Assurance : Neige: mieux vaut balayer devant sa porte. Un piéton qui chute devant un domicile peut se retourner contre le résident qui n'a pas déblayé la neige devant chez lui.
Neige : Ayrault fixe deux priorités, électricité et naufragés de la route. M.
Neige - Ayrault : "Encore 48 heures difficiles" Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a prévenu mercredi matin qu'il y avait "encore 48 heures difficiles" à passer même si "l'épisode neigeux est en train de s'estomper" et même si "la situation est sous contrôle".
"Je pense que vendredi les choses devraient aller mieux, en tout cas sur le plan météorologique", a ajouté Jean-Marc Ayrault, après avoir présidé mercredi matin une nouvelle réunion de la Cellule interministérielle de crise au ministère de l'Intérieur. "La situation est sous contrôle, l'organisation est au niveau de ce qui est nécessaire, mais la mobilisation doit rester d'une très grande intensité dans les jours qui viennent", a-t-il demandé. Selon lui, "dans ces 48 heures difficiles, le rétablissement de l'électricité est une priorité". Neige : Valls évoque deux "points noirs" Défilé de ministres dans les matinales pour communiquer sur la neige.
MINISTRES PARTOUT - Qu'on ne leur dise pas qu'ils ne sont pas MO-BI-LI-SÉS.
Au deuxième jour de l'épisode neigeux qui provoque de grave problèmes de circulations en France, le gouvernement veut montrer qu'il est sur le pont. Surtout après les premières attaques de Valérie Pécresse demandant une "commission d'enquête" sur la gestion de ces crises neigeuses en Ile-de-France. Après une prise en main directement par Jean-Marc Ayrault mardi, et deux interventions successives sur i>TELE et RTL pour assurer que la crise était "maitrisée", une "cellule de crise interministérielle" a été activée.
Dans les matinales de ce 13 mars, plusieurs ministres se sont donc succédés pour montrer leur implication. >> Jean-Marc Ayrault et Delphine Batho sur iTélé, Jean-Marc Ayrault et Manuel Valls, sur BFMTV. Neige et verglas : Delanoë prend les Parisiens pour des (flo)cons ! Article préalablement publié sur Delanopolis Pour tenter de se disculper du chaos qui règne depuis mardi dans les rues parisiennes, Delanoë a sorti la grosse artillerie communicationnelle.
Tout serait la faute de Dame Nature, les moyens mis en œuvre pour lutter contre ses caprices seraient exemplaires et les critiques injustes et même scandaleuses. Il suffit pourtant de mettre en perspective les faits avec les chiffres pour se rendre compte qu'un brouillard municipal épais accompagne cet épisode glacial. Neige : Pécresse réclame une commission d'enquête sur les transports. Neige et verglas: Bussereau décerne les bons et mauvais points dans la gestion gouvernementale.
Dominique Bussereau, ex-ministre des Transports, a jugé qu'il y avait eu, dans la gestion de la crise de la neige par les autorités, du «bon et du pas bon», et a redit que son parti ne demanderait pas d'enquête parlementaire.
Ok pour les airs, pas bon pour les rails Sur Canal +, le proche de Jean-Pierre Raffarin a distribué bons et mauvais points : «le bon, parce qu'on a les expériences depuis de nombreuses années, c'est l'aérien». Petite histoire politique de la neige. "On ne va pas faire de l'opposition sur la neige ou sur le soleil", lâchait l'UMP Dominique Bussereau mercredi matin sur Canal+.
Pourtant, son camp tente de relancer la polémique autour du manque d'information et de la mobilisation jugée tardive du gouvernement face aux intempéries. Des arguments entendus à de nombreuses reprises, à chaque tempête, canicule ou autre événement naturel imprévisible. De fortes chutes de neige touchent toujours le quotidien des Français, et donc des électeurs. Gouvernement et opposition ont donc souvent débattu sur ce sujet… quitte à répéter les mêmes arguments. En effet, l'UMP Valérie Pécresse, qui ne cache pas ses ambitions en vue des élections régionales en Ile-de-France, a attaqué bille en tête mardi, regrettant le faible nombre d'informations rendues disponibles par le gouvernement et également par le Stif, le Syndicat des transports franciliens présidé par le président socialiste de la région, Jean-Paul Huchon. Autre époque, autre méthode. La neige intelligente de France Inter. Ne confondons pas : il y a neige et neige.
Il y a la neige bête des télés, et la neige intelligente de France Inter. La neige bête des télés, je ne vous fais pas un dessin, vous pouvez imaginer sans même avoir besoin de vous planter devant le « 20 Heures ». Vous savez que Pujadas va introduire, dans cet ordre : 1) l’automobiliste ou le routier bloqués (« ils auraient quand même pu prévoir et saler la route, on est au XXIe siècle ») ; 2) le voyageur SNCF laissé à quai (« ils auraient quand même pu nous informer, c’est à chaque fois la même chose ») ; 3) le glisseur ou la glisseuse de trottoir, ou l’enfant qui va en luge à l’école, parce qu’il ne faut tout de même pas oublier de sourire. A France Inter, qui porte haut l’oriflamme du service public, on sent qu’ils ont réfléchi au sujet. Communiqué de Frédéric CUVILLIER : L'épisode neigeux entraîne de fortes perturbations dans les transports. Un épisode neigeux d'une intensité exceptionnelle, accompagné d'un fort vent, est en train de traverser la France et provoque d'importantes perturbations dans les transports, en particulier sur certaines routes et autoroutes du tiers nord de la France, mais aussi sur certaines lignes ferroviaires.
Frédéric Cuvillier adresse une pensée à tous les voyageurs en difficulté, notamment aux automobilistes qui sont coincés sur des axes routiers ou autoroutiers, bloqués par des accidents sur lesquels il est très difficile d'intervenir en raison des conditions climatiques. Il salue la disponibilité et la solidarité de tous ceux, agents des services publics ou particuliers, qui se mobilisent pour leur venir en aide. Le ministre en charge des transports demande aux automobilistes des régions concernées de se renseigner avec précision avant d'envisager un déplacement, de le reporter si les conditions sont difficiles, et de ne pas prendre la route si les conditions de circulation sont impossibles. Episode neigeux : communiqué de presse de la cellule interministérielle de crise.
Le Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, a présidé ce matin, aux côtés de Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, à l’hôtel de Beauvau une réunion de la cellule interministérielle de crise activée pour faire face aux conséquences des intempéries.
La gestion opérationnelle de cet évènement est conduite par le ministère de l’Intérieur. La coordination locale des secours, des services publics et des collectivités territoriales s’effectue sous l’autorité des préfets des zones de défense Ouest, Nord et Ile-de-France. Les services de l’Etat sont pleinement mobilisés afin de venir en aide à toutes celles et ceux concernés par cet évènement météorologique d’une importance exceptionnelle. Neige : une France vitrifiée dès les premiers flocons. De quel climat rigoureux souffre donc la France lorsque quelques centimètres de neige viennent s'amonceler sur le sol ? À chaque épisode neigeux, où l'on nous explique que le blizzard venu du pôle Nord attise encore une froidure inhumaine, il semble que le réchauffement promis de la planète soit reporté à plus tard. Et que la chute des températues s'apparente momentanément à la météo du nord du Canada, de la Norvège ou de la Sibérie réunis.
Comment, alors que les services de la météo préviennent depuis samedi de cette attaque hivernale, a-t-on pu se retrouver hier dans le Nord-Ouest avec des axes routiers principaux impraticables ? Vitaux pour l'irrigation économique du territoire, ils ont contraint bon nombre de Français piégés à renoncer à un déplacement ou à courir tous les risques jusqu'à parfois passer la nuit bloqués dans leurs voitures. Mais au moins ont-ils exercé leur libre arbitre. Prise d'otages Bien sûr, M. Neige, verglas : une telle pagaille aurait-elle pu être évitée ?