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Gestion de crise

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Www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Communiques_et_dossiers_de_presse/Documents/Gestion_de_crise. Retour sur Fukushima : "On ne ment jamais en communication de crise" En situation de crise, faut-il tout dire aux populations ?

Retour sur Fukushima : "On ne ment jamais en communication de crise"

Toute vérité est-elle bonne à porter à la connaissance du plus grand nombre ? Www.visiatome.fr/Local/visiatome/files/488/Impacts.sanitaires.de.Tchernobyl.et.Fukushima.par.Roland.Masse..le.07.02.2012.pdf. Www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Communiques_et_dossiers_de_presse/Documents/Gestion_de_crise. Retour sur Fukushima : "On ne ment jamais en communication de crise" Retour sur Fukushima : "On ne ment jamais en communication de crise" Le premier ministre japonais reprend la main dans la gestion de la crise de Fukushima. Face à la gestion défaillante de Tepco, Tokyo impose ses exigences à la compagnie d’électricité.

Le premier ministre japonais reprend la main dans la gestion de la crise de Fukushima

Le premier ministre japonais Shinzo Abe a demandé à la compagnie Tokyo Electric Power (Tepco) de prévoir le démantèlement des réacteurs 5 et 6 de la centrale de Fukushima sinistrée après le tsunami du 11 mars 2011, lors d’une visite sur place jeudi 19 septembre. Jusqu’à présent, le calendrier de démantèlement adopté par Tepco concernait les seules unités 1 à 4, sans que rien n’ait été décidé pour les réacteurs 5 et 6, un peu à l’écart et relativement peu endommagés.

Les enjeux du démantèlement de la centrale Il n’était pas envisagé de relancer ces deux réacteurs abîmés, mais Tepco supportant déjà des coûts colossaux pour démanteler les quatre premiers réacteurs, avait reporté leur destruction. Gestion de crise nucléaire au Japon. Alors que la perte de confinement de l'enceinte principale du réacteur n°2 de la centrale de Fukushima Daiichi est désormais avérée, le Japon est paralysé, faisant face à des difficultés d'approvisionnement et au dévissage de son économie.

Gestion de crise nucléaire au Japon

Processus en cours de « fusion » du coeur dénoyé dans les réacteurs à eau bouillante 1 à 3 de la centrale de Fukushima Daiichi, incendie dans une piscine de refroidissement contenant le combustible usé récemment déchargé du réacteur numéro 4... Cinq jours après le tremblement de terre de magnitude 9 et le terrible tsunami qui s'en suivit, force est de constater que rien ne parvient encore à stabiliser cette nouvelle catastrophe nucléaire pour le Japon et le monde entier. En attendant, depuis lors, les secousses sismiques continuent et les Japonais craignent de vivre « The big one » millénaire.

Gestion de Crise. S’il est de leur devoir d’informer la population des risques auxquels elle est exposée, les journalistes ne se limitent désormais plus à couvrir ou relater des faits.

Gestion de Crise

Il devient aujourd’hui quasi-inévitable qu’un risque déclaré se transforme très rapidement en une crise médiatique mettant en cause de nombreux acteurs. Et ce d’autant plus que l’information touche à l’environnement, à la sécurité alimentaire ou sanitaire. L’émotionnel et le sensationnel prenant le pas sur l’information. La question de la responsabilité, voire la recherche du coupable, devient alors le centre d’une polémique qui enfle d’autant plus que les déclarations sont maladroites, contradictoires, insuffisantes, hautaines, voire mensongères et contredites par de nouvelles révélations ou par le « fact-checking » réalisés par les médias et les observateurs.

Ce haut niveau d’incertitude caractérise presque toujours la situation initiale d’une crise. Fukushima : le rapport d’enquête dénonce une cascade de défaillances. Les ruines du bâtiment qui abritait le réacteur n°3 de la centrale de Fukushima (Reuters/Kyodo) « Il est inexcusable qu’un accident nucléaire n’ait pu être géré parce qu’un événement majeur tel que le tsunami n’a pas été anticipé. » Tel est le ton sans concession adopté dans le rapport de la commission indépendante, dont une version intermédiaire a été publiée le 26 décembre.

Fukushima : le rapport d’enquête dénonce une cascade de défaillances

Certes, personne ne pouvait imaginer qu’une vague de 15 mètres recouvre la centrale nucléaire de Fukushima Dai-ichi et transforme le périmètre des 20 km à la ronde en zone morte. Mais à la lecture de ce qu’écrit la commission d’enquête sur les accidents à la centrale nucléaire de Fukushima, on voit que l’impréparation était réelle, et que les responsabilités sont partagées par Tepco et le gouvernement japonais. Mandatés le 24 mai, les experts ont mené 456 entretiens et rendront leur rapport définitif à la mi-2012.

Que faut-il retenir ? Fukushima : le rapport d’enquête dénonce une cascade de défaillances. Gestion de crise. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Gestion de crise

Conséquences d'un ouragan. Situation de crise. Un évènement redouté par les prospectivistes est la crise parfaite (parfois métaphoriquement qualifié d'ouragan parfait) ; c'est la crise majeure et ultime (collapsus global) incluant un collapsus écologique ou une guerre mondiale, qui pourrait par exemple être induit par la conjonction de plusieurs facteurs de qui naîtrait de la conjonction en un même temps d'une crise sociale, d'une crise financière et/ou économique et d'une crise environnementale (crise écologique + crise climatique, avec dépassement de certains seuil d'irréversibilité (définitive ou à échelle humaine de temps) en matière de surexploitation des ressources naturelles et/ou de dérèglement climatique.

Un tel scénario-catastrophe était encore considéré comme très improbable ou complètement irréaliste par les gouvernants anglais et leurs conseillers en 2007. Fukushima: l'AIEA critique la gestion de la crise. L'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) remet en cause la gestion de la crise de Fukushima par les autorités nippones.

Fukushima: l'AIEA critique la gestion de la crise

L’AIEA a demandé par écrit à l’Autorité de régulation japonaise pourquoi celle-ci a distingué officiellement une récente fuite d’eau radioactive alors que de nombreux incidents de ce type ne l’ont pas été auparavant. La semaine dernière, l’Autorité japonaise avait évalué au niveau 3 sur l'échelle internationale des événements nucléaires (Ines) - "incident grave" - une fuite de 300 tonnes d’eau radioactive depuis un gigantesque réservoir cylindrique à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, accidentée en mars 2011 après un séisme et un tsunami. Cette évaluation a été confirmée mercredi. L’AIEA s’interroge sur la façon dont les autorités entendent expliquer au public et aux médias "pourquoi ils veulent noter cet événement, tandis que des faits similaires précédents ne l'ont pas été". Selon l’Agence, cette fuite n’a été qu’un énième problème du genre. Suite 44). Le scandale de l'iode : Sciences et Avenir. Mardi 11 octobre.

Triste commémoration. Sept mois après les débuts de la catastrophe de Fukushima le 11 mars, ont commencé (dimanche 9) les examens de la thyroïde des 360 000 enfants de la province. Un contrôle systématique qui avait été annoncé lors d’une réunion spéciale le 24 Juillet à la préfecture de Fukushima (voir la note de blog du 5 août (1)) et devrait durer… pendant toute la vie de ces jeunes. On comprend que ces examens soient prioritaires, vu la séquence des événements (2), aujourd’hui revisitée. Comme nul ne l’ignore plus, de l’iode radioactif s’est échappé massivement dès les premières heures de la catastrophe. Problème majeur : aucune contremesure spécifique n’a été prise à ce moment crucial. Comme le rappelle le quotidien américain, ce n’est pas que les pilules en question aient manqué, (il y en aurait d’ailleurs toujours des stocks inemployés et désormais devenus inutilisables) mais que des autorités locales, déboussolées, n’aient par exemple pas su quoi en faire.

Fukushima : l'AIEA juge "exemplaire" la gestion de crise mais pointe des risques "sous-estimés" Les experts de l'AIEA, après avoir passé une semaine au Japon, ont rendu un rapport préliminaire contrasté.

Fukushima : l'AIEA juge "exemplaire" la gestion de crise mais pointe des risques "sous-estimés"

S'ils valident la réponse apportée par les autorités, ils sont nettement moins positifs s'agissant de l'évaluation initiale des risques. Mercredi 1er juin 2011, un groupe d'experts de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a rendu un rapport préliminaire louant la réponse apportée par Tepco, l'opérateur de la centrale de Fukushima, et les autorités japonaises, suite à la catastrophe.

Cependant les spécialistes issus de 12 pays jugent que l'évaluation et la prévention des risques ainsi que l'indépendance des autorités de sûreté doivent être améliorées. Le groupe, formé par l'AIEA et chargé "de tirer les enseignements de l'accident susceptibles d'aider à améliorer la sûreté nucléaire partout dans le monde", s'est rendu au japon du 22 au 30 mai avec en point d'orgue une visite de la centrale accidentée. Une réponse "exemplaire" Mieux prendre en compte les risques. Fukushima : des vidéos confirment une gestion de crise défaillante.