Entrepreneuriat social vs Social Business. Dimanche 1 mai 2011 7 01 /05 /Mai /2011 19:17 Oui, je sais je suis une empêcheuse de tourner en rond, une coupeuse de cheveux en quatre, en un mot : une emmerdeuse !
Non contente d'avoir ulcéré les caciques de l'économie sociale et solidaire avec mes vélléités de dialogue interconfessionnel ouvert sur les tenants de l'économie classique, ne voila-t-il pas que je m'acharne à pointer la différence criante qui existe entre "entrepreneuriat social" et "social business" ?! Et pourtant, je persiste et signe, en répétant que : "Non ! Le premier n'est pas la traduction du second... " Ca énerve, mais c'est un fait. Et comme il n'est à mon sens, pire travers que l'approximation intellectuelle, je vais une fois encore enfoncer le clou. Le "social business", comme j'ai pu l'expliquer longuement sur ce blog, ou lors de conférences, appartient bien à la mouvance connue en France sous le nom d' "entrepreneuriat social" mais elle n'en recouvre pas tout le champ d'action, loin s'en faut... Emmaüs Défi - La Téléphonie Solidaire.
La Téléphonie Solidaire a pour mission de permettre un accès plus juste et durable aux télécommunications pour les personnes rencontrant des difficultés financières, afin de favoriser leur insertion tout en créant du lien social. Elle repose sur deux volets : une offre solidaire de téléphonie mobile, et un accompagnement personnalisé sur les dépenses et besoins téléphoniques. A l’heure où les télécommunications sont devenues un outil essentiel pour l’insertion des personnes, elles coûtent particulièrement cher aux plus démunis, qui y consacrent une part conséquentes de leur budget (de 10 à 30% contre 4% pour la moyenne des français). Les offres les plus attractives restent inaccessibles aux personnes particulièrement touchées par la précarité (20% de nos bénéficiaires n’ont ni compte bancaire courant, ni livret A), ce qui aggrave leur situation d’exclusion.
Lutter contre la grande exclusion et l’isolement: - Le cadre convivial de la Téléphonie Solidaire. - Pouvoir activer son réseau. Définition Social Business. 33 Entrepreneurs Who Make This World A Better Place. We have interviewed more than 600 people here on IdeaMensch and gotten to know and hopefully introduced you to some amazing people.
Here are 33 people we have interviewed who are changing the world for the better. There is no ranking. There is no competition. And there is no scientific formula; just great people we’ve gotten to know through IdeaMensch who we want to share with you. There are social entrepreneurs, nonprofit leaders, an investor, a soldier, animal rights advocates, authors and even a reverend on our list. Do you know someone who is making the world a better place? 1. Marc Nager is the CEO of Startup Weekend, a nonprofit organization that hosts events in which developers, designers, marketers, product managers and startup enthusiasts come together to share ideas, form teams, build products and literally launch an actual startup over the course of 54 hours. 2.
Emily May is an international leader in the anti-street-harassment movement. 3. 4. 5. 6. L’immobilier vu du cœur. Election : 40 projets pour changer d’ère. On vous épargnera les résultats de sondage – on en fait tous une overdose – qui montrent que les Français ont trouvé la campagne déplorable.
Vous aussi, elle vous a déçus ? Déprimés ? Comme si les candidats à la présidentielle ignoraient ce que nous sommes en train de vivre, au quotidien : un réel changement de civilisation. Comme s’ils s’agrippaient aux restes d’un monde à l’agonie, en faisant mine d’ignorer qu’un nouveau s’annonce. Le défi à relever est trop grand, alors, surtout, ne le regardons pas en face, restons campés sur le court terme. Nous avons cette chance, rare, de rencontrer, d’interpeller, de questionner des individus capables d’affronter l’angoisse qu’inspirent à tous ce changement d’ère et ses catastrophes économiques et écologiques potentielles.
Du phalanstère aux entrepreneurs sociaux Non, nous ne sommes pas en train de prendre nos désirs pour des réalités. Des initiatives à 50 millions d’euros Mais les défis de notre époque font surgir une nouvelle génération.