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Veille - Initiatives

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La plateforme solidaire pour les Cafés en attente ! Un étudiant tente de lancer une journée de solidarité pour les SDF. Othman Baccouche, étudiant au grand cœur, souhaite lancer une journée internationale de solidarité pour les SDF : le « Helping day » qui serait mensuel. Au-delà de la solidarité, Othman insiste sur l'urgence à retrouver notre part d'humanité. Un projet mené sans demande de don et via les réseaux sociaux. La page Facebook du jeune homme de 23 ans compte déjà 3300 membres. L'idée est simple : chaque mois, le jour du « Helping day », il faudra tout simplement voir, écouter, parler à ceux que l'on ignore souvent dans la rue, les SDF. Mardi 10 Mars 2015, 11h54 Othman Baccouche, étudiant au grand cœur, souhaite lancer une journée internationale de solidarité pour les SDF : le « Helping day » qui serait mensuel. 50 applications Android incontournables. Jusqu’à récemment, Android ne proposait pas de service de sécurité de ses appareils comme iCloud pour iOS ou BlackBerry Protect pour BlackBerry OS.

Il fallait, pour cela, passer par une application tierce comme Avast ou Lookout. Néanmoins, en août 2013, Google a publié sa propre solution maison : le gestionnaire d’appareils Android. Celle-ci se base sur les appareils associés à votre compte Google et vous permet, depuis un smartphone, une tablette, ou un PC, de localiser un de vos appareils à l’aide du GPS et de la triangulation mobile, mais aussi de le faire sonner en cas de perte. Surtout utile en cas de vol, le service vous propose de verrouiller un appareil à distance en réinitialisant le mot de passe, ou d’en effacer le contenu et les données.

Verdict : Arrivée tardivement, la solution de Google pour Android s’avère toutefois assez complète. Note : 4/5. La givebox, la boîte qui donne de la générosité. Inventée à Berlin il y a trois ans, la Givebox (littéralement « boîte à donner ») s’est propagée un peu partout dans les rues de la ville. Son principe est basé sur l’échange, on y dépose ce dont on ne se sert plus et on y prend ce qui nous intéresse. Depuis, elle est apparue au Canada, en Espagne, en Angleterre mais aussi en France dans des lieux associatifs ou culturels. Ce phénomène qui est amené à se développer est révélateur d’une grande part des citoyens de vouloir « consommer durable ». La première Givebox En 2011, Andreas Richter, un jeune styliste berlinois, voulait se débarrasser d’objets dont il ne se servait plus.

Il construisit lui-même cette cabine qu’il aménagea avec quelques étagères et y entreposa les objets qui encombraient son appartement. Donner pour ne pas jeter Dans une givebox on trouve de tout. -> Un objet donné est un objet de moins à la poubelle. Comment installer une Givebox ? Communiquez sur le don Lisez également sur le don : Nous & Co : petits actes de consommation collaborative entre voisins, à Nantes. La photo comme outil de réinsertion sociale. Vingt-sept de leurs clichés font l’objet d’une exposition sur les pourtours de l’Hôtel de Ville. « Cela représente l’espoir ! » Lorenzo Barranco, 55 ans, interprète sa photo intitulée Au bout, la lumière, affichée sur les grilles de l’Hôtel de Ville de Paris. Le photographe l’a prise de l’intérieur d’un tunnel étroit et arc-bouté où passent les promeneurs, sur les quais de la Seine, au pied de la place de la Concorde. 13 démunis dans les rues de la capitale Lorenzo Barranco suit actuellement un programme de réinsertion professionnelle et sociale.

Les participants ont été sélectionnés par Deuxième marche, une association d’aide aux SDF créée il y a quatre ans. Un travail utile Chacun a reçu un appareil photo neuf et une brève formation technique. Lorenzo Barranco est l’auteur de trois de ces clichés. Une valorisation sociale Sa photo La Salle de bains, en particulier, prend ainsi tout son sens. Échanger avec ses voisins grâce à une boite. Les initiatives personnelles d’aide aux SDF se multiplient. Devant la multiplication de ces initiatives, le Samu Social va réunir tous ces acteurs pour coordonner leurs actions. Deux thermos de soupe, quelques plats préparés, des écharpes et une pile de chaussettes offertes par un proche commerçant… Baptiste et Yacine chargent les deux caddies, des vêtements chauds dans l’un, des victuailles dans l’autre. Charlène enfile un gros pull et des gants. Il est vingt heures, le trio peut entamer sa tournée du Vieux-Lille où les sans-abri sont de plus en plus nombreux.

> À (re) lire : Le plan anti-pauvreté du gouvernement ne prend pas sur le terrain Humanisme et engagement citoyen Trois soirs par semaine, la fine équipe se lance ainsi dans des maraudes qui durent souvent jusqu’à minuit. . « J’ai eu envie d’y aller. Visage d’ange encadré par une tignasse blonde, une voix toute douce, elle a été à bonne école. « Quand j’étais petite, maman m’emmenait en voiture distribuer mes vêtements trop petits et mes jouets. » Chaîne de solidarité Spontanéité Florence Quille. La Boîte à Jouer. La Louve, futur supermarché collaboratif à Paris. De mémoire d’Homme, les loups n’ont plus été vus à Paris depuis l’Ancien régime. Pourtant, une louve pourrait bientôt faire son apparition dans la capitale. Ou plus exactement La Louve. Derrière ce nom, se cache le projet d'un supermarché collaboratif à but non lucratif, vendant des produits de qualité à "bas prix".

Aux manettes de cette initiative, deux Américains: Tom Boothe et Brian Horihan. "Offrir" trois heures par mois à la coopérative Comment cela fonctionne-t-il? Afin de garder les prix bas, Tom et Brian ont opté pour le même modèle que celui mis en place aux Etats-Unis: les membres de la coopérative doivent fournir trois heures de leur temps chaque mois, aux postes de leur choix. > Découvrez ce reportage réalisé à Park Slope Food Coop, à New York: Déjà 350 souscripteurs Depuis 2010, le projet a bien évolué. Fin 2013, le groupement d’achats a investi ce local, rue de la Goutte d’Or, dans le 18e arrondissement de Paris. Plus de 100.000 euros à réunir avant la fin de l'année. Quels usages pour la smart city (ville intelligente) ? Demain la Ville. BlaBla-Tram réinvente les processus de démocraties participatives. Crédits : Katel Le Bihan, Estelle Thébault – Ecole de Design Nantes Atlantique Et si l’on se servait de la ville connectée pour faciliter les interactions entre le citoyen et sa ville ?

C’est le projet imaginé par Katel Le Bihan et Estelle Thébault. Pour récolter la parole du citoyen, elles ont pensé intégrer un système connecté dans les transports en commun, un appareil qui vient chercher la parole de l’usager où il se trouve. BlaBla-Tram, nom donné au projet, réinvente donc le concept de citoyenneté en incitant à la participation. L’îlot connecté Capter et utiliser les données d’un îlot pour sensibiliser et améliorer la gestion de l’énergie.

Avec l’îlot connecté, Iris Devais et Alice Le Mouël proposent une gestion intelligente d’un ensemble d’immeubles. Les potentiels du pervasif Après Sao Paulo, c’est désormais Grenoble qui a décidé de retirer les publicités de son espace urbain.