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QUICK, bientôt un cas d’école de eReputation négative et de mauvaise gestion du community management?

QUICK, bientôt un cas d’école de eReputation négative et de mauvaise gestion du community management?
La situation rencontrée ce week end avec l’annonce du décès d’un adolescent et le rapport éventuel avec ce qu’il aurait consommé dans un Fast-Food Quick est un nouvel exemple de l’impact du web en temps réel sur l’image d’une marque. Si l’équipe de communication sera certainement sur le pont lundi matin, il sera très intéressant d’observer la démarche qui sera adoptée ou nom par la marque sur le web et les réseaux sociaux. Car si les premiers impacts de cette affaire sur l’eReputation de Quick ne se sont pas faits attendre, on ne peut pas dire que l’entreprise fasse preuve ces derniers temps d’une gestion exemplaire de ses communautés web si l’on en juge par le contenu de sa page Facebook. En effet, à la lecture de cette page Facebook, on peut se demander s’il y a un pilote dans l’avion. Lorsque des critiques sont émises sur le Quick d’une ville et de son directeur, aucune réaction ni aucune question ne sont posées par Quick: Bien sûr, nous ne leur souhaitons pas. A suivre donc… Like this:

"L'affaire Quick, ou les risques d'un dialogue social externalisé sur le Web" Si vous avez échappé à l'affaire Quick qui anime Twitter et les réseaux sociaux depuis des semaines comme la presse depuis quelques jours, c'est que vous vivez très loin des soubresauts de la société française. En résumé, un compte au nom de @equipierquick s'épanche depuis début novembre sur les conditions de travail, l'hygiène du restaurant, ainsi que son management, et, au fur et à mesure, voit le nombre de gens qui le suivent augmenter. Tout cela serait resté assez anecdotique et confidentiel sans une interview de Slate, site Web d'information très connu. La machine est alors lancée et d'autres articles vont suivre, tandis que le nombre d'abonnés au compte @equipierquick augmente significativement. Quick est alors amené à réagir devant les attaques répétées sur sa réputation, tant comme employeur que comme enseigne de fast-food. Or pour Quick, c'est un problème à dominance RH qui est devenu un problème de communication digitale.

Ressources humaines | Le groupe Quick Avec 19 000 collaborateurs travaillant pour l’enseigne et l’ouverture de nombreux restaurants chaque année, bien recruter et bien former sont essentiels pour Quick. Soucieux d’offrir à ses salariés de réelles opportunités de carrière, nous veillons, dès le recrutement, à la détection de potentiels et proposons des formations adaptées. Depuis les débuts, le savoir-faire Quick repose sur la transmission de valeurs fondamentales dans la restauration : le service client, l’hygiène, la sécurité et la qualité. En créant l’Institut Quick, nous nous mobilisons pour promouvoir tous les talents et intensifier la diversité du recrutement. Promoteur de talents depuis sa création Nous croyons en la richesse des hommes, c’est pourquoi nous mettons tout en œuvre pour assurer à chacun un emploi et une formation de qualité. Pour que chaque salarié trouve sa place, la formation chez Quick commence dès le premier jour. L’Ecole du Management Faire confiance aux compétences Révéler le potentiel de chacun*

Communication de crise : le cas de Quick après le décès d’un adolescent - mathildeheureuse sur LePost.fr (19:51) En entendant parler de cette affaire tous azimuts, j’ai voulu m’intéresser à cette gestion de crise et étudier le cas Quick. Rappelons d’abord la définition d’une crise. Selon Le Petit Robert, une crise est une « phase grave dans l’évolution des choses, des événements et des idées caractérisée par un changement subit et généralement décisif ». En d’autres termes, c’est un évènement inattendu mettant en péril l’existence ou la réputation d’une organisation. Les caractéristiques de la crise sont son ampleur, l’immédiateté de l’attention requise, et la nécessité de s’occuper du problème. Mon billet sera construit de la manière suivante. Les faits Une famille prend son repas vendredi soir (le 21 janvier 2011) dans un restaurant de l’enseigne de restauration rapide, situé dans la zone commerciale Cap Sud, sur la nationale 7 en périphérie d’Avignon. Conséquences Quoi qu’il en soit, l’autopsie n’a pas encore permis de déterminer si la mort de l’adolescent était due au menu de Quick.

La campagne de communication de Quick pour sauver son image Un adolescent de 14 ans ayant consommé un repas dans un établissement Quick d’Avignon le 21 janvier 2011 est décédé le lendemain d’une toxi-infection alimentaire collective (TIAC). Plusieurs autres personnes, dont des membres du personnel ont également été infectés. Un événement, qui, outre les conséquences dramatiques pour la famille et l’entourage de la jeune victime, porte une sérieuse atteinte à l’image de la chaîne de restaurants. Comment Quick s’est organisé pour lutter contre une stigmatisation négative de son image suite à ce triste drame? Revenir sur une problématique plus ancienne qui est celle de la vente de Quick à la CDCCI (Caisse des Dépôts et Consignations Capital Investissement) en 2006 n’est pas dénué de sens. Deuxième coup dur pour Quick, et plus dramatique humainement, le décès, consécutif à la prise d’un repas dans un restaurant Quick d’Avignon, d’un jeune homme. Une baisse de 30% de la fréquentation est constatée dans le restaurant d’Avignon. Stéphane Mortier

Quick est en crise : décryptage de sa communication - Immersion médiatique Nous l’avons appris la semaine dernière, un adolescent de 14 ans est mort d’une intoxication alimentaire suite à un dîner dans un fast-food et c’est le nom de Quick qui est au cœur du scandale. La nouvelle touche des millions de consommateurs de fast-food, le fait divers a évidemment été repris dans tous les médias. Quand l’AFP, la radio, la télévision et la presse écrite s’en mêlent, c’est le début d’une crise médiatique. Face à cette situation d’urgence, Quick a dû faire face à la presse pour rassurer les consommateurs, c’est ce que l’on appelle la communication de crise. Alors la polémique aurait pu se dissiper mais c’était sans compter sur le pouvoir de la presse. Le fantasme de l’empoisonnement plane au-dessus de cette affaire, et ce n’est pas sans rappeler celle de la vache folle et Buffalo Grill en 2002. Commentaires sur Quick est en crise : décryptage de sa communication

Quick: Baisse des ventes en France de 6,24% en 2011 après la mort d'un client Le groupe de restauration rapide Quick a vu son chiffre d'affaires reculer de 6,24% à 761,2 millions d'euros en 2011 en France, un repli «directement lié», selon son PDG, à l'impact du décès d'un adolescent peu après un repas dans un fast-food de l'enseigne à Avignon. Conséquences directes Le groupe, qui s'était jusqu'ici refusé à publier le moindre chiffre sur l'impact en termes de fréquentation et d'activité, a confirmé une information du magazine professionnel France Snacking publié vendredi. «Après avoir baissé à partir de février, les ventes se sont redressées régulièrement jusqu'à atteindre en décembre un équilibre par rapport à 2010, conformément à notre plan de marche», a-t-il ajouté. Le 22 janvier 2011, un adolescent de 14 ans était décédé au lendemain d'un repas pris dans un Quick à Avignon. Un dysfonctionnement local Le parquet d'Avignon n'a pas fait de commentaires, indiquant que l'instruction était toujours en cours. Avec AFP

Communication de crise : le cas de Quick Il est possible que la crise de Nestlé ait fait prendre conscience à quelques dirigeants qu’une crise “structurelle” pouvait éclater sur les médias sociaux. Quick n’a d’ailleurs géré la sienne que sur facebook. Tout y a été inscrit à la manière d’un carnet de bord, avec un maximum de transparence, pour informer les clients présents sur la plateforme sociale. Le but était bien sûr d’empêcher un boycott de Quick qui aurait pu débuter sur Facebook. Cet article aura pour but de présenter la situation initiale, les mesures prises par Quick et enfin les conclusions qu’on pourrait en tirer. Rappel des faits Une famille prend son repas le vendredi 21 janvier soir dans un restaurant Quick en périphérie d’Avignon. Évidemment, l’histoire est reprise dans tous les médias. Une autopsie est pratiquée pour déterminer la cause du décès et montre que Benjamin est mort d’un « double œdème, cérébral et pulmonaire». Réactions de Quick Le 25, une deuxième conférence de presse a lieu. source

Communication de crise & gestion de crise - Mediatique, sociale, sanitaire, environnementale, politique Les experts en communication de crise décryptent la stratégie de l’entreprise… Une semaine après la mort d’un adolescent qui avait dîné la veille dans un restaurant Quick d’Avignon, de nombreuses questions restent en suspens. La thèse de l’intoxication alimentaire est toujours privilégiée par le procureur d’Avignon, mais celle-ci n’est pas en mesure d’établir ou non un lien avec la nourriture du restaurant. «Nous entrons aujourd’hui dans une nouvelle phase de la crise», décrypte pour 20minutes.fr Didier Heiderich, président de l’Observatoire international des crises et consultant en gestion de crise. «Dans tout crise, après la séquence de l’émotion vient la séquence de questionnement», poursuit-il. «Même si rien ne prouve qu’elle est en tort, il y aura assurément des conséquences pour l’entreprise. Communication offensive «Pour sortir de la période de ce flou, Quick a décidé de lancer tout de suite la polémique, qui est le troisième temps d’une crise», analyse Didier Heiderich.

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