellement été enseignée en enseignement «classique» qu’en ont découlé les locutions d’énumération «En premier lieu, en second lieu…etc. », qui facilitait la rétention des éléments importants des longs discours. Pourquoi ça fonctionne Une élément de connaissance est une relation que l’on fait entre au moins deux choses. Le premier élément concerne l’intention. Aujourd’hui, plutôt que de se limiter aux lieux, on a découvert que l’on peut mettre à contribution tous les sens et aussi les émotions pour créer des associations. Ne pas oublier

Arts de la mémoire : les principes de la mémorisation Quels sont les principes de mémorisation utilisés dans les arts de la mémoire ? Comment mémoriser des quantités d’informations sans se tromper ? Quel rôle peuvent encore jouer les arts de la mémoire à l’ère numérique ? Ce sont quelques questions que je me pose depuis quelques années. Et sur lesquelles je voudrais échanger avec vous au cours d’une nouvelle série d’articles. Les arts de la mémoire ont connu une longue éclipse avant d’être remis à l’honneur par les livres de Dame Frances Yates. Mais quels sont les principes qui ont été utilisés par les « mnémonistes » au cours des 3 derniers millénaires pour mémoriser tant des discours que des poèmes ou des formules de mathématiques ? Trois principes fondamentaux En fait, ces principes sont au nombre de 3. L’ordreL’associationLa répétition Sur la carte heuristique suivante, j’ai dessiné quatre branches : j’ai scindé « association » et « combinaison d’associations » pour une question de visualisation. 1. 2. Vous avez dit « bizarre » ? 3.

[Infographie] Apprendre à mieux apprendre - le blog de Solerni – plateforme de MOOCs Avec notre dossier « Sciences cognitives et apprentissages » nous avons noté votre intérêt pour les sciences cognitives et les clés qu’elles nous offrent pour mieux comprendre la manière dont notre cerveau gère nos apprentissages. Et plus particulièrement, comment fonctionne notre mémoire. Les progrès techniques et scientifiques dans le domaine des neurosciences, c’est l’opportunité pour chacun d’apprendre à mieux apprendre, notamment en développant des approches plus en phase avec ses potentiels mais également ses limites biologiques ou plutôt ses contraintes neuro-physiologiques ! Mais c’est d’abord mieux identifier les différentes étapes qui jalonnent l’apprentissage afin d’en optimiser le déroulement pour s’assurer d’ancrer durablement les compétences et les connaissances dont nous avons besoin. Rendez-vous la semaine prochaine, bonne lecture ! Crédits images de l’article et éléments de l’infographie @Freepik

Nos multiples mémoires Pour Francis Eustache, directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM), la mémoire est formée de cinq systèmes : une mémoire à court terme ou de travail, une mémoire à long terme plus complexe comprenant une mémoire procédurale (mémoire des automatismes), une mémoire perceptive (qui identifie des stimulus), une mémoire sémantique (mémoire des connaissances générales sur le monde au sens large, sur les concepts), une mémoire épisodique (la plus sophistiquée, la mémoire des souvenirs). Ces mémoires travaillent en interaction et non pas de façon isolée, elles ne sont pas figées car elles se modifient au fil du temps et des expériences. Ce vaste réseau permet de créer l’information en transformant des souvenirs en éléments sémantiques. Nous tentons ci dessous de représenter ces systèmes de mémoire.

Related: