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Aspect économique

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L'idée choc étudiée en Islande : et si on retirait aux banques la capacité de créer de la monnaie ? Décidément, l'Islande est le pays de la créativité financière.

L'idée choc étudiée en Islande : et si on retirait aux banques la capacité de créer de la monnaie ?

Après avoir montré, en 2009, qu'il existait bien une alternative au transfert de la dette bancaire vers la dette publique, l'île nordique pourrait s'apprêter à réaliser une grande expérience monétaire. Le 31 mars dernier, en effet, le président du comité des affaires économiques de l'Althingi, le parlement islandais, Frosti Sigurdjonsson, a remis un rapport au premier ministre, Sigmundur Gunnlaugsson, sur la réforme du système monétaire islandais. Et c'est une véritable révolution qu'il propose.

L'absence de maîtrise de la banque centrale sur le système monétaire. Iceland looks at ending boom and bust with radical money plan. L'Islande annule les dettes de ses ménages. La Finlande annonce officiellement qu'elle préfère sortir de l'euro plutôt que de payer les dettes des autres. NOUVEAU COUP DE THÉÂTRE SUR L'EURO-TITANIC !

La Finlande annonce officiellement qu'elle préfère sortir de l'euro plutôt que de payer les dettes des autres

Le bobard de "l'Apocalypse en cas de sortie de l'euro" s'effondre. Mme Jutta Urpilainen, ministre finlandaise des finances. Le mythe de l'Islande anticapitaliste et révolutionnaire : les faitsNo Comment. Parce que je suis fatigué que vous répandiez des contre-vérités Puisque les gens continuent de répandre les allégations douteuses que l’Islande « a dit aux créanciers et au FMI d’aller se faire voir, a nationalisé les banques, a arrêté les fraudeurs, a réalisé des allègements de dette et est maintenant en très forte croissance, merci », il m’apparaît que je dois écrire cet article.

Le mythe de l'Islande anticapitaliste et révolutionnaire : les faitsNo Comment

(Cet exemple précis vient de Twitter, mais est presque identique, mot pour mot, au classique mantra « l’Islande est une utopie économique » qui se répète ad nauseam.) Parce que, pour quelque raison, les gens ne croient pas les Islandais lorsqu’ils disent que ce qui précède n’est pas tout à fait la réalité dont la plupart des Islandais font l’expérience. L’Islande donne une leçon de démocratie au reste du monde en affrontant le système bancaire.L’exemple typique de message que l’on retrouve sur les réseaux, totalement démenti par l’auteur. 1.

Non, ce n’est pas le cas. (Trop de choses à lire ? 2. Oui et non. 4. 5. La leçon de capitalisme de l'Islande - RTBF Opinions. Devenue célèbre pour avoir dit non par deux fois à un référendum sur le remboursement de sa dette vis-à-vis du Royaume-Uni et des Pays-Bas, l’Islande est devenu l’élève modèle des Indignés et de certains économistes.

La leçon de capitalisme de l'Islande - RTBF Opinions

Mais l’histoire de la crise islandaise demeure largement mal interprétée. Contrairement à la Grèce, la dette de l’Islande n’est pas liée à une mauvaise gestion des comptes publics, mais à ses banques. Avant 2008, les établissements islandais pratiquaient le 'carry trade', une technique de spéculation qui consiste à emprunter de l’argent dans une devise peu chère comme le yen pour effectuer des placements dans une devise offrant des taux d’intérêts plus élevés, en l'occurrence la couronne islandaise. Islande: Moody's relève la perspective de "négative" à "stable" - Flash actualité - Economie - 08/02/2013. ISLANDE : laisser les banques faire faillite pour sortir de la crise. L’histoire de l’Islande ces deux dernières décennies illustre la possibilité de redresser l’économie et la démocratie d’un pays en s’affranchissant du Diktat financier.

ISLANDE : laisser les banques faire faillite pour sortir de la crise

En effet, en refusant de payer les dettes contractées par les banques privées, l’état et les citoyens islandais ont ouvert une voie dont de nombreux pays pourraient s’inspirer…Voie ayant aboutie à la mise en place d’une constituante venant du peuple et actant la mise en faillite des banques jugées responsables de la crise. Quand bien même cette démarche semble a priori plus aisée à mettre en oeuvre dans un pays de 300 000 habitants que de 60 millions, l’Audible tient à détailler les événements l’ayant permis.

D’un essor paisible au chaos financier. Pendant 800 ans sous tutelle norvégienne, puis danoise, l’Islande est une république parlementaire indépendante depuis 1944. La « révolution démocratique » en Islande tient du fantasme. S’il a choisi des solutions originales après l’effondrement de son économie, le pays n’est pas devenu un paradis anticapitaliste.

La « révolution démocratique » en Islande tient du fantasme

Johanna Sigurdardottir, premier ministre islandais, lors d’un meeting après l’élection législative (Bob Strong/Reuters) Nationalisations du système bancaire, chute de la droite, pressions de la haute finance repoussées par référendum, assemblée constituante... Depuis quelques jours, bizarrement, nous sommes bombardés d’e-mails s’enthousiasmant sur la « révolution démocratique anticapitaliste » qui aurait lieu en Islande, et dont les succès seraient déjà palpables. Dans ces courriers, on nous renvoie à certains articles enflammés, comme cette note qui décrit pas moins qu’une « révolution en marche, à faire circuler le plus largement possible, puisqu’on ne doit compter sur aucun média pour le faire à notre place ».

Bigre. Les Islandais que j’ai appelés sont assez surpris de cette présentation. The Prophetical Talents of the Central Bank of Iceland. The Central Bank of Iceland upped its policy rates by 25 points yesterday to 6.0%.

The Prophetical Talents of the Central Bank of Iceland

Quite frankly, I think they made a bad situation worse by doing so when it comes to the outflow of capital out of the economy and the exchange rate of the krona. But that's another story that I'm going to analyse later. For now, I'm only going to update the graph that I first posted in The Predictability of Inflation Forecasts. Again, we can see that the inflation forecasts issued by the Central Bank of Iceland are still the same: take the current inflation rate and slowly diminish it towards the inflation target, i.e. 2.5%. No matter the rate of inflation today, it will always be down to the inflation target, or thereabouts, in 6-8 quarters (a phenomenon first pointed out by Fridrik Mar Baldursson at the University of Reykjavik).

And has the Central Bank been accurate when it forecasts inflation? LA RÉVOLUTION ISLANDAISE. En 2008, les trois principales banques privatisées islandaises s'écroulent sous le poids d'un endettement monstrueux.

LA RÉVOLUTION ISLANDAISE

Les banksters mondiaux voulaient faire rembourser les dettes des banquiers par la population. L’Islande est notre Utopie moderne. Reflets du lac de Tjornin à Reykjavik, Islande.

L’Islande est notre Utopie moderne

En rejetant par référendum le sauvetage de leurs banques et le remboursement de la dette extérieure du pays, les Islandais ont montré qu’il est possible d’échapper aux lois du capitalisme et de prendre son destin en main, se réjouit un historien espagnol. Comme l’écrivait Oscar Wilde, une carte sans l’île d’Utopie n’est pas digne d’un regard. Or l’Islande est passée du statut d’enfant chéri du capitalisme tardif à un projet de démocratie réelle, ce qui laisse à penser qu’une carte sans Utopie est non seulement indigne de notre regard, mais qu’en outre elle est mensongère. Le phare d’Utopie, que les marchés le veuillent ou non, à commencé à émettre des signaux d’alerte ténus vers le reste de l’Europe. L'Islande renaît de ses cendres. Presse-toi à Gauche | Une tribune pour la gauche québécoise en marche | 10 janvier 2012 Islande a terminé l’année 2011 avec une croissance économique de 2,1% et selon les prévisions de la Commission européenne, elle va faire le triple du taux de croissance attendu pour l’UE en 2012 (1,5%).

L'Islande renaît de ses cendres

Pour 2013 la croissance devrait atteindre 2,7%, principalement à cause de la création d’emplois. L’Islande, sur la voie d’un désentettement rapide, demande des comptes à l’Union européenne. D'après un récent rapport du Fonds Monétaire International (FMI), l'Islande est sur la voie d'un désendettement rapide. Plus encore : elle demande des comptes : le président islandais Olafur Ragnar Grimsson a demandé dimanche à l'Union européenne de mener une enquête pour déterminer comment elle a pu permettre à la Grande-Bretagne et aux Pays-Bas d'exercer une telle pression sur l'Islande pour tenter de transférer sur le contribuable islandais les sommes dues par la banque Icesave en faillite.

Nous applaudirons sans modération le gouvernement islandais pour sa fermeté et son patriotisme, et nous ferons observer que le remboursement de dettes privées par le contribuable, cela s'appelle du détournement de fonds publics et, là où la justice fonctionne normalement, cela mérite la paille humide des cachots. Rappel des épisodes précédents : Après son refus de payer sa dette, l’Islande fera le triple de la croissance de l’UE en 2012. 23 janvier 2012 Posté par benji sous Argent et politique 12 commentaires Je ne cesserai jamais de répéter que l’Islande est LE pays à prendre en exemple,même s’il est complètement ignoré des médias, s’il est loin ou quelle qu’en soit la raison pour ne pas en parler, c’est le pays à suivre!

Payer pour les banques? Même pas en rêve, là bas ils ont été emprisonnés! Sauver les banques? Elles ont été nationalisées. L'Islande est le seul pays qui a tourné le dos aux banques et qui a ga. Le FMI a émis un communiqué de presse cette semaine pour indiquer que l'Islande lui avait remboursé en avance 443,4 millions de dollars, soit un cinquième de la somme que le pays lui avait emprunté (2,15 milliards de dollars).

L’échéance initiale de cette somme était en 2013, selon les termes de l’accord de prêt. Laisser les banques faire faillite, la recette de la relance islandaise. L'île de l'Atlantique nord a vu ses trois plus grandes banques s'effondrer à l'automne 2008 dans le sillage de la crise mondiale et de la faillite du géant financier américain Lehman Brothers. Les banques sont devenues insolvables en quelques semaines et Reykjavik n'a pas eu d'autre choix que de les laisser faire faillite et de demander une aide de 2,25 milliards de dollars au Fonds monétaire international (FMI). Après trois années de sévères mesures d'austérité, l'économie du pays montre aujourd'hui des signes de bonne santé malgré la crise financière qui menace désormais de faillite la Grèce puis l'Italie, le Portugal et l'Espagne.

Comme pour le 1er ministre islandais, il faut juger les responsables de la crise. Atlantico : Geir Haarde, l'ex Premier ministre islandais a été traduit en justice pour l’effondrement du système financier du pays en 2008. Le tribunal spécial qui le jugeait a finalement annoncé lundi qu'il ne serait pas sanctionné même s'il a été reconnu coupable de l'un des quatre chefs d'accusation retenus contre lui : ne pas avoir provoqué de réunions gouvernementales requises par la Constitution alors que le gouvernement islandais était en train de perdre la maîtrise du système bancaire et financier islandais.

Pourrait-on imaginer, et devrait-on, juger les responsables de la crise des subprimes en 2008 ? L’Islande dit NON MERCI à la dette et y gagne ! L'exemple islandais contre l'austérité. Icesave: l'Islande a limité les risques, selon le FMI. Islande: 93% du peuple impose le non-remboursement des banques ! Contre-exemple intéressant, non, de nos jours ?...